Histoire de la spéléologie Normande

Alain Gautier (1953 – 2016)

Alain Gautier est décédé subitement le samedi 26 mars 2016, et avec lui disparaît une personnalité profonde et riche, véritable point de repère pendant 45 ans pour la communauté spéléologique normande malgré son relatif effacement.

La spéléologie d’Alain Gautier résulte d’une pratique complexe et à multiples facettes. Assurément, Alain Gautier a été un élément majeur de la spéléologie normande. Ses nombreux écrits prouvent son ouverture d’esprit, son désir d’échanges, ses dessins et ses topographies révèlent un véritable artiste, ses nombreuses thématiques de recherche dans des espaces différents accompagnent un esprit libre et aventureux.

Le rouennais Alain Gautier est subitement décédé le samedi 26 mars 2016, nous rappelant que ce spéléologue normand discret, était un point de repère pour la communauté spéléologique régionale malgré son relatif effacement. En effet, Alain avait compris depuis longtemps combien étaient vaines les stériles querelles infra-communautaires dont personne n’est capable d’identifier l’origine, et c’est sans éclats qu’il appliquait sa grande efficacité dans les actions qui le motivaient.

Les années Bonsecours

Alain Gautier s’est révélé au début des années 1970, alors que la communauté spéléologique normande prenait conscience de sa dimension et tentait de se structurer, non sans maladresses et ego surdimensionnés.

Issu du Groupe Spéléologique de l’Association Sportive et Culturelle de Bonsecours, qui avait connu, quelques années auparavant, ses heures de gloire dans l’étude de la carrière du Pylône et la découverte de la « salle du Bateau », rapidement il avait conquis une belle dimension au sein d’un petit groupe soudé et barbu avec lequel il naviguera loin, jusqu’à la mythique Rapa Nui polynésienne.

Ses premiers grands résultats sont la découverte de l’aval du réseau de la Grande Faille (carrière du Pylône, Caumont), baptisé Réseau des Quatre, après un laborieux chantier de désobstruction. Si ce premier grand chantier reste dans le giron de Caumont, rapidement, le groupe investit la Haute Normandie, démontrant qu’il y a une spéléologie au-delà du sanctuaire rouennais. C’est ainsi que s’ouvre un nouveau chantier prometteur en la désobstruction et la topographie de la grotte Le Bail, devenue aujourd’hui la grotte du Funiculaire (Le Mesnil sous Jumièges), qui atteint alors 185 m de développement. Puis lui succède un autre beau chantier mené dans la grotte des Camés, cette fois sur le littoral cauchois, dans les falaises de Veules les Roses. D’autres chantiers plus discrets portent sur la prospection autour de la basse vallée de la Seine, notamment sur un effondrement dans la savonnerie de Yainville.

Ces années GS-ASC-Bonsecours connaissent un point d’orgue avec la tenue du 4ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, en 1978, tandis que son savoir-faire s’exporte en Mayenne, dans les grottes de Saulges où le groupe des « Barbus » réalise une bonne partie des topographies.

La décennie 1970 est celle de la naissance des publications spéléologiques normandes et donc apparaît la revue La Scrofuledont 4 numéros se succèdent de 1975 à 1978, en plus d’un numéro spécial Bandes Dessinées, approche originale de l’activité souterraine. De fait, dans les années 1970, Alain Gautier devient l’auteur le plus prolifique de la communauté spéléologique normande.

Les années Pascuanes

A l’aube des années 1980, le groupe s’ouvre à l’international avec l’Amérique du Sud, en particulier le Brésil[Gautier, 1981] avec les Furnas de Ponta Grossa (Paraná), le karst montagneux du Vale do Ribeira (São Paulo), les cavités des grès et quartzites de la région de Brasília, le karst de São Domingos (Goiás).

Mais ce qui identifie le plus fortement la petite équipe est le travail de prospection, d’exploration et de topographie des cavités volcaniques de Rapa Nui(Chili) de 1979 à 1982. Outre les articles et la participation à un magnifique livre sur l’Île de Pâques méconnue, naît un groupe spécifiquement dédié à cette île isolée dans le Pacifique sud, le Groupe d’Etude et de Recherches spéléologiques de Rouen – Île de Pâques (GERSRIP) dont Alain sera le président jusqu’à la fin. Il publie entre 1984 et 1986, trois numéros de la revue Recherches Spéléologiquesdédiée à l’île lointaine.

En 1998, une incursion avec le Clan Spéléo Pontoisien, le mène dans les modestes cavités de l’île de Saint Martin(Petites Antilles) [Gautier et al., 2000].

Les années sub-pontoisiennes

Dès 1980, la réunion des membres du GS-ASC-Bonsecours et de pompiers professionnels de Pontoise-Osny, permet l’exploration exhaustive du Pontoise souterrainet la création du Clan Spéléo Pontoisien dont Alain Gautier est un membre très actif.

Cette association s’épanouira durant les années 1990, publiant une belle revue Cave des Moineauxmagistralement organisée par Alain, et obtenant des résultats spectaculaires dans le sous-sol de la cité médiévale, en Normandie (Les Andelys), mais aussi dans les Causses Majeurs et dans l’approche historique qu’est l’œuvre de E.-A. Martel.

Les années caussenardes

Depuis toujours, Alain Gautier est attiré par les Grands Causses. Aussi les années 1990 le voient affirmer ses grandes orientations, avec un rapprochement avec le Clan Spéléo Pontoisien et l’Association Edouard-Alfred Martel. La jonction entre ces deux éléments est confortée par la présence des descendants Renouard, héritiers de Edouard-Alfred Martel. Par delà la recherche spéléologique, en particulier l’étude et la mise en valeur des souterrains de Pontoise, se met en place un grand projet historique qui rapproche Pontoise, cité natale de Martel, et les Grands Causses, terre de cœur du fondateur de la spéléologie moderne. Alain Gautier, grand amateur des deux, s’y implique corps et âme.

Les Grands Causses sont devenus le lieu de prédilection où la personnalité d’Alain Gautier peut prendre toute sa dimension : isolement, fraternité, rêverie. Ces plateaux déserts et ces vallées profondes sont propices à la réflexion et à la spiritualité. Héritier du grand Louis Balsan, Daniel André y voue sa vie à la valorisation du patrimoine naturel et culturel de ses grands maîtres. Et l’œuvre de Martel, omniprésente mais finalement mal connue, devient un objectif énorme auquel s’attaque l’équipe qui l’entoure. Les deux hommes devaient communier dans de multiples réalisations, et rapidement Alain Gautier devient une cheville ouvrière des plus actives dans la réalisation de l’important ouvrage qu’est « La plume et les gouffres » [1997], avec Daniel André, Pierre Carlier, Sœur Marie Casteret, Gérard Kalliatakis, Claire et Louis Renouard. Et bien d’autres projets occupaient sa pensée prolifique que ses compagnons auront sûrement à cœur de mener à bien.

Alain Gautier s’est investi dans l’exploration souterraine, dans son approche technique et aussi fortement dans la réalisation de topographies où sa formation de dessinateur fait merveille. Il s’est investi aussi dans l’archéologie des régions qu’il fréquente. Tout naturellement, sa sensibilité artistique l’oriente vers la représentation des objets et émotions, plus particulièrement dans le dessin, dont le Spécial BD qui aurait mérité une publication de meilleure facture. Il s’est épanoui aussi dans l’œuvre écrite, et au-delà des articles, car il excelle dans la réalisation de revues et de livres. Comme auteur, il a su fort bien tirer parti de la bibliographie qu’il présente en respectant les critères internationaux, ce qui n’est pas aussi courant qu’on l’imagine, et comme maquettiste, il a su offrir une présentation claire qui donne envie au lecteur d’entrer dans le texte.

Alain Gautier s’est révélé un fidèle compagnon au sein d’un groupe composé notamment de son frère Daniel, disparu trop tôt, Jean-Marie Groult, et Pierre Carlier. Alain Gautier est assurément une personnalité importante de l’histoire contemporaine de la spéléologie normande qu’il aura marqué par ses chantiers régionaux dans Caumont, en Val de Seine ou sur le littoral de la Manche, mais aussi et surtout par sa production informative complète, du compte rendu à la revue, en passant par le dessin et la topographie, et son approche archéologique.

Quelques éléments bibliographiques

Il n’est pas dans l’objectif de cette note, de dresser la bibliographie complète des écrits d’Alain Gautier. Nous le laissons à ses fidèles compagnons qui, nous l’espérons, mèneront à terme cet hommage. Nous souhaitons seulement montrer la grande diversité de son action écrite.

1- la réalisation de revues
La Scrofule(1975-1978), revue du GS-ASC-Bonsecours, dont il assume la publication (voir les publications spéléologiques normandes). On y retrouve les activités du groupe de Bonsecours, en Normandie (surtout Caumont, la grotte Le Bail et Veules les Roses), mais aussi en Mayenne (grottes de Saulges), ainsi que dans le sud de la France (Grands Causses).
Recherches Spéléologiques(1984-1986), revue du Groupe d’Etude et de Recherches Spéléologiques de Rouen – Île de Pâques, dont il assume la publication. Il était le président actif du GERSRIP.
Cave des Moineaux(1990-1997), publication du Clan Spéléo Pontoisien, dont il assume la réalisation.
Spéléo Contact Normand(1995-2002 ?), publication du Comité Régional de Spéléologie de Normandie. Alain assure la réalisation d’au moins six numéros.

2- la participation à des livres
Pierre Carlier & Alain Gautier (1982). Spéléologie à l’Île de Pâques. Nouveau regard sur l’Île de Pâques – Rapa Nui ; Moana éditeur, Saintry sur Seine : 127-137 [2-904279-00-8].
André Daniel (dir.) (1997). La plume et les gouffres, correspondance d’Edouard-Alfred Martel. Association Edouard-Alfred Martel, 607 p. [sans isbn]

3- la rédaction de notes et articles
Gautier Alain (1981). Brésil. Spelunca, 3 : 7.
Gautier Alain, Carlier Pierre, Leroy Stéphane (2000). Petites Antilles. Spelunca, 78 : 8-10.

Angiolino Tomat (1940 – 2017)

Comment un artisan, passionné de spéléologie et de géologie, est devenu un remarquable chercheur régional.

disparu en novembre 2017

Auguste Monton (1875 – 1942)

Auguste Monton, spéléologue des Andelys

La spéléologie normande a la réputation d’être une activité récente, née après la seconde guerre mondiale. Pourtant, nous n’ignorons pas que les grottes de Caumont reçurent la visite de Edouard-Alfred Martel, mais la modestie des cavités normandes n’a pas contribué à la pérénité d’un mouvement spéléologique. L’histoire régionale est cependant ponctuée de l’activité de personnalités locales auxquelles nous devons la connaissance des ensembles souterrains. C’est le fruit de nos recherches sur l’un d’eux, Auguste Monton (1875-1942), spéléologue des Andelys, que nous présentons aujourd’hui.

Ce document, écrit en 1991, par Jacques Monton, Joël Rodet et Jean-Pierre Viard, a été publié dans les Actes du Museum de Rouen (issn 0180-9784) dans sa livraison 1991-2. Il a été complété par J. Rodet en février 2008.

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1- Biographie d’Auguste Monton

Auguste Monton est né aux Andelys, le 9 novembre 1879, dans un moulin. Son père était meunier farinier, bien que licencié en Droit. Il fait ses études primaires à l’école Saint joseph des Andelys. ensuite, il est interne au lycée Henri IV à Paris. Un de ses oncles était commerçant à Paris et le fait sortir le dimanche. Il obtient son diplôme de Bachelier-ès-Lettres en 1894 (Latin-Grec-philosophie). Parmi ses condisciples au lycée Henri IV, il y a André Fallières, le fils du Président de la République d’alors et aussi Marius Moutet qui devint ministre des Colonies.

Après son bac, il passe environ un an dans un moulin à Tour-sur-Marne (Marne), pour un stage de meunerie, puis trois ans de service militaire dans l’Infanterie, d’abord à Courbevoie, puis à Dieppe. Il reçoit le Certificat de bonne conduite délivré à Dieppe le 1er janvier 1899, et est nommé Caporal au 119° Régiment d’Infanterie.

Au retour du Service Militaire, il entre comme stagiaire dans une ferme à Fresne-l’Archevêque (Eure), où il reste deux ans. Dans le courant de l’année 1902, il loue une ferme de 120 ha à Cléry, hameau des Andelys. Il se marie en octobre 1903 aux Andelys avec Mademoiselle Dumontier. Il a cinq garçons.

Il modernise sa ferme : installation d’un élévateur à grains qui évite le travail pénible de monter les sacs à grain de 100 kg à dos d’homme dans le grenier à grains, installation d’abreuvoirs à eau courante dans les étables, éclairage à l’acétylène dans la maison et dans les bâtiments d’exploitation.

Il est mobilisé dès les premiers jours d’août 1914, bien qu’âgé de 39 ans et père de cinq enfants, au 22ème Régiment d’Infanterie Territorial : retraite à pied depuis Charleroi, en Belgique, jusqu’à Gournay-en-Bray (Seine-Maritime). Il est nommé Sergent à Revigny-sur-Ornain (Meuse), près de Saint-Dizier (Haute-Marne), où il garde les prisonniers travaillant aux hauts-fourneaux. Il assiste à la chute du zeppelin LZ 77 abattu par la D.C.A. Il est démobilisé début 1918, après avoir passé, en tout, sept ans dans l’armée.

A partir de 1928, il entreprend des voyages en camping avec deux de ses fils pour visiter la France. Avec une 5 CV Citroën Trèfle, une tente et un matériel de couchage réalisé par ses soins (cuisson des aliments sur une lampe à souder à essence). Ses voyages successifs l’amènent vers Rocamadour, Bétharam, Gavarnie, la Bretagne, l’Auvergne, les Gorges du Tarn, Pont-d’Arc dans l’Ardèche, Bramabiau, les Gorges du Verdon par le sentier du Touring-Club de France, la Fontaine de Vaucluse, Montpellier le Vieux, le Mont Ventoux.

En dehors de son métier d’agriculteur, il a de nombreuses activités de chasseur, pêcheur et photographe, … Il traîte lui-même ses plaques autochromes Lumière dans son cabinet noir.

Il était philosophe, si on entend ce terme par « ami de la jeunesse ». Dans sa jeunesse, il avait pris pour devise : Spera et Gaude (espère et réjouis-toi). Il disait : « de leur meilleur côté, tâchons de voir les choses et réjouissons-nous que les épines aient des roses ». Il meurt le 10 mars 1942, des suites d’une tumeur qui apparut en août 1938, peut-être à la suite d’un éclat d’obus qu’il avait reçu dans la cuisse pendant la Guerre 14-18.

Résumée par son fils Jacques, en septembre 1989, la vie d’Auguste Monton paraît celle d’un amateur « averti » de nature, soucieux de découvrir et faire partager. Ce que ne dit pas cette courte bibliographie, même si elle le suggère par l’énumération des sites visités, c’est qu’Auguste Monton est un amateur de grottes, le véritable spéléologue du karst des Andelys.

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2- Quels sont les apports de Monton à la spéléologie normande ?

2.1- Auguste Monton, topographe spéléologue

Dès 1845, les grottes des Andelys entrent dans la littérature régionale avec la mention des activités du fantasque Bournichon qui, guidé par une somnanbule, procède à grands frais à la désobstruction des cavités en aval du Petit-Andely, à la recherche du trésor des Templiers [Bosquet, 1845 : 149]. Brossard de Ruville, dans son « Histoire de la ville des Andelis » [1863], conte la fin de cette aventure surprenante. Ce n’est qu’en 1909 que les grottes reviennent à la mode avec l’importante communication de Coutil [1910] à un congrès de préhistoire, réalisant la première relation descriptive des conduits connus. Or, dès mars 1894, Auguste Monton, alors âgé de 19 ans, explore le « souterrain d’Ecorchemont », qu’il topographie le 4 avril 1894, réalisant la plus ancienne topographie de la Grotte de la Roche Percée, connue à ce jour. Plus surprenante est la qualité du relevé, supérieure à celle de Coutil [1910 : 195], chercheur reconnu.

2.2- Auguste Monton, photographe souterrain

Il est certain que Monton a exploré l’ensemble des cavités de la région des Andelys. Malheureusement, il n’a laissé aucune relation, même anecdotique, de ses explorations que lui autorisait son éducation scolaire. L’unique topographie de la Roche Percée montre clairement ses capacités de spéléologue de terrain, à une époque où la discipline se créait. Curieusement, les contacts avec E.-A. Martel n’ont pas assis cette vocation, contrairement aux chercheurs d’autres régions plus riches (Alpes, Causses, Pyrénées, Jura, …). Non, Auguste Monton se voulait seulement un amateur, un précurseur en quelque sorte de la spéléologie moderne. L’exploration des cavernes n’était qu’un divertissement, une activité sportive et artistique. On doit à cette sensibilité, alliée à un grand sens pratique, les émouvants clichés photographiques pris autour et dans les grottes des Andelys. En cela, il est assurément le premier photographe spéléologue normand.

2.3- Auguste Monton, spéléologue éclairé

Mais l’apport le plus important d’Auguste Monton à la spéléologie normande est, semble-t-il, la prise en compte du karst des Andelys dans les études scientifiques, puisqu’il a contacté et guidé des personnalités scientifiques, notamment Coutil et Martel (correspondance partiellement inédite).

Il semble bien que ce soit Monton qui initia l’archéologue régional Léon Coutil aux cavernes des Andelys. C’est à la mémoire de ce dernier que bénéficie aujourd’hui la réputation de « spéléologue des Andelys » en raison de l’important article consacré à ces cavités [Coutil, 1910], qu’il présenta en 1909 au Congrès PRéhistorique de France, à Beauvais. Cependant, Coutil y rend un hommage discret à Monton, en écrivant en note infra-paginale [op.cit. : 193-194], à propos de l’accès à la Roche Percée : « Dans une sage pensée, M. Mouton (lire Monton, N.D.L.R.) de Cléry a fait sceller une petite barre d’appui, pour faciliter l’accès, … », montrant bien l’antériorité des travaux de ce dernier. Ceci vient confirmer le rôle de Monton, topographe dès 1894.

Mais les explorations de Monton ne sont réellement valorisées que lorsqu’il entreprend de contacter Edouard-Alfred Martel. Il reste de cette époque, deux lettres manuscrites de Martel à Monton [André et al., 1997 : 210], que nous reproduisons ci-après. Malheureusement, nous n’avons pas retrouvé copie de celles de Monton (une belle piste de recherche pour amateur éclairé) :

« Paris, 3. 5. 6. (3 mai 1906)

Monsieur,

La grotte que me signale votre lettre du 24 avril, présente pour moi plus d’intérêt que vous ne semblez le croire ; en effet les cavernes de la craie sont rares et je les recherche spécialement.

Un service d’inspection géologique de captages d’eaux m’appelant de temps à autre dans l’Eure, vous pouvez être sûr que lorsque l’occasion me conduira du côté de Cléry, je ne manquerai pas d’aller visiter votre grotte.

Je ferai alors appel à votre aimable concours.

Il ne m’est pas possible de vous dire quand ; cela dépendra des projets dont je me trouverai saisi ; mais j’espère que l’année ne se terminera pas sans que j’aie recours à vos bons offices.

Croyez, je vous prie, Monsieur, à mes bien distingués sentiments,

signé : E.A. Martel

E.A. Martel 23, rue d’Aumale, 23 Paris-IX°«

Quelques jours plus tard, Martel adresse une seconde lettre, fixant rendez-vous à Monton pour explorer les cavernes des Andelys :

« Paris le 12 mai 1906

Monsieur,

D’une façon tout à fait imprévue, je dois aller aux Andelys lundi prochain 14 courant (après-demain). La fin de l’après-midi sera pour moi disponible.

Pouvez-vous vous trouver ou m’envoyer chercher à la gare des Andelys entre 2 heures 1/4 et 2 heures 1/2 (salle du départ). Je dois y être à 2 heures 22 pour mettre ma femme au train qui part à cette heure-là. Donc à partir de 2 heures 1/2 je serai à votre disposition ; je reprendrai le train de 5 heures 59 ou celui de 8 heures 50 mn.

Si vous n’êtes pas libre lundi ou si ma lettre vous parvient trop tard, nous remettrons la chose à une autre occasion. Pour cette fois, c’est ce matin seulement que j’ai été prévenu moi-même à l’improviste. Croyez, Monsieur, à mes biens distingués sentiments.

signé : E.A. Martel

Ne prenez pas la peine de me répondre : votre lettre ne m’arriverait pas à temps« .

Ils se retrouvèrent puisque Martel écrit : « Avec M. Monton, j’ai visité (14 mai 1906) trois de ces cavernes à l’aval du Petit Andelys » [Martel, 1930 : 23]. Ceci prouve aussi que tant la Poste que les transports en commun fonctionnaient parfaitement.

C’est l’hommage du maître de la spéléologie rendu à son guide, qui transparaît dès 1921 [Martel, 1921 : 342-343] : « Dans les environs des Andelys (Eure), les falaises crétacées qui dominent la rive droite de la Seine sont perforées de galeries. Un peu à l’aval du petit Andelys (Eure), M. Auguste Monton y a découvert, en 1906, dans la craie blanche, au dessus du chemin de fer, plusieurs petites grottes assez étendues ; j’ai pu constater sur place avec lui que ces grottes ont été certainement formées par la circulation des eaux, qui provenaient des infiltrations du plateau ; elles présentent des marques très nettes de corrosion, d’érosion tourbillonnaire, des perforations de planchers, etc. ; ultérieurement, M. Monton a retrouvé une douzaine de ces grottes d’un parcours total de trois kilomètres ; l’une d’elles s’ouvre par un gouffre naturel qui a été artificiellement agrandi« .

En 1930, dans la « France-Ignorée » [Martel, 1930 : 14], il confirme l’importance des recherches du pionnier andelisien : « Aux environs des Andelys, M. Auguste Monton a découvert et étudié (1906 à 1908) nombre de grottes et avens naturels, dans les falaises crétacées de la Seine, etc. Un de ces abîmes aboutit à un labyrinthe de galerie qu’il n’a pas pu explorer entièrement. Ces trouvailles confirmes que la craie blanche et ses fissures peuvent se comporter envers les eaux souterraines exactement comme le calcaire« .

Toutes les trouvailles de Monton ne sont pas connues aujourd’hui. Malgré des années de recherche, et des découvertes ponctuelles, nous n’atteignons pas le développement déclaré par Martel : il manquerait la moitié de celui-ci. Si on retranche une partie « estimée » de ce développement, ce qui n’était pas dans l’esprit du maître, il manque quelques centaines de mètres, et assurément certains développements isolés. De plus, il semblerait que certaines confusions se soient glissées dans la présentation de Martel : où est passé « l’abîme qui aboutit à un labyrinthe » ? Le labyrinthe pourrait être celui de la Roche Percée, mais son accès est de plein-pied, par une vire en falaise. Où sont passés les avens ? Il est certain que tout le manque ne peut pas être attribué à des erreurs de rédaction ou de notes. Avec certitude, il reste à « re »découvrir autour des Andelys, à l’image de la grotte des Marettes, incidemment ré-explorée en 1990. L’héritage de Monton n’est donc pas encore entièrement intégré par la communauté spéléologique normande, un siècle plus tard.

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3- Conclusion

Commencée au plus tard en mars 1894, l’activité de spéléologue d’Auguste Monton aux Andelys se poursuivra jusqu’en 1908, peut-être même jusqu’à la première guerre mondiale. Il suivra de près les activités de la Société de Spéléologie, dont il reçoit les publications « Spelunca », conservées par ses descendants. Après guerre, ses nombreux voyages le conduisent vers les grottes aménagées du Sud de la France.

Les quelques lignes de Martel signalent des cavités somme toute modestes, marquant bien l’importance que le maître attachait aux cavernes de la craie. Elles sont aussi fondamentales pour l’histoire de la spéléologie normande, car sans elles, nous ignorerions encore le rôle d’Auguste Monton, ses travaux. Sans ces quelques citations, l’un d’entre nous n’aurait pas pris contact avec les enfants d’Auguste Monton, et les spéléologues normands ignoreraient un de leurs plus importants précurseurs.

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Bibliographie

André D., Casteret M., Carlier P., Gautier A., Kalliatakis G., Renouard C., Renouard L. (1997). La plume et les gouffres – correspondance d’Edouard-Alfred Martel (de 1868_1936) avec Norbert Casteret, Robert de Joly, Louis Balsan et les nombreux pionniers de la Spéléologie Française. Association Edouard-Alfred Martel, Meyrueis : 210.

Bosquet A. (1845). La Normandie romanesque et merveilleuse. In 8°, 1845, Paris & Rouen, p. 149.

Brossard de Ruville (1863). Histoire de la ville des Andelys et de ses dépendances. Ed. Delacroix, Les Andelys, 2 tomes.

Coutil L. (1910). Cavernes, avens et abris de la vallée de la Seine, près Les Andelys (Eure). Congrès Prehistorique de France, Beauvais, compte-rendu de la 5° session : 188-197.

Martel E.-A. (1921). Les eaux souterraines de la craie. Nouveau traité des eaux souterraines, Doin, Paris : 342-343.

Martel E.-A. (1930). Normandie. La France Ignorée, tome 2 « des Ardennes aux Pyrénées », chapitre I, Delagrave, Paris : 14, 17, 23.

Monton A. (s.d.). Archives (correspondance, topographie, photographies), conservées par son fils Jacques Monton (et aujourd’hui par les descendants de ce dernier), partiellement inédites.

Rodet J. (1988). Approche de l’histoire spéléologique en Haute Normandie. Symposium d’histoire de la spéléologie, Centenaire de la Spéléologie Française, Millau, 1-3 juillet 1988, « Cent ans de spéléologie française », Spelunca-Mémoire, 17 (1993) : 173-177.

Rodet J. (1991). Les karst de la craie – étude comparative. Thèse de Doctorat d’Etat ès-Lettres, Institut de Géographie de Paris, Université de la Sorbonne (Paris-IV) : 562 p.

Rodet J. & Viard J.-P. (1988). Monton Auguste (1875-1942). Les grandes figures disparues de la spéléologie française, Spelunca, 31 : 72.

(Jacques Monton, fils de Auguste Monton et co-auteur de cette note, est décédé durant la décennie 1990)

Cinquante ans de spéléologie havraise (1964 – 2014)

Il y a cinquante ans, le 1er décembre 1964, naissait la première association spéléologique havraise

Il y a cinquante ans, le 1er décembre 1964, naissait la première association spéléologique havraise
fifty years ago, december 1st of 1964, day of the creation of the first caving association of Le Havre
Faz cinquenta anos, dia primeiro de dezembro de 1964, foi criado a primeira entidade espeleologica da cidade de Le Havre

Le 1er décembre 2014, le Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre aurait eu cinquante ans. Le GS-MJC-H a disparu en 1989, la M.J.C. le suivant peu après. Mais l’esprit a survéç

u, d’abord par le Groupe Spéléologique du Havre (1976-1990), puis par le Centre Normand d’Etude du Karst et des Cavités du Sous-sol.

Le GS-MJC-H est né le 1er décembre 1964, de la rencontre de Havrais jeunes et passionnés, de divers horizons et milieux : Jean-Paul Alexandre, Jean-Pierre Beauclair, Claire Dubois, Martine Dubois, Jean-Pierre Duchemin, Nicole Duchemin, Jean-Luc Haudibout, Geneviève Jacqueline, Pierre Lalouette, Michel Lepiller, Jean-Claude Mercier, Patrick Nouet, Alain Robinet et Joël Rodet, sous la présidence de Jean-Marc Artola. Jean-Marc Artola quittant la Normandie pour raison d’études, Michel Lepiller devient président du groupe dès le 27 janvier 1965. Il le restera sept ans durant, jusqu’à son départ en 1971 pour l’Université de Grenoble où il obtiendra un doctorat de géologie en 1980, avant d’être nommé Maître de Conférence à l’Université d’Orléans.

Après une première tentative sans suite sous la direction de Jean-Pierre Duchemin en 1966, le GS-MJC-H se lance dans les publications spéléologiques, une première en Normandie, sous le titre « Spéléo-Drack« , dirigées dès 1970 par Joël Rodet. Huit numéros sortiront entre 1970 et 1974 grâce au noyau constitué de Joël Rodet, Jocelyne Cattreux, François-Patrice Rodet et Edwige Régnier. En 1970, le GS-MJC-H est à l’origine du Comité Départemental de Spéléologie de Seine Maritime dont le premier président sera Michel Lepiller, et Joël Rodet le rédacteur des statuts. Deux orientations qui soulignent l’ouverture de la spéléologie havraise.

En 1971, Joël Rodet succède à Michel Lepiller à la présidence du groupe et instaure un nouveau mode de fonctionnement, en encourageant le roulement des responsabilités, afin de doter l’association d’un nombre conséquent de cadres et de compétences. Lui succèderont Michel Foisset (1972-1973), Michel Daoudal (1973-1974), Jocelyne Cattreux (1974-1975), Jean-Luc Benchetrit (1976-1977), Joël Corbe (1978-1979), Philippe Lemière (1979-1980), etc. Cette démarche touchera aussi la formation technique avec une école interne d’initiation et l’adhésion à la politique fédérale de stages, de laquelle sortira en 1974 le premier et unique instructeur fédéral de Normandie.

Poursuivant sa politique d’ouverture et de collaboration, le GS-MJC-H sera une fois de plus à l’origine en 1974, de la création du Comité Régional de Spéléologie de Normandie, initialement présidé par Jacques Sautereau, mais dont la rédaction des statuts sera encore confiée à Joël Rodet. Notons aussi la réalisation du premier Congrès Régional de Spéléologie de Normandie tenu au Havre en décembre 1974, dix ans après sa création, ou encore l »informatisation du Fichier spéléologique régional par Jean-Jacques Lhôpiteau, membre du GS-MJC-H. Ces éléments signent la spécificité havraise au sein d’une communauté spéléologique normande avide de reconnaissance personnalisée et d’impact journalistique.

Alors que le GS-MJC-H se porte très bien, le raidissement politique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre, sous influence de son encadrement professionnel, pousse Joël Rodet, Jocelyne Cattreux et François Desbordes à créer en 1976 le Groupe Spéléologique du Havre, une association entièrement autonome, qui préservera la culture spéléologique havraise, lorsqu’en 1983 la M.J.C sombrera dans une politique mercantiliste de loisirs, délaissant son idéal éducatif et citoyen. Spéléo-Drack est alors repris par le Groupe Spéléologique du Havre, avec une équipe constituée de Joël Rodet, Jocelyne Cattreux et Danièle Sayaret qui produira entre 1977 et 1986, les n° 9 à 16, avant de proposer le titre au Comité Régional de Spéléologie de Normandie qui assurera la sortie du numéro 17, en 1987. Malheureusement, l’école spéléologique havraise, elle, disparaît.

Nous aurons aussi la douleur de perdre un compagnon intelligent et dévoué en la personne de Jean-Claude Haguelon, lors d’une dramatique traversée du réseau souterrain de la Diau (Haute Savoie), le 1er novembre 1977.

La décennie 1980 sera vouée à une politique d’ouverture vers la communauté spéléologique normande, tentant de dépasser les limites claniques réductrices, pour faire émerger une dynamique communautaire puissante et responsable. C’était sans compter sur la léthargie des groupes spéléologiques, généralement sous la coupe de quelques personnalités animées par un désir hégémonique, et préférant créer leur propre association afin de ne pas avoir à partager leur fragile pouvoir avec une autre personnalité. Cet excès nombriliste s’exprimera sous la forme d’un individualisme allant jusqu’à vouloir assumer un contenu de club constitué d’une seule personne. Il est évident que de telles entreprises étaient vouées à ne durer que le temps de leur initiateur. Il en découle, outre la perte d’énergie induite par une grande dispersion des efforts, un morcellement de la recherche et une inefficacité associative.

En conséquence, en 1990, le Groupe Spéléologique du Havre s’associe à plusieurs personnalités marquantes de Normandie et se transformé en Centre Normand d’Etude du Karst et des Cavités du Sous-sol, consécration logique de plus d’une décennie de collaboration officieuse avec ces mêmes personnalités. De ces sept fondateurs, un est décédé, un autre a quitté la dimension spéléologique, et les cinq derniers sont toujours actifs, près de 25 ans plus tard, au sein de cette association idéale de compétences, qui a su se renouveler en portant très haut la recherche spéléologique Made in Normandy, qui dépasse largement la dimension havraise des débuts.

La revue Spéléo-Drack, après dix ans de silence au nom du Comité Régional de Spéléologie de Normandie, revient au sein du CNEK qui en 1976, en publie le n° 18 au nom du CRSN mais sans aucune aide matérielle, financière ou promotionnelle de l’entité régionale. Les Éditions du CNEK se sont étoffées depuis 1981 et la création de la revue Spéléo-Tract. En décembre 2014, huit Spéléo-Tract ont été publiés, ainsi que trois Spéléo-Drack (n° 19 à 21) et quatre livres, dont le volumineux « La craie et ses karsts ». Il s’agit de la plus importante et de la plus ancienne lignée éditorialiste de la spéléologie normande.

Le projet qui dynamisait, il y a 50 ans, un groupe d’adolescents, est devenu aujourd’hui réalité, grâce à la persévérance et à la justesse des idéaux qui les animaient : la grotte est notre objectif, les individus nos moyens, et leur diversité nos outils.

François Desbordes (1940 – 2002)

François Desbordes (1940-2003) est l’archétype du spéléologue touche-à-tout. Ingénieur de formation, il s’enthousiasma pour de nombreuses activités, passant de l’agent immobilier au brocanteur. Cette curiosité sans fin le poussa jusque dans les cavernes. Il est ainsi à l’origine de nombreuses découvertes et du développement de plusieurs techniques, contribuant ainsi largement à l’Histoire de la spéléologie normande, des années 1965 à 1990, quand il s’éloigna de la Normandie.

Parisien d’origine, François Desbordes fréquente dès son plus jeune âge la Normandie, ses parents possédant une résidence secondaire à Saint-Pierre-en-Port (Seine-Maritime). Des vacances passées dans la station balnéaire du littoral cauchois, il acquiert la vivacité et la curiosité des choses de la nature. Personnalité fantasque, il s’enflamme pour les mystères et les choses cachées. Aussi, lorsque ses promenades l’amènent à l’entrée d’un souterrain, d’un blockhaus ou d’une grotte, il lui faut résoudre le mystère que sûrement ce vide recèle.

Naturellement ces promenades le guident jusqu’à la grotte des Petites Dales, alors inconnue de la jeune spéléologie régionale. Par l’intermédiaire de son frère Gilles, alors étudiant en médecine, il fait la connaissance de Michel Luquet, figure emblématique de cette époque, alors étudiant en médecine lui-aussi, et ainsi intègre le Spéléo-Club de Rouen, au sein duquel il multiplie les explorations et les découvertes normandes.

Mais François est un indépendant sensitif qui ne se limite pas à une entité. S’installant au Havre, c’est tout naturellement qu’il participe épisodiquement aux activités souterraines du GS-MJC-H. Cela commence par un puits qu’il a découvert, en furetant, dans la cour du château de Tancarville. Recherche du trésor des Templiers ou intérêt pour une histoire locale ?

Au début des années 1970, il se fait plus assidu, apportant au G.S. de la M.J.C. du Havre, les techniques encore bien basiques de la plongée souterraine. C’est l’épopée du réseau noyé du Bois de la Vierge, à Yport dans lequel notre progression connaît une progression impressionnante de … 30 m. C’est surtout la mise au point d’une technique d’exploration des puits à eau, alors nombreux en Normandie, qui connaitra son apogée quelques années plus tard dans le bassin hydrographique de la Rançon.

En 1976, lorsque nous ressentons la nécessité de créer un organisme indépendant, alors que la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre, qui nous accueille depuis le début, montre des limites qui sont à l’origine de la disparition du G.S.-M.J.C.-H. dix ans plus tard, François, enthousiaste, nous appuie fortement et devient le trésorier du tout nouveau Groupe Spéléologique du Havre, fonction qu’il assumera jusqu’à la création du CNEK en 1990.

L’apport de François à la spéléologie normande est sûrement moins connu, mais autrement plus important pour notre histoire. Furetant partout, animant un incroyable réseau relationnel, il permet l’intégration de la spéléologie havraise dans le contexte régional. Cela commence avec le Service des Eaux de la Ville du Havre qui nous autorise les plongées dans le réseau noyé d’Yport, afin de compléter les connaissances du forage avant son aménagement en A.E.P. (alimentation en eau potable) pour la Ville du Havre. Cela continue avec l’étude du système noyé des sources AEP de Radicatel, toujours pour la Ville du Havre. Cela se poursuit avec le Laboratoire Municipal du Havre, alors impliqué dans une recherche hydrobiologique sur le bassin de la Rançon. Guy Charrière, médecin-directeur du laboratoire, nous associe à son étude et nous introduit auprès de Georges Conrad, célèbre spéléologue marseillais, alors directeur du Laboratoire de Géologie de l’Université de Rouen. Nous sommes en 1977, et la recherche spéléologique normande va connaître, dès lors, une évolution scientifique durable, puisque 30 ans plus tard, les relations entre l’Université de Rouen et la recherche spéléologique sont toujours d’actualité, cette dernière étant inscrite dans la formation en Master et en Doctorat de l’établissement public haut-normand.

Cet héritage, auquel chaque spéléologue normand est redevable, est dû à un Amateur, un Curieux, généreux, qui jamais ne jouera au scientifique. Non, son ambition, très limitée par rapport à ses capacités intellectuelles brillantes, était simplement de permettre des développements, des relations, des concrétisations. Je ne crois pas que François ait laissé un quelconque article à la postérité. Bien sûr nous conservons des brouillons, des notes rapidement griffonnées sur une feuille volante, mais rien d’élaboré : cela n’était pas l’objectif de François. Dès que le mystère était révélé, il passait à autre chose.

Aujourd’hui, il repose dans le cimetière de Saint-Pierre-en-Port. Il ne hante plus la campagne normande à la recherche d’un mystère, il est devenu lui-même un mystère, mais sa mémoire reste vive pour ceux qui l’ont connu, et ont partagé de mémorables heures sur le Semnoz, dans le Chevrier, dans le Caladaïre, ou au détour d’un chemin creux du Pays de Caux.

Jean-Marie Langbour (1948 – 2010)

Topographe de Caumont

Le lundi 13 décembre 2010, Jean-Marie Langbour, animateur infatigable du Groupe Spéléologique Normand Universitaire (GSNU) depuis les années 1960, est décédé.

Figure inoubliable de la spéléologie normande des décennies 1960-2000, Jean-Marie Langbour s’est éteint, atteint par une longue maladie. Dès 1962, Jean-Marie, souvent accompagné de son frère Yves (1952-2014), rejoint le GSNU (GS-AGER), le club spéléologique créé à l’Université de Rouen. Dès le début, ses paires l’entraînent dans les labyrinthes de Caumont dans lesquels il réalisera l’essentiel de sa longue carrière de spéléologue.

Originaire d’Elbeuf, il sillonne assidûment le sous-sol de cette terre du Roumois. Dans les années 1970, il s’implique fortement dans l’exploration des verticales de Caumont, baptisées par les spéléologues de « cheminée », vocable souvent inadapté car s’agissant de puits d’altérite ou racines du manteau d’altération. L’exploration de développements spéléologiques délaissés jusqu’alors, le pousse à se lancer dans la topographie systématique du réseau souterrain de Caumont. Cet ouvrage demandera plusieurs années et l’essentiel des résultats sera largement diffusé sous forme de feuilles topographiques lors des réunions de la communauté spéléologique normande ou par le biais de La Calbonde, revue du GSNU. Fin observateur in situ, ses relevés dans les cavités présentent une qualité que malheureusement le dessinateur n’a pas su transmettre dans ses « mises au propre ». Formulons le voeu que ses successeurs sauront donner à cette oeuvre originale, la dimension qu’elle mérite.

Jean-Marie a longuement animé le GSNU, surtout après le départ de ses principaux animateurs pour des cieux plus spéléologiques, généralement vers le Sud français. Fidèle à ses principes et à ses engagements, il a tenté, avec moins de bonheur, d’administrer les instances fédérales en terre normande. Il a aussi diversifié ses activités, en pratiquant le canoë de mer, et en explorant un grand nombre de cavités artificielles, surtout des marnières, près de la Côte d’Albâtre (autour d’Etretat-Fécamp) et dans le Roumois. Conscient de ses limites scientifiques, il m’a convié à certaines explorations, dont une superbe salle-réservoir remplie de sédiments exogènes à Bosc-Bénard-Crécy (Eure). Je l’aurai rencontré une dernière fois, en septembre 2009 lors des Journées du Patrimoine naturel, dans la grotte des Petites Dales.

Je garderai de Jean-Marie, l’image d’un personnage fidèle et engagé, dur à la tâche, passionné, pas toujours très diplomate mais profondément humain, qui défendait un idéal, celui des grottes. Le 08 septembre 2014, Yves, son frère et fidèle compagnon d’exploration, l’a rejoint pour la dernière et plus durable expédition, celle sans retour.

Jean-Paul Dupont ( 1951-2018)

Ancien directeur du Museum d’Histoire Naturel de Rouen, Professeur de Géologie à l’Université de Rouen, dont il a été le vice-Président en charge de la Recherche. Ce n’était pas un spéléologue mais les apports de la karstologie l’ont toujours intéressé fortement, notamment en tant qu’hydrogéologue de la craie.

Jean-Paul Dupont, né le 26 juillet 1951, était un naturaliste de talent, un esprit vif et d’une grande culture, sous un aspect plutôt bonhomme et accueillant. Je l’ai connu en 1976, alors que j’intégrais le laboratoire de géologie du Professeur Georges Conrad, à l’université de Rouen. Il y sera recruté comme Maître de Conférences en 1982. Mais c’est en tant que Directeur du Museum d’Histoire Naturelle de Rouen qu’il se rapprochera du milieu spéléologique normand.

Le directeur du Museum d’Histoire Naturelle de Rouen

Dès le début des années 1980, dans le cadre de la préparation de mon doctorat, je fréquente assidument le museum, notamment son centre de documentation qu’animent Michel Lerond et Jérôme Chaïb. Jean-Paul, le directeur, facilite le plus qu’il peut ma recherche, me donnant un accès permanent à l’établissement.
Au début des années 1980, il apporte son soutien et sa formation scientifique aux activités de recherches de la communauté spéléologique normande, notamment par l’intermédiaire de Thierry Leboulanger, alors en charge de la commission scientifique normande.
En 1988, il soutient fortement la communauté spéléologique normande, en accueillant gracieusement les Actes du 14ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, par la publication dans les « Actes du Museum de Rouen », 1988 (1), d’un volume de 160 p. du colloque « Karst et Quaternaire de la Basse Seine » monté par Joël Rodet et Dominique Lefebvre.
En parallèle, il accueille l’exposition de Joël Rodet et Danièle Sayaret sur « L’univers souterrain de la Basse Seine » qui tournera pendant plusieurs années dans les collèges et lycées de Haute Normandie. Il accueille aussi l’exposition sur le karst du LEP de Grand Couronne élaborée par Angiolino Tomat. Ce sera le début d’une longue collaboration entre les deux hommes, disparus à 9 mois d’intervalle, et dont malheureusement les travaux n’auront été publiés que très partiellement.
Cette période est très favorable à la communauté spéléologique normande. D’abord les « Actes du Museum de Rouen » accueilleront plusieurs articles sur Auguste Monton, le premier spéléologue normand, ou sur le cône à gélifracts du Chien Intrépide. Ensuite, en 1990, Jean-Paul attribue un local, certes nécessitant des travaux, mais dans lequel la communauté spéléologique normande peut enfin tenir ses réunions et stocker son patrimoine. Ce sera alors, pendant plus de 20 ans, le siège social du Comité Régional de Spéléologie de Normandie

Le professeur de l’université de Rouen

En 1996, Jean-Paul est nommé Professeur d’Université, à Rouen. Son patron d’alors, Robert Meyer, exige de lui qu’il se démette de sa fonction de directeur du museum. En même temps, Jean-Paul effectue une mutation disciplinaire dont il a le secret. Il délaisse la géologie marine et littorale pour revenir sur le continent, ou plutôt dessous, avec l’hydrogéologie karstique de la craie dans laquelle il se fait rapidement un nom. Il forme alors de nombreux docteurs de qualité, parmi lesquels Nicolas Massei, Danièle Valdès, Matthieu Fournier, aujourd’hui enseignants universitaires. Il s’intéresse à toutes les disciplines qui approchent l’hydrogéologie ainsi qu’à la géophysique avec celui qui deviendra son fils spirituel, Abderrahim Jardani ou encore la microbiologie des eaux.
Personnellement, je retiens les interminables dialogues durant des heures sur des réflexions communes, au point que nous avions envisagé d’écrire ensemble un traité sur le karst de la craie… Et mes étudiants rouennais et brésiliens se souviendront longtemps des cours qu’il leur a offert sur son temps libre, dans le cadre de la formation karstologique que j’avais organisée en 2013.

Un homme dévoué et généreux

Un élément important à souligner est le caractère bienveillant de Jean-Paul. Il n’a jamais hésité à mettre la main à la pâte pour aider généreusement ses collègues ou ses amis, hors cadre professionnel, pour un déménagement ou un dossier technique. Il a soutenu ceux qui souffraient et s’engageaient, y compris hors du cadre académique, ce qui lui a valu de temps en temps les critiques de ses collègues.
Le CNEK lui restera redevable de son soutien dans sa démarche de faire reconnaître la grotte des Petites Dales comme laboratoire souterrain de l’Université de Rouen, ou encore dans la possibilité de rassembler ses archives dans les locaux du laboratoire de géologie.

Jean-Paul était un esprit brillant, cultivé et agile. Il pensait plus vite qu’il n’exprimait ses idées. Il ne finissait que très rarement ses phrases et nous le taquinions souvent… Il nous a bien eu et il a eu le dernier mot : comme il a vécu, il est parti sans finir sa vie ! C’était le 22 juillet 2018.

Les Congrès Régionaux de Spéléologie de Normandie

Les congrès sont des moments particulièrement importants dans la vie d’une société car ils permettent la réunion, l’information et l’échange entre toutes les composantes du groupe. L’histoire de la spéléologie normande repose aussi sur ces évènements datés et localisés qui ont ponctué, pontuent et ponctueront le déroulement chronologique d’une activité mal connue, dont les fondements sont souterrains.

Nous avons essayé de communiquer le plus d’informations possible, afin que la mémoire ne s’éteigne pas trop rapidement. En effet, ce qui ressort aujourd’hui comme l’âge d’or de la spéléologie normande, semble s’éloigner de plus en plus, et vingt ans après, les témoins directs se font plus rares et plus discrets, surtout lorsqu’aucun écrit ne subsiste. Mais il était déjà difficile de convaincre les organisteurs de la nécessité de la trace écrite. Aujourd’hui le combat continue contre l’amnésie d’une activité occulte et discrète. Alors si vous disposez d’information complémentaire, n’hésitez pas à nous la communiquer. L’histoire n’en sera que mieux respectée.

1er Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Le Havre (Seine-Maritime), les 7-8 décembre 1974,
Local : M.J.C. Porte Océane + Museum du Havre
Organisateur : Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre
Responsable : Joël Rodet,
Comité d’organisation : Jean-Luc Benchétrit, Claude Cattreux, Jocelyne Cattreux, Jocelyne Colleter, Michel Daoudal, Jean-Claude Haguelon,
Actes/Proceedings : Spéléo-Drack, 9, février 1977, 110 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

2ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime), les 24-25 janvier 1976,
Local : Campus universitaire
Organisateur : Groupe Spéléologique Normand Universitaire
Responsable : Christian Dodelin,
— Actes inédits/Proceedings unpublished

3ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Caen (Calvados), les 12-13 février 1977,
Local : M.J.C. de la Prairie
Organisateur : Spéléo-Club de Caen
Responsable : François Hauvel
Actes/Proceedings : 1984, 26 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

4ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Bonsecours (Seine-Maritime), les 18-19 mars 1978,
Local : Casino de Bonsecours
Organisateur : Groupe Spéléologique de l’Association Sportive et Culturelle de Bonsecours
Responsable : Pierre Carlier
Comité d’organisation : Alain Gautier,
— Actes inédits/Proceedings unpublished

5ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), les 7-8 avril 1979,
Lieu : Centre de Loisirs de la Houssaye
Organisateur : Union Sportive Municipale Stéphanaise – section spéléologique
Responsable : Dominique Sinoir
Comité d’organisation : Thierry Leboulanger, Roger Lutz
Actes publiés : 1981, 21 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

6ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Alençon (Orne), les 31 mai-1er juin 1980,
Lieu : Foyer municipal
Organisateur : Chirops-Spéléo-Club
Responsable : Jacques Rouxel
— Actes inédits/Proceedings unpublished

7ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Elbeuf-sur-Seine (Seine-Maritime), les 4-5 avril 1981,
Lieu : M.J.C. d’Elbeuf
Organisateurs : Athlétique Club Renault Cléon – section spéléologie/ Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture d’Elbeuf
Responsable : Jean-Claude Staigre et Michel Boutet
Organisateurs : Jean-Pierre Viard
Actes publiés : CRSN, 6, 52 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

8ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Montivilliers (Seine-Maritime), les 3-4 avril 1982,
Local : Salle des Fêtes municipale
Organisateur : Spéléo-Club du Roule
Responsable : Thierry Lemaire
Organisateurs : Patrick Boulen,
— Actes inédits/Proceedings unpublished

9ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Hérouville-Saint-Clair (Calvados), les 23-24 avril 1983,
Local : château de Beauregard,
Organisateur : Equipe Spéléologique d’Hérouville
Responsable : François Hauvel
Actes publiés : 1984, 38 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

10ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Rouen (Seine-Maritime), les 5-6 mai 1984,
Lieu : Halle aux Toiles
Organisateur : Spéléo-Club de Rouen
Responsable : François Petit
— Actes inédits/Proceedings unpublished

11ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Dieppe (Seine-Maritime), les 11-12 mai 1985,
Lieu : Maison des Jeunes et de la Culture,
Organisateur : Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture de Dieppe
Responsable : Gérard Potier
Comité d’organisation : Luc Tréard
Actes publiés : CRSN, 8 (1987), 45 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

12ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Evreux (Eure), les 12-13 avril 1986,
Lieu : Maison des Jeunes et de la Culture,
Organisateur : Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture d’Evreux
Responsable : Dominique Lemarchand
Comité d’organisation : François Alamichel, Francis Bénard, Nelly Bouchez, Marie-Paule Rivaut
Actes publiés : Spéléo-Drack, 17 (1987), 101 p. (voir les Publications Spéléologiques Normandes)

13ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Elbeuf-sur-Seine (Seine-Maritime), les 23-24 mai 1987,
Lieu : Hôtel de Ville
Organisateur : Athlétique-Club Renault Cléon – section spéléologie
Responsable : Jean-Claude Staigre
Comité d’Organisation : Jean-Pierre Viard
— Actes inédits/Proceedings unpublished

14ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Mont-Saint-Aignan (GSH/G.S. Méandres), les 14-15 mai 1988,
Lieu : Campus universitaire
Organisateurs : Groupe Spéléologique du Havre/ Groupe spéléologique Méandres,
Responsable : Joël Rodet
Comité d’Organisation : Danièle Sayaret (GSH), Laurence Salaün (GSM), Sophie Lesieutre (GSM),
colloque « Karst et Quaternaire de la Basse-Seine« ,
Président d’honneur Georges Conrad
Responsables scientifiques : Joël Rodet et Dominique Lefebvre
Organismes associés : Laboratoire de Géologie de l’Université de Rouen, CNRS d’Aix en Provence (UA 903), Museum de Rouen (Jean-Paul Dupont),
Actes publiés : Actes du Museum de Rouen, 1988 (1), 160 p.

15ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Louviers (Eure), les 22-23 avril 1989,
Local : foyer municipal
Organisateur : Groupe spéléologique Lovérien
Responsable : Bénédicte Moinet
Comité d’organisation : Olivier Desplats
— Actes inédits/Proceedings unpublished

16ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Rouen (Seine-Maritime), les 21-22 avril 1990,
Lieu : Museum de Rouen
Organisateur : Comité Régional de Spéléologie de Normandie
Responsable : Danièle Sayaret
— Actes inédits/Proceedings unpublished

17ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Dieppe (Seine-Maritime), les 2-3 février 1991,
Lieu : Maison des Jeunes et de la Culture
Organisateur : Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture de Dieppe,
Responsable : Gérard Potier
— Actes inédits/Proceedings unpublished

18ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Les Andelys (Eure), les 28-29 mars 1992,
Lieu : ?
Organisateur : Boue, Roches, Eau, Nature (BREN),
Responsable : Yves Dulouard
— Actes inédits/Proceedings unpublished

19ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Evreux (Eure), les 08-09 mai 1993,
Lieu : Maison des Jeunes et de la Culture
Organisateur : Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture d’Evreux,
Responsable : ?
— Actes inédits/Proceedings unpublished

20ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Poses (Eure), les 20-21 avril 2012,
Lieu : Base de loisirs
Organisateur : Comité Régional de Spéléologie de Normandie
Responsable : Paul Rabelle
— Actes i

Nous avons essayé de communiquer le plus d’informations possible, afin que la mémoire ne s’éteigne pas trop rapidement. En effet, ce qui ressort aujourd’hui comme l’âge d’or de la spéléologie normande, semble s’éloigner de plus en plus, et vingt ans après, les témoins directs se font plus rares et plus discrets, surtout lorsqu’aucun écrit ne subsiste. Mais il était déjà difficile de convaincre les organisteurs de la nécessité de la trace écrite. Aujourd’hui le combat continue contre l’amnésie d’une activité oculte et discrète. Alors si vous disposez d’information complémentaire, n’hésitez pas à nous la communiquer. L’histoire n’en sera que mieux respectée.

1er Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

2ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

3ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

4ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

5ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

6ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Alençon (Orne), les 31 mai-1er juin 1980,
Lieu : Foyer municipal
Organisateur : Chirops-Spéléo-Club
Responsable : Jacques Rouxel
— Actes inédits/Proceedings unpublished

7ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

8ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

9ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

10ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Rouen (Seine-Maritime), les 5-6 mai 1984,
Lieu : Halle aux Toiles
Organisateur : Spéléo-Club de Rouen
Responsable : François Petit
— Actes inédits/Proceedings unpublished

11ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

12ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

13ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

14ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

15ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

16ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

17ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

18ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Les Andelys (Eure), les 28-29 mars 1992,
Lieu : ?
Organisateur : Boue, Roches, Eau, Nature (BREN),
Responsable : Yves Dulouard
— Actes inédits/Proceedings unpublished

19ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

20ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie

Poses (Eure), les 20-21 avril 2012,
Lieu : Base de loisirs
Organisateur : Comité Régional de Spéléologie de Normandie
Responsable : Paul Rabelle
— Actes inédits/Proceedings unpublished

nédits/Proceedings unpublished

Les Publications spéléologiques normandes

Depuis 1966, à l’instar du Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre, les spéléologues normands ont publié en créant leurs propres revues.
Since 1966, first with the Speleological Group of the Youth and Culture House of Le Havre, the norman speleologists and cavers published, creating their own journals.
Desde 1966, imitando o Grupo Espeleologico da Casa dos Jovens e da Cultura de Le Havre, os espeleologos normandos publicaram, criando as suas revistas propias.

En 1966, le Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre est la première association spéléologique de Normandie à publier un bulletin. Ce Spéléo-Drak n° 1, lancé sous l’impulsion de Michel Lepiller et Jean-Pierre Duchemin, sera sans lendemain. Il est repris, quatre ans plus tard, en 1970 sous le titre de Spéléo-Drack, par un comité de rédaction dirigé par Joël Rodet, et composé essentiellement de Jocelyne Cattreux, Edwige Régnier-Pech et François-Patrice Rodet.
Dans les années qui suivront, plusieurs associations normandes se doteront de cet outil d’information. Avec l’avènement des communications virtuelles et instantanées, presque toutes ces publications ont disparu entre 1990 et 2010. Celles qui existent encore, se comptent sur les doigts d’une seule main, et se sont spécialisées dans l’édition de monographies, au contenu moins volatile.

– Quelle source ?

Les bulletins internes n’étant pas, par définition, conçus pour une diffusion à l’extérieur de l’association, ils ne peuvent pas être retenus comme une publication (il y a « public » dans le mot et donc le contraire de « privé ») et en conséquence nous ne les avons pas mentionnés. La liste que nous avons établie est la plus complète possible, mais il est important qu’elle soit complétée car nous ne prétendons pas avoir inventoriée toute la production normande, souvent peu ou mal distribuée. C’est la première phase de notre travail d’historien et d’archiviste.

– Quel contenu ?

Dans un deuxième temps, afin de faciliter les recherches bibliographiques, nous avons décidé d’introduire le sommaire de chaque publication. Ce travail, en cours et de longue haleine, sera réalisé peu à peu. Nous espérons qu’ainsi, l’information sera plus aisée à consulter et évitera des recherches inutiles.

– Comment accéder au contenu ?

Dans un troisième temps, chaque document sera scanné et mis sous forme PDF (mentionné dans le titre), le rendant plus facilement consultable. Nous examinerons alors sous quel protocole, le rendre accessible à chacun, en fonction notamment des droits d’auteur et/ou d’éditeur (voir sur ce site, la Bibliothèque).

– De la qualité des informations

Nous mettons les lecteurs en garde quant à la qualité des documents.
1 – La qualité matérielle des documents dépend bien sûr de l’époque de leur réalisation, souvent médiocre avant l’avènement de la PAO, en raison des faibles moyens financiers des clubs-éditeurs, peu expérimentés. Aucun de ces éditeurs n’est un professionnel.
2 – Mais la qualité du support n’est malheureusement pas un critère d’évaluation de la qualité du contenu. Certains documents, de belle facture, peuvent n’offrir qu’un intérêt limité alors que d’autres, produits avec des moyens extrêmement limités, peuvent se révéler d’un très grand intérêt. De même, la réputation du support n’est pas un critère de qualité. Par exemple, la production régionale n’est pas systématiquement de meilleure qualité que la production locale. La diversité des groupements et de leurs compétences, se retrouve dans la diversité éditoriale : littéraire, scientifique, anecdotique, technique, politique, polémiste…
3 – Le seul critère que nous ayons retenu est la forme du contenu : monographie (document concernant un objet précis : un site, une réunion, une réflexion, etc.) ou varia (assemblage de différents articles et sujets)
Notre objectif n’est pas de classer ces documents selon des critères qui resteraient à définir, mais simplement de prévenir les lecteurs de la grande variété du fond et de la forme de la production spéléologique normande.

– Classement des supports

L’organisation de cet document est la suivante :
1) les publications du/des organisme(s) régional(aux) ;
2) les publications des organismes départementaux, classés par département : Calvados, Eure, Manche, Orne, Seine Maritime) ;
3) les publications des groupes, associations, clubs, individuels, selon les départements, dans l’ordre : Calvados, Eure, Manche, Orne, Seine Maritime. Lorsqu’un titre a changé de propriétaire, nous mentionnons quel numéro et le nom du nouveau propriétaire ;
4) les publications dites orphelines, c’est-à-dire qui n’appartiennent pas à une collection identifiée. Cela peut concerner un livre, une revue, un compte rendu, etc.

– Pérennisation du patrimoine écrit normand

Notre objectif est de recenser le patrimoine que constitue ces publications normandes afin que leur mémoire ne s’efface pas trop vite. En conséquence, nous sollicitons toute personne détenant des ajouts, des compléments ou des rectifications, de bien vouloir contribuer au développement et à l’écriture de l’Histoire de la Spéléologie normande, en nous communiquant ses informations. D’avance, nous l’en remercions.

1 – Publications des Instances Régionales

Normandie

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COMITE REGIONAL DE SPELEOLOGIE DE NORMANDIE (1973-2018)

CRSN

(1977-1986) [sans issn]

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1, 1977, La Commission Scientifique et Culturelle en 1976, Joël Rodet, Le Havre, 27 p., n.p., A4
p. 2 – Introduction, p. 3 – Bilan 1976, p. 7 – Stage d’initiation scientifique du CDS-76, p. 9 – Stage d’initiation scientifique Basse Normandie, p. 11 – Stage d’initiation scientifique Littoral, p. 12 – Stage scientifique Canteleu, p. 12 – Stage scientifique Orival, p. 13 – Elaboration d’une bibliographie de la craie, p. 15 – Etudes de cas : publication, fichier, p. 15 – Emission télévisée, p. 16 – Liste des cavités naturelles de la craie normande de plus de 70 m de développement, p. 17 – Annuaire 1976-1977, p. 19 – prix Gilbert Carpentier, p. 20 – Les autres régions, p. 23 – La Fédération, p. 26 – Conclusions, p. 27 – Sommaire.

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2,1978, Contacts Inter-Clubs, Angiolino Tomat, Grand Couronne, 35 p., A4.
p. 2 – Plan de l’exposé, p. 3 – Notions d’hydrogéologie karstique (R. Maire), p. 5 – Introduction, p. 6 – Historique du puits des Varras, p. 7 – Coloration, p. 8 – Eléments de karstologie (R. Maire), p. 10 – Plan et résultats, p. 12 – Traitement des fluocapteurs, p. 16 – Le rébus de la fissuration, p. 17 – Liste des tables de caractéristiques pour les cavités figurant au fichier ordinateur, p. 22 – Photo (J.-J. Deutsch), p. 24 – Les écoulements de type karstique dans la craie de Normandie (J.-C. Roux, 1978), p. 34 – Spéléologie (M. Orville, 1978), p. 35 – Terminologie de montagne (extrait de Partir, 1978).

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3, 1980, Vie des commissions, Rouen, 41 p., A4.
p. 1 – Face à une roche dure ou démunie de fissure, les spéléologues… (P. Potier), p. 23 – Comment réaliser des scellements dans la craie (M. Boutet), p. 26 – Essais de casques (M. Boutet), p. 30 – Un an d’activités de la Co. Scie.Cult. (T. Leboulanger), p. 32 – Traçage dans le bassin de la Rançon (T. Leboulanger).

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4, 1981, Spéléo-Secours Français -éléments de réflexion concernant la réorganisation des secours en Seine Maritime et Eure, Pierre Brunet, Offranville, 63 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Aux membres F.F.S. 27 & 76, p. 2 – Nomination P. Brunet (P. Rias), p. 3 – Lettre du préfet de l’Eure, p. 4 – Lettre au directeur Protection Civile de l’Eure, et annexes, p. 7 – Lettre au directeur Protection Civile de la Seine-Maritime, p. 9 – Documentation technique – prévention des accidents, p. 10 – A1-la prévention des accidents, p. 20 – Le conseiller technique secours, approche d’une définition du C.T., p. 21 – A2- En prévision des opérations de secours, p. 29 – Techniques Spéléo-Secours, compte rendu d’un spéléo-secours fictif à Caumont (mai 1978), p. 30 – A3- Les obstacles, p. 43 – A6- Secourisme, p. 46 – A7- L’hélicoptère, p. 49 – Compte rendu du spéléo-secours fictif des 20-21 mai 1978 à Caumont (27), carrière de l’Usine Allemande (J. Crevon), p. 55 – Aspects administratifs, p. 56 – AA1- Plans ORSEC, p. 59 – AA2- La police administrative, p. 60 – AA3- Le droit pénal et les secours, p. 63 – Exemple d’arrêté type pour la désignation de conseillers techniques.

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5,1982, Journées d’étude « Spéléo-Secours », Pierre Brunet, Offranville, 46 p., A4.
p. 3 – Avant-propos, p. 5 – Programme prévu, p. 7 – Remarques sur le programme prévu, p. 9 – Liste des participants, p. 10 – Groupe de travail I, p. 13 – Groupe de travail II, p. 16 – Groupe de travail III, p. 17 – Techniques de Spéléo-Secours, p. 27 – Spéléo-secours « littoral/falaises », p. 32 – Conclusions des journées d’étude, p. 34 – Schéma d’alerte, p. 35 – Liste des équipes Spéléo-Secours, p. 40 – Médicalisation des secours, p. 45 – Sommaire.

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6, 1981, Actes du 7° Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, Elbeuf-4 & 5 avril 1981, 52 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Les clubs organisateurs du VIIème congrès, p. 3 – Elbeuf, aperçu historique, p. 5 – Quelques conseils aux futurs organisateurs de congrès Région « J » (J.-C. Staigre – M. Boutet), p. 6 – Les grands moments du congrès, p. 8 – Exposition, p. 10 – Pour une pratique culturelle de la spéléologie en région normande (J. Rodet), p. 17 – Note préliminaire à l’étude hydrogéologique de deux rivières souterraines à Caumont (27) (T. Leboulanger – L. Salaün), p. 29 – Méthode d’étude d’un remplissage karstique à Caumont (27), premiers résultats (T. Leboulanger – P. Lebret), p. 39 – Commission Matériel et Technique et plongée (H. Cormier), p. 41 – G.E.S.F. (H. Cormier), p. 42 – Commission Photo, p. 42 – Protection des cavernes, p. 44 – Assemblée générale du C.R.S.N, p. 50 – Composition du Conseil Régional 81/82.

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7, 1985, Initiation aux techniques d’équipement dans la craie, stage EFS 10-11 novembre 1984, Evreux, 21 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Liste des participants, p. 3 – Déroulement, p. 5 – Les pitons « U », p. 8 – Les pitons à compression, p. 10 – Les scellements, p. 14 – Conclusion, p. 20 – Plan d’équipement et coordonnées de la falaise.

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8, 1987– Actes du 11° Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, Dieppe-1985.45 p., A4.
p. 3 – Ours, p. 5 – Samedi 11 mai 1985, p. 6 – Dimanche 12 mai 1985, p. 7 – La plaine karstique de Port-en-Bessin, travaux spéléologiques FFS/CRSN 1981 (J. Rodet, T. Leboulanger), p. 21 – Influence de l’endokarst sur les mouvements de terrain : l’exemple du système karstique de la plaine de Port en Bessin (Calvados, France) (T. Leboulanger, J. Rodet), p. 29 – Stalactites, stalagmites, pendeloques de glace (A. Tomat), p. 31 – G.S.N.U. travaux 84-85 sur le commune d’Orival (76) (M. Boutet), p. 33 – A propos de l’inventaire spéléologique de la Seine Maritime (J. Rodet), p. 35 – Bilan d’activités de la commission de protection du karst année 1984 Région J (R. Fareu), p. 39 – Grotte Le Nid, La Bouille, Seine Maritime (A. Tomat, H. Tomat), p. 41 – Prototype de chariot de désobstruction par le COC/GSR (A. Tomat), 45 – Revue de presse.

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Spéléo-Drack

(1987-1987) [issn 0224-1749]

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avantle n° 17, voir le Groupe Spéléologique du Havre

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17, 1987, Actes du 12° Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, Evreux, 12-13 avril 1986, 101 p., A4.
p. 3 – Ours, p. 7 – Editorial (D. Lemarchand), p. 9 – Le mot de la présidente (M.-P. Rivault), p. 11 – Programme du congrès, p. 13 – Bilan de l’organisation (N. Boucher – D. Lemarchand), p. 16 – Prix du Meilleur Spéléo Normand 1986, p. 17 – Communications, p. 17 – Liste des exposants, p. 19 – Publications : cuvée 2985-1986 (P. Guenet), p. 21 – Les grandes cavités mondiales dans les calcaires poreux (J. Rodet), p. 25 – La Section Spéléologie de l’Athlétic Club Renault Cléon (J.-C. Staigre), p. 29 – Travaux de recherche et de désobstruction du Groupe Spéléologique de la M.J.C. de Dieppe – saison 1985/1986, p. 37 – Carrière de Tsouchima, Vernon, Eure – dernière exploitation active souterraine de craie en Normandie (D. Anquetil – A. Tomat), p. 43 – Sandy Hole – grotte du porche de la Jacqueline, Caumont, Eure (G. Saignes), p. 47 – Matériels et techniques – dispositif pour la descente des puits de marnière ; la « chèvre » (D. Anquetil – J.-M. Lecoq), p. 51 – Matériels et techniques – le perforateur à batterie, le pistolet à résine (P. Deschamp – A. Tomat), p. 55 – Comité Spéléologique d’Ile de France – commission vidéo « spéléo et vidéo » (D. Lemarchand), p. 57 – Groupe Mammalogique Normand, Section de l’Eure – chauves-souris et spéléologues (F. Leugé), p. 63 – Activité Spéléo-Secours 27 – bilan stage « chef d’équipe Spéléo-Secours » 1985/1986 (F. Menu), p. 71 – Bilan et projet de la commission E.F.S. Région J (J.-C. Staigre), p. 75 – Nouvelles données sur le système karstique littoral des Pertes de l’Aure (Bessin, Calvados, France) – bilan des campagnes 1981-1985 (T. Leboulanger).

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18– à partir du n° 18, voir le Centre Normand d’Etude du Karst et des Cavités du Sous-sol

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Spéléo Contact Normand

(1995 ? -2002 ?) [sans issn]

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4, février 2001

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5, juin 2001, varia, 4 p., A4

p. 1 – Editorial (A. Gautierr), Sommaire, Ours, Vie régionale : vie administrative ; remboursement de la dette du CRSN au Pylône ; actions d’éducation à l’environnement, p. 2 : FNDS 2001 ; Emploi local d’insertion ; Vie des CDS : Eure, Seine Maritime, Orne (P. Vautier) ; remerciements ; Agenda spéléo : LSBN (J.-L. Ribot) ; p. 3 : brèves ; CDS 27 : Saulges, Grands Causses (F. Bénard) ; Dernière minute ; Commissions : publications A. Gautier), SSF 76 (F. Maury) ; p. 4 : EFS (J.-M. Lecoq), Vie des Clubs – ACKO (Y. Texier) ; Côté Karst : grotte des Petites Dales, grotte de Bosville (A. Gautier) ; Exposition Jean Hoüel.

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6, novembre 2002, varia, 6 p., A4.
p. 1 – Editorial (P. Vautier), Ours, Sommaire, Vie régionale : remboursement de l’achat du Pylône à la FFS ; F.N.D.S. 2002 ; Région Haute-Normandie ; Caumont ; Emploi local d’insertion ; Biotope souterrain ; B.R.G.M. sollicite C.R.S.N. (P. Vautier), p. 2 – Infos des C.D.S. : C.D.S. 27 (F. Besnard), p. 3 – Commissions : E.F.S. (J.-M. Lecoq) ; Plongée (N. Boucher) ; Publications (A.R.E.H.N.), p. 4 – Passion Club : A.C.R.F.C. (M. Kaspruk) ; un nouveau club 76 ; Internet ; Groupe Spéléo de l’Arcade (C. Héquet), p. 5 – Côté Karst : Grotte des Petites Dales (J.-P. Viard & J. Rodet), p. 5 – Coup de zoom : Ushuaia Nature (A. Gautier), p. 6 – Spéléologues débutants ou sportifs, (re)découvrez les grottes de Villequier…

2 – Publications des Instances Départementales

14 – Calvados

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LIGUE SPELEOLOGIQUE DE BASSE NORMANDIE Caen (1981-2016)

En 2016, la Ligue Spéléologique de Basse Normandie a été transformée en Comité Départemental de Spéléologie du Calvados (CDS-14) en raison de la nouvelle définition des Régions Françaises, qui rassemble désormais Haute et Basse Normandie en une seule et même région Normandie.

Hypogées

[issn 1163-7358]

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4, 1993 – varia,

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5, décembre 1993– varia, 7 p., A4.
p. 1 – Editorial : un nouveau projet (M. Chauveau), p. 2 …

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6, juin 1994

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7, décembre 1994– varia, 11 p., A4.
p. 1 – Edito (L. Dujardin), ours, Sommaire, p. 2 – Fichier cavités, p. 3 – Plateaux karstiques sous couverture en France, p. 5 – Historique des travaux 1993 dans le karst de la Mansonnière (Bellou-sur-Huisne, Orne) (J. Rodet), p. 9 – Marnière de Réveillon (Orne), p. 11 – Divers.

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8, juin 1995, Marnières

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n° spécial, octobre 1995– Pertes de l’Aure, A. Hauvel – L. Dujardin – P. Madelaine – J.-L. Ribot, P. Coulombier -M. Chauveau, 15 p., A4.
p. 1 – Contexte géologique des Pertes de l’Aure, p. 3 – Situation géographique, p. 5 – Impressions souterraines, découvertes des Pertes de l’Aure (P. Coulombier), p. 7 – Archives, p. 9 – La cavité, p. 12 – Où l’on reparle d’un canal, p. 14 – Avenir spéléologique des Pertes de l’Aure, p. 15 – Dernière minute

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9, 1995– varia, 10 p., A4. PDF
p. 2 – Ligue Spéléo de Basse Normandie, p. 3 – Edito (M. Chauveau), sommaire n° 9, p. 4 – Saulges 95, le retour (F. Lebeurrier), p. 7 – Fichier des cavités souterraines en Basse Normandie (Calvados, suite) (L. Dujardin), p. 8 – A propos du brevet d’état en spéléologie, nouvelle édition du « Que sais-je ? », p. 9 – Rencontre des Pertes de l’Aure avec le Trou de l’Arc (P. Martin), p. 10 – L’écho souterrain

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10,

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11, janvier 1997– varia, 11 p., A4. PDF
p. 1 – ours, p. 2 – Edito (L. Dujardin), Sommaire, Sortie Mayenne-Sciences du 07.07.1996 (P. Martin), p. 3 – Les souterrains de Tinchebray (Orne) (L. Dujardin), p. 5 – Historique des travaux 1994 dans le karst de la Mansonnière (Bellou-sur-Huisne, Orne) (J. Rodet), p. 10 – Mayenne-Sciences juillet 1996 (F. Lebeurrier), p. 11 – Clécy : nettoyage du site de l’Aiguillette (A. Lefèvre).

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12,

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13, 1997– varia, 13 p., A4. PDF
p. 1 – ours, p. 2 – Edito, Internet, Sommaire, p. 3 – Chevaline en Belgique, p. 5 – Sauvetage insolite, mercredi 18 juin 1997 (P. Madeleine) ; p. 8 – Les sorties – ambiance (P. Martin), p. 12 – Brèves, p. 13 – La Science en Fête à Bellou sur Huisne (Orne).

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14, septembre 1998– varia, 19 p., A4. PDF
p. 0 – ours, p. 1 – Editorial, Sommaire, p. 2 – La marnière n° 1 de Berd’Huis (Orne) (L. Dujardin), p. 5 – Historique des travaux 1995 dans le karst de la Mansonnière (Bellou-sur-Huisne, Orne) (J. Rodet), p. 9 – La carrière souterraine n° 1 de Courtonne-les-Deux-Eglises (Calvados) (L. Dujardin – P. Madeleine), p. 13 – Compte rendu du stage organisé par la commission des jeunes à Rouen (F. Auvray), p. 14 – J’étais avec « Spéléo-Secours » au sauvetage de la grotte du Rey (Mayenne) (R. Rougeron), p. 15 – Brèves, Lu pour vous, p. 16 – Semaine de la Science, p. 18 – 22ème Congrès national de Subterranéologie, 8-10/05/1999, p. 19 – Exploration des grottes de Jobourg.

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15, décembre 1998– varia, 17 p., A4. PDF
p. 1 – Editorial, Sommaire, p. 2 – Les marnières n° 1 et n° 2 de Souaçé à Préaux-du-Perche (Orne). Un nouveau type de marnière en Normandie (L. Dujardin), p. 5 – Historique des travaux 1996 dans le karst de la Mansonnière (Bellou-sur-Huisne, Orne) (J. Rodet), p. 10 – Le puits de l’aqueduc de Commes (Calvados) (J.-L. Ribot), p. 12 – La Pierre-Saint-Martin. Sortie interclubs du 24/10/98 au 01/11/98 (P. Madeleine), p. 14 – Brèves, Lu pour vous, p. 15 – Bibliothèque de l’E.S.H., Actions de promotion, p. 16 – La Semaine de la Science dans la presse, p. 17 – Divers.

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16, juin 1999– varia, 22 p., A4. PDF
p. 0 – Ligue spéléologique de Basse-Normandie, ours, p. 1 – Editorial, sommaire, petite rubrique nostalgie, p. 2 – Historique des travaux 1997 dans le karst de la Mansonnière (Bellou sur Huisne, Orne) (J. Rodet), p. 7 – La géologie des cavités souterraines de la Basse-Normandie (L. Dujardin), p. 10 – Carrière souterraine de la Mairie (Saint Julien sur Sarthe – Orne) (J. Rodet – J.-L. Audam), p. 16 – Opération Camembert (F. Lebeurrier), p. 18 – Quand une bernique rencontre un fossile d’huître (E. Tessier), p. 19 – Lu pour vous, bibliothèque, p. 21 – Divers, p. 22 – Les sites touristiques concernant le spéléologue en Basse-Normandie.

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17, 2000– varia, 17 p., A4
p. 1 – Sommaire, Editorial, Rubrique nostalgie, p. 2 – Les carrières souterraines de l’agglomération caennaise (L. Dujardin), p. 9 – L’ardoise, un matériau dit fissile (P. Madeleine), p. 13 – La chimie et la spéléologie (L. Dujardin), p. 15 – Lettre aux amies spéléos de l’ESH (N. Barbey), p. 16 – Lu pour vous, Bibliothèques, Divers.

27 – Eure

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COMITE DEPARTEMENTAL DE SPELEOLOGIE DE L’EURE (1972-2018)

Spéléo-27

Evreux [sans issn]

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1, mars 1973– varia, 18 p., A4.
p. 2 – Comité département de spéléologie de l’Eure, p. 3 – Enquête sur le Sec-Iton (F. Grout), p. 11 – L’éclairage secours, p. 12 – Un puits de 100 m dans l’Eure (S.-C. de l’Eure), p. 13 – Les plus belles concrétions de Normandie (P. Andrieu), p. 15 – Le Spéléo-Club des Andelys, p. 15 – Le Spéléo-Club de l’Eure, p. 16 – Comité départemental de spéléologie de l’Eure : statuts.

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2, septembre 1973– varia, 29 p., A4.
p. 2 – Le Comité Départemental de Spéléologie de l’Eure, p. 3 – Liste des membres, p. 5 – Adieu à Jean-Philippe Vela (P. Andrieu – J.-C. Langevin), p. 6 – Compte rendu du camp en Charente (F. Grout), p. 10 – A.B.C. de l’amarrage (A. Charreyron), p. 12 – A.B.C. de l’escalade artificielle, p. 13 – Carte des curiosités spéléologiques de la région d’Evreux (P. Andrieu), p. 14 – Une psychologie spéléologique (A. Charreyron), p. 16 – Nouvelles des Andelys (A. Béziel), p. 17 – La vie d’un club : compte rendu d’activités du Spéléo-Club de l’Eure, p. 19 – Le puits d’Irréville (P. Andrieu), p. 21 – Compte rendu de la sortie au Trou Wéron (J.-C. Langevin), p. 23 – Bibliothèque du C.D.S., p. 25 – La détection radiesthésique (G. Douaud), p. 27 – Dernière heure, p. 28 – Annonces (publicitaires).

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3, mars 1974– varia, 41 p., A4.
p. 2 – Liste des membres du bureau du C.D.S., p. 3 – Liste des membres du Spéléo-Club de l’Eure, p. 4 – Compte rendu d’activités du S.C.E., p. 10- Inventaire spéléologique de l’Eure : 1ère partie, arrondissement d’Evreux ; 2ème partie : arrondissement des Andelys, p. 14 – La grotte d’Aubevoye (Cl. & Cl. Sarazin), p. 16 – Le Sec-Iton (G. Douaud), p. 18 – Excursion à Fromelennes (P. Andrieu), p. 19 – Quelques topographies des grottes de l’Eure, p. 24 – Eléments de législation française, p. 26 – Problème spéléo logique, p. 27 – Bibliothèque du C.D.S., p. 30 – Sélection, p. 32 – Quelques topographies de Caumont (Eure), p. 40 – La Sitivate Paum’pa.

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4, mars 1975– varia, 52 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Comité Départemental de Spéléologie de l’Eure, p. 3 – Compte rendu d’activités du Spéléo-Club de l’Eure, p. 8 – Les grottes de Caumont en 1895 (E. Spalikowski), p. 10 – Inventaire spéléologique de l’Eure, p. 13 – Initiation (B. Fouet), p. 16 – En Mayenne dans les grottes de Saulges (P. Andrieu), p. 18 – A propos de la recherche du cours souterrain de l’Iton (G. Douaud), p. 20 – Le karst de l’Iton (P. Andrieu), p. 22 – Lampe à acétylène – planches anatomiques, p. 24 – Périgueux 1974 (C. Sarazin & C. Sarazin), p. 28 – Spéléologie et télévision (P. Andrieu), p. 29 – Solution du problème spéléologique, p. 32 – Un congrès régional normand (J. Thorel), p. 34 – Visite au Musée Spéléologique de Gagny (P. David), p. 35 – Le club et la M.J.C. (P. Andrieu), p. 37 – Circulaire préfectorale (R. Hayem), p. 38 – Humour Kalh’bond, p. 39 – Les fossiles (R. Sanchez), p. 40 – Conseils au futur spéléologue non initié qui voudrait explorer sans risques, p. 41 – Caumont : suite des topographies, p. 46 – Analyse du Spéléo-Club de l’Eure, p. 47 – Organisation du club pour 1975, p. 48 – Bibliothèque du C.D.S. (A. Gendreau), p. 52 – Dernière heure.

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5, décembre 1976– varia, 41 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Organigramme du Comité Départemental de Spéléologie de l’Eure, p. 3 – Liste des membres affiliés pour l’année 1976, p. 4 – Liste des cavités naturelles de la craie normande de plus de 70 m de développement (J. Rodet), p. 5 – Carrière de Caumont, topographie du réseau de la Jacqueline, p. 7 – Compte rendu d’activités du Spéléo-Club de l’Eure, p. 12 – Le diable a caché son trou ? (G. Mazzochi), p. 13 – La Roche-Percée (G. Douaud), p. 15 – Le puits des Boscherons (G. Douaud), p. 17 – Allo les pompiers… (Association Spéléo-Secours des Sapeurs Pompiers de l’Eure), p. 19 – Désob. à la rivière des Robots (Caumont) (M. Boutet), p. 21 – Compte rendu de la sortie en Belgique (J. Mouraud), p. 23 – Les fossiles (suite) (R. Sanchez), p. 26 – A ceux qui veulent sortir de leur trou (G. Douaud), p. 27 – Flash thyristorisé (G. Douaud), p. 30 – Aperçus hydrologiques (G. Douaud), p. 32 – Bricolage : la lampe mixte (M. Boutet), p. 33 – Contribution à la connaissance des cavités naturelles du karst haut normand (G. Douaud), p. 38 – Callebonde à pression (G. Douaud), p. 41 – Histoire de spéléo… (G. Douaud).

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La Lanterne Magique

Evreux [0297-939X]

avantle n° 4, voir le Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture d’Evreux

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4, 2ème trimestre 1989– varia, 88 p., A4, PDF.
p. 2 – Ours, p. 3 – Sommaire, p. 4 – Editorial (N. Boucher), p. 5 – Travaux spéléologiques sur le Mont Pivin (Les Andelys, Eure) (J.-C. Staigre, J.-P. Viard, D. Olivo, C. Olivo), p. 15 – Rapport de stage topographie du CRSN, novembre 1987, Caumont, Eure (R. Lutz, F. Maury, L. Maury-Salaün, J.-C. Staigre), p. 53 – Les zones noyées de la carrière Bapeaume (F. Menu), p. 57 – Le puits du Prieuré (F. Menu), p. 61 – Rapport de stage Découverte du karst normand organisé par le CRSN les 30 avril et 01 mai 1988 à Caumont, Eure (M. Vanden Abeele), p. 85 – Echos des profondeurs.

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5, avril 1989– Les fiches d’équipement du GSL à Caumont – 1ère série, 42 p. (n.p.), A4, PDF.
p. 2 – Ours, p. 3 – Sommaire, p. 5 – Editorial, p. 6 – Deux mots sur Caumont … p. 7 – Grandes carrières – plan, p. 8 – La veine qu’on a, p. 10 – Les Narines, p. 12 – Le Mât, p. 14 – Les Canonniers, p. 16 – La Fakir, p. 18 – Le Conte d’Albert, p. 20 – Le Dilemme, p. 22 – La Voie Lactée, p. 24 – Les Chocottes, p. 26 – Le puits René, p. 28 – Les Trois Compères, p. 30 – Le puits du Pylône, p. 32 – La Gothique, p. 34 – La Luxure, p. 36 – Le Coup de Barre, p. 38 – Contact du Groupe Spéléologique Lovérien, p. 39 – Les dangers d’éboulement à Caumont-Mauny (M. Amat).

50 – Manche

voir 14 – Calvados : Ligue Spéléologique de Basse Normandie

61 – Orne

voir 14 – Calvados : Ligue Spéléologique de Basse Normandie

76 – Seine Maritime

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COMITE DEPARTEMENTAL DE SPELEOLOGIE DE SEINE MARITIME (1970-2018)

Bulletin-CDS-76

[sans issn]

1, 1976– varia, 7 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Comité départemental de spéléologie de la Seine-Maritime, p. 2 – Editorial (J. Crevon), p. 4 – Liste des clubs du C.D.S.-76, p. 6 – Nouvelles départementales, p. 7 – Réunion CDS-76 le 20 mars 1976.

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2, janvier 1977– varia, 6 p., A4, PDF.
p . 1 – Spéléo ? pour qui… par qui… (J. Crevon), p. 2 – Compte rendu de la réunion du C.D.S. du 11.12.1976, p. 3 – Groupe Spéléo du Havre – compte rendu d’activités, p. 3 – G.S.N.U. – extrait de la Calbonde n° 7, p. 4 – A noter : un nouveau club affilié FFS : Spéléo-Club 76, Congrès Régional de Spéléologie (J. Crevon), au sujet des réunions du CDS 76 (J. Crevon), important : l’accès du 17 piles est interdit, p. 5 – Spéléo-Secours, p. 6 – Adresses utiles, Erratum, Dernière heure.

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3, 1980– varia, Epouville, 47 p., 21×31.
p. 3 – Editorial (T. Lemaire), p. 4 – Sommaire, p. 5 – Assemblée générale du CDS-76, p. 9 – Extrait du compte rendu de la réunion de bureau du CRSN, le 09/02/1980 à Caen, p. 14 – Presse : élection du nouveau président du CDS-76, p. 15 – Dans les clubs… Spéléo-Club de Rouen, p. 16 – Spéléo-Club du Roule, p. 17 – Athlétic Club Renault Cléon (J.-C. Staigre), p. 18 – Groupe Spéléo A.S.C. Bonsecours, p. 19 – Spéléo Val de Seine, p. 20 – Groupe Spéléologique Normand Universitaire, p. 21 – Le réseau hydrogéologique de Caumont (Eure) (J.-M. Langbour, C. Dodelin, J. Rodet, J. Sautereau – 1977) + ajouts, p. 27 – Cauville : après l’affaissement de terrain les recherches se poursuivent (presse), p. 28 – CRSN, congrès d’Alençon, p. 32 – Pour faire de la spéléo… en Seine Maritime, p. 33 – Comment protéger nos cavernes ? contribution au débat (T. Lemaire), p. 37 – Les congés pour stages, p. 39 – Brevetés ou qualifiés demeurant en Seine-Maritime au 03/09/1980, p. 40 – Liste des cavités naturelles de Seine Maritime, p. 42 – Le trou Houdin, Ymare (J.-C.Staigre), p. 43 – Vu dans Spelunca, p. 46 – Les 15 ans du club spéléo MJC Havre, mémoire « les cavités du Lot ».

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4, 1981 – varia,
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Flash !

[sans issn]

1, 1977 – varia, 3 p. (n.p.),

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CDS-76-Infos

[sans issn]

1, 1980 – varia, 4 p. (n.p.),

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2, 1980 – varia, 4 p. (n.p.),

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3, 1980 – varia, 2 p. (n.p.),

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4, 1980 – varia, 4 p. (n.p.),

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5, 1980 – varia, 2 p. (n.p.),

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6, 1980 – varia, 4 p.,

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7, 1980 – varia, 2 p. (n.p.),

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8, 1980 – varia, 8 p. (n.p.),

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9, 1980 – varia, 3 p. (n.p.),

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10, 1981 – varia, 7 p.,

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11, 1981 – varia, 8 p. (n.p.),

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12, 1981 – varia, 6 p.,

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13, 1981 – varia, 3 p. (n.p.),

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14, 1981 – spécial « stage de formation », 10 p. (n.p.),

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15, 1981 – spécial « Congrès FFS », 14 p.,

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16, 1981 – varia,

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17, 1981 – varia, 1 p,

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18, 1982 – varia, 6 p.,

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19, 1982 – varia, 1 p.,

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20, 1982 – varia, 4 p.,

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21, mars 1984– varia, Yvetot, 27 p. (mal paginé), A4.
p. 3 – Présentation (D. Bothorel), p. 4 – Compte rendu de la réunion du conseil CDS-76, p. 5 – Mot du président (D. Bothorel), p. 7 – Statuts CDS-76, p. 11 – Bilan financier, p. 11b – Associations de la Seine-Maritime, p. 12 – Circulation de l’information (J. Rodet), p. 15 – Spéléo-secours 76, p. 17 – Conclusions, p. 18 – Questions, p. 19b – Réservations CDS 76, p. 20 – Techniques (J.-C. Staigre), p. 21 – Comment réaliser un scellement (M. Boutet), p. 22 – Nouvelles de Savoie (D. Bothorel), p. 23 – Informations financières, p. 25 – Publications, p. 25b – Les centres normands d’informations spéléologiques (J.-C. Staigre), p. 26 – Sommaire, p. 27 – Ours.

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22, mars 1985– varia, Notre-Dame-de-Gravenchon, numéroté 23 par erreur, 20 p. (n.p.), 21×30.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Sorgonaute 2 (J.-P. Viard), p. 4 – Les grandes cavités de la craie en Seine-Maritime, état au 01 décembre 1984 (J. Rodet), p. 7 – Les Caux des profondeurs (J.-C. Staigre), p. 10 – Les vaccinations (C. Migraine), p. 12 – Diététique du sportif (complément du contrôle de l’effort) (C. Migraine), p. 13 – Concours photo, bourse aux équipiers, p. 14 – Adresses, Clubs, CDS-76 (G. Simon), p. 15 – Réglementation J & S pour la spéléologie en 76, p. 16 – Spéléo-secours de Seine Maritime, p. 20 – Ours.

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L’Ursus

[issn 0761-7569]

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avantle n° 10, voir la Section Spéléologie de l’Athlétic-Club Renault de Cléon

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10, 1989– varia, Canteleu, 54 p., A4, PDF.
p. 1 – Pourquoi une politique de publication pour le C.D.S.-76 ? (J.-L. Audam – J. Rodet), p. 3 – Les Caux en profondeur, p. 9 – Opération Beuzevillette – travaux dans la carrière souterraine du Hameau des Côtes (Beuzevillette, Seine-Maritime) (T. Leboulanger – F. Maury), p. 13 – Prospection sur le canton d’Elbeuf (Seine-Maritime) (J.-C. Staigre), p. 17 – Les carrières souterraines du Mont d’Eu (Martin-Eglise, Seine-Maritime) (J.-C. Staigre), p. 18 – A propos de l’effondrement d’Houdetot (Seine-Maritime) (J.-C. Staigre), p. 19 – Approche du karst de la Roche Foulon (Orival, Seine-Maritime) (J. Rodet, D. Sayaret, J.-C. Staigre, M. Amat, M. Boutet, L. Gouel, F. Harel, V. Mari, L. Pelfrene), p. 29 – Histoire de la commission scientifique normande, bilan raisonné 1975-1988 (D. Sayaret), p. 39 – Quelques notions de diététique (M. Vanden Abeele), p. 43 – Matériel et techniques (F. Gost – J.-P. Viard), p. 47 – Spéléologie, vous avez dit …spéléologie, p. 53 – Ours, p. 54 – Sommaire.

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11, décembre 1990– varia, Canteleu, 68 p., A4, PDF.
p. 3 – Editorial (D. Sayaret), p. 4 – Ours, p. 5 – Les Caux en profondeur, p. 15 – Essai statistique et cartographique des phénomènes karstiques de Seine Maritime en 1987 (F. Maury), p. 23 – Le karst de la Riberdrie (Freneuse, Seine-Maritime) (P. Béguin), p. 27 – Les marnières à puits en Seine Maritime (J.-L. Audam), p. 31 – La grotte du Funiculaire, quarante ans de désobstruction (Le Mesnil-sous-Jumièges, Seine Maritime) (G. Coquerel, D. Lefebvre, J. Rodet, J.-C. Staigre), p. 39 – Les cavités artificielles de Bordeaux-Saint Clair (canton de Criquetot l’Esneval) (J. Rodet), p. 46 – Liste-inventaire des sites à tufs et travertins du littoral haut normand (J. Rodet), p. 49 – Expédition au gouffre Berger 1987 (R. Lutz), p. 53 – Quelques notions de diététiques (suite) (M. Vanden Abeele), p. 59 – Stage de formation aux techniques de la photographie souterraine, 21 au 23 mai 1988 à Besain (Jura) (J.-L. Audam – R. Lutz), p. 63 – Matériel & techniques (J.-P. Viard), p. 65 – Spéléologie, vous avez dit …spéléologie, p. 68 – Sommaire.

3 -Publications des Associations Locales

14 – Calvados

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SPELEO-CLUB DE CAEN (1962-1994)

Le Garbure

[sans issn]

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1, janvier 1975– varia, Caen, 41 p., A4.
p. 4 – Editorial (F. Hauvel), p. 6 – Prospection (Y. Anne), p. 10 – Caen et ses carrières (R. Le Helley), p. 14 – Premières impressions (J. Gaillard), p. 17 – La plongée souterraine (J. Bouchard), p. 19 – Projecteur diapo bricolé (R. Le Helley), p. 24 – Sorite pédestre spéléobicyclogie (P. Maguin – G. Plessis), p. 26 – Jumelage (R. Voisin), p. 28 – Pour les jeunes (Y. Anne), p. 29 – Historique (R. Anne), p. 30 – Géologie (J.-C. Nicols), p. 34 – Activités 1974.

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2, janvier 1976– varia, 43 p., A4.
p. 3 – éditorial (J. Bouchard), p. 4 – Activités 1975, p. 7 – Présentation du Spéléo-Club du Gerny (M. Delpierre), p. 10 – Répartition des phénomènes karstiques dans la Manche (Y. Druet), p. 15 – Le Chaab 75, 2ème expédition (F. Hauvel), p. 33 – Plongée souterraine (J. Bouchard), p. 35 – Historique 65-74, p. 39 – Nouvelles diverses.

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3, janvier 1977– varia, 30 p., A4.
p. 3 – Editorial (J. Bouchard), p. 4 – Archéologie, p. 6 – Les chiroptères (F. Hauvel), p. 8 – Biospéléologie dans les mines normandes (J.-C. Nichols), p. 9 – La grotte de la Fontaine de Rivire (Belgique), p. 14 – Vercors 1976, p. 22 – Compte rendu du congrès région J à Caen, 12 et 13 novembre 1977, p. 25 – Poignée pour bloqueur, p. 26 – Activités 1976, p. 29 – Humour.

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE RECHERCHES ET DE PREVENTION – FLEURY SUR ORNE

Hypogées

[sans issn]

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1, mars 1991, varia, 8 p., A4.
p. 1 – Editorial (D. Achard), p. 2 – L’escalade « toute une passion » (Amaury), mise au point, p. 3 – Expé Lot février 1991, p. 4-5 – Grotte de la Verte Veuille : topographie, p. 6 – Eco-musée de Fleury sur Orne, Violation permanente, p. 7 – Descente de canyon, nouvelles diverses, petites annonces, p. 8 – Les noeuds

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3, mai 1992

27 – Eure

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GROUPEMENT DE RECHERCHES ET D’ETUDE SOUTERRAINES DE L’EURE Saint Sébastien de Morsent (1981-1990)

L’Eure Souterraine

[sans issn]

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1, 1982– Henri Lamiray, 36 p., A4.
p. 1 – Préface (R. Fareu), p. 2 – L’Iton, rivière folle ! rivière martyre ! rivière fantôme ! (H. Lamiray, 1938), p. 21 – Une excursion au Sec-Iton (H. Lamiray, 1924), p. 34 – Compte rendu d’une exploration au Sec-Iton (extrait de E. Ferray, Hydrographie du département de l’Eure).

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2, 1983– Antoine Passy, 51 p., A4.
p. 1 – Préface (R. Fareu), p. 2 – Description géologique du département de l’Eure, avec un appendice contenant des notes sur l’orographie, l’hydrologie, la géologie, l’agriculture, l’industrie et la botanique de chaque commune (A. Passy, 1874), p. 3 – De l’eau (p. 196-208), p. 16 – Puits (p. 209-212), p. 20 – Puits artésiens (213-218), p. 26 – Rivières (p. 219-229), p. 37 – Constitution géologique de l’arrondissement d’Evreux : climat, régime des eaux (auteur ?, après 1923).

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3, 1984– René Bonnin – Edouard Ferray, 97 p., A4.
p. 1 – Dédicace (R. Fareu), p. 2 – Préface (R. Fareu), p. 5 – Etude sur les pertes de l’Iton (R. Bonin, 1867), p. 17 – Les rivières du département de l’Eure qui disparaissent – leur cours souterrain -leurs points de réapparition (E. Ferray, 1894), p. 22 – La Rille, p. 27 – L’Avre, p. 34 – L’Iton, p. 46 – Les pertes de l’Iton (E. Ferray, 1882), p. 52 – Etude chimique des eaux de la ville d’Evreux et de ses environs (E. Ferray, 1893), p. 91 – Traçage des sources de Caillly (Diénert, 1923), p. 92 – La ville de Paris et les sources de Cailly et de Fontaine-sous-Jouy (anonyme, 1922), p. 93 – Extraits de journaux de 1929, p. 94 – Sommaire.

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4, 1985– Henri Chartraine – Edouard Ferray – Guillaume Thomas Deschesne, 112 p., A4.
p. 0 – Préface (R. Fareu), p. 1 – Une excursion à l’Iton souterrain (H. Chartraine), p. 13 – Hydrographie du département de l’Eure – première partie Hydrographie souterraine, pertes et renaissances de rivières. La Rille, l’Avre, l’Iton et ses cavernes, une excursion à l’Iton souterrain (E. Ferray), p. 15 – I Historique, p. 29 – II La Rille, p. 39 – III L’Avre, p. 55 – IV L’Iton et ses cavernes, p. 82 – Epilogue, p. 85 – Voeu concernant les eaux de l’Avre, présenté par M E. Féray et adopté par le Conseil d’Arrondissement d’Evreux dans la session d’août 1890, p. 108 – Observations sur l’Avre (Guillaume Thomas, sieur Deschêne, conseiller du Roi, 1675), p. 111 – Sommaire.

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE LA MAISON DES JEUNES ET DE LA CULTURE D’EVREUX (1970-2018)

La Lanterne Magique

[0297-939X]

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1, mai 1985– varia, 50 p., A4, PDF.
p. 1 – Sommaire, ours, p. 2 – Edito (R. Madec), p. 3 – Prospection sur le plateau de Canappeville (P. Guenet, P. Lecoutteux), p. 23 – La carrière de Villalet (R. Madec), p. 27 – Des chauves-souris dans le département de l’Eure (F. Leugé), p. 34 – La lampe à acétylène (R. Madec), p. 39 – Le carbure de calcium et l’acétylène (R. Madec), p. 42 – Premières impressions… Côte d’Or, mars 1985 (G. Vigouroux), p. 44 – Le temps d’un week-end, à la découverte de la Fosse Mobile avec les spéléos de la M.J.C. d’Evreux (Nelly Boucher) + reportage Paris-Normandie, 9-10 février 1985, p. 48 – Le groupe spéléo de la M.J.C. d’Evreux de A à Z…

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2, 1986– Spécial 12° Congrès, 30 p., A4, PDF.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Editorial (P. Lecoutteux), p. 3 – Programme du congrès, p. 4 – Le Sec-Iton, la rivière folle, p. 12 – Les cavités du Moulin Heulin (P. Guénet, P. Lecoutteux, J.-P ; Letourneau), p. 22 – Le système karstique des Pertes de l’Aure, commune de Maisons, Calvados (D. Lemarchand – T. Leboulanger), p. 29 – Marie-Paule Rivault, une spirituelle spéléo (C. Naze).

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3, mai 1987– Contribution à l’Inventaire Spéléologique du Département de l’Eure, Joël Rodet, Danièle Sayaret et Jean-Claude Staigre, 30 p., A4, PDF.
p. 2 – Editorial, p. 3 – En guise d’introduction ! (J. Rodet), p. 11 – Contribution à l’inventaire spéléologique du département de l’Eure, p. 28 – Index des communes, p. 30 – Sommaire.

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4= à partir du numéro 4, consulter le Comité Départemental de Spéléologie de l’Eure

50 – Manche

sans objet

61 – Orne

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CHIROPS SPELEO-CLUB D’ALENCON (1976-1982)

Chirops

[sans issn]

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1, 1978– varia, 59 p., A4.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Liste des membres, p. 4 – Présentation du club spéléo (J. Rouxel), p. 7 – Bilan de notre première année de fonctionnement (P. Petibon), p. 9 – Liste des cavités explorée durant l’année 1977, p. 13 – Compte rendu de nos explorations, p. 14 – Grotte de Sabart (J. Rouxel), p. 18 – Camp du mois d’août, Lot (J. Rouxel, P. Petibon, S. Lecherbonnier), p. 27 – Camp du mois de novembre ; Grands Causses (C. Hubert, P. Petibon, J. Rouxel), p. 42 – Autres explorations (C. Hubert, D. Bernard), p. 45 – Etude régionale : le trou de Gacé (J. Rouxel), p. 52 – Quelques notions techniques (C. Hubert, X. de Vicente).

76 – Seine Maritime

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE LA MAISON DES JEUNES ET DE LA CULTURE DE DIEPPE (1980-1998)

Le Puits Merveilleux

[sans issn]

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1, 1983– varia, 20 p. (n.p.), A4, PDF.
p. 1 – Editorial, p. 2 – Nos recherches dans les puits, p. 7 – B.D. recherche spéléologique…, p. 9 – Quatre cavités artificielles, p. 14 – La grotte de la Côte de Cativet (Aulnay-sur Iton, 27), p. 15 – Les cavités du Moulin Heulin, Brosville, 27.

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2, 1984– varia, 31 p. (n.p.), 1 plan h.t., A4, PDF.
p. 1 – Sommaire du n° 2, p. 2 – Travaux de prospection, p. 7 – Quelques cavités artificielles, p. 20 – Dessins, p. 21 – Grotte des Blancs Patis, Varengeville-sur-Mer (76), p. 23 – Brosville, ça continue – les cav ités du Moulin Heulin (2ème partie), p. 24 – La perte du Rébrac, Villalet 27, p. 27 – Recherche bibliographique Bassin de l’Iton, p. 28 – Dessins, p. 29 – Escalade urbaine à Dieppe ! (Groupe Montagne-FSGT, Maison Jacques Prévert).

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3, 1985– varia, 59 p. (n.p.), A4, PDF.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Editorial, p. 3 – Travaux de prospection : a) puits, p. 12 – B.D., p. 13 – b) cavités artificielles, p. 34 – B. D., p. 35 – Cavités du Moulin Heulin (plan), p. 36 – Grotte des Blancs Patis, p. 39 – Cavité n° 3 de Pourville, p. 43 – B.D., p. 44 – Les gobes, p. 48 – Spéléo en Sardaigne.

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4, avril 1986– varia, 46 p. (mal paginé), A4, PDF.
p. 3 – Ours, p. 5 – Sommaire, p. 7 – Editorial, p. 11 – Pourville, p. 15 – Grotte des Blancs Patis, p. 19 – Spéléologie dans l’Aisne, p. 29 – Travaux de prospection, p. 31 – Carrières…, p. 51 – Puits…, p. 69 – Nos vieux puits (extrait de « Connaissance de Dieppe et de sa région, n° 15, 1986), p. 71 – Le Groupe Spéléo de la M.J.C. de Dieppe de A à Z…

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5, 1987– Le karst crayeux des falaises littorales du Vimeu (Picardie, Somme, France), Joël Rodet et Danièle Sayaret, 57 p. (115 p. mal paginées), A4, PDF.
p. 5 – Sommaire, p. 7 – Résumé – Abstract, p. 9 – 1. Présentation géographique, p. 13 – 2. Inventaire spéléologique, p. 13 – 2.1. Commune de Ault, p. 13 – 2.1.1. Lieu-dit Le bois de Cise, p. 13 – 2.1.2. Lieu-dit Le Deuxième Val, p. 19 – 2.1.3. Lieu-dit Le premier Val, p. 25 – 2.1.4. Lieu-dit Bel Air, p. 31 – 2.1.5. Lieu-dit Ault, p. 35 – 2.2. Commune de Mers-les-Bains, p. 35 – 2.2.1. Lieu-dit La Cavée, p. 45 – 2.2.2. Lieu-dit le Fresnoi, p. 69 – 2.2.3. Lieu-dit Boulval, p. 81 – 2.2.4. Lieu-dit Rompval p. 97 – 2.3. Commune de Saint Quentin-La Motte-Croix au Baiily, p. 97 – 2.3.1. Lieu-dit Le Grand Mont, p. 103 – 3. Le karst du littoral du Vimeu, p. 103 – 3.1. Bilans communaux, p. 103 – 3.1.1. Ault, p. 105 – 3.1.2. Mers-les-Bains, p. 107 – 3.1.3. Saint Quentin-La Motte-Croix au Bailly, p. 107 – 3.2. Synthèse morphométrique, p. 109 – 3.3. Karst et fissuration, p. 113 – Conclusion, p. 115 – Bibliographie.

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SPELEO-CLUB DE ROUEN Rouen (1955-201 ?)

Info-Club

[sans issn]

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13, mars 1981– varia, 12 p. (13 p. car deux fois p. 3), 21×27, A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Stage de formation technique du 3 au 9 septembre 1981, p. 3 – Calendrier des stages nationaux 1981, p. 3 – Lot… et foie gras, p. 6 – Descendeur-bloqueur Tracson (brevet Motte), p. 8 – Comment topographier une ligne droite…, p. 9 – Grotte de la Roche Fouet, Orival (76) ; topographie, p. 10 – Les mousquetons (catalogue Vieux-Campeur, été 1980), p. 11 – Les sorties du mois, p. 12 – Extraits de presse.

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GROUPE SPELEOLOGIQUE NORMAND UNIVERSITAIRE Mont Saint Aignan (1962-2011)

La Calbonde

(première série) [issn 0767-3787]

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1, 1972– varia, (n.p.), 21×27.
p. 1 – Organigramme Groupe Spéléologique Normand Universitaire, p. 2 – Editorial (G. Bodin), sommaire, p. 3 – Le mot du président (Y. Sautejeau), p. 4 – Sur l’organisation de la FFS, p. 5 – Sur les cheiroptères, recherches sur le processus d’orientation employé par les chauves-souris, p. 6 – Nouveaux matériels d’éclairage (Y. Sautejeau), p. 13 – Des cavités en Normandie – – – ah ! (J.-M. Langbour, G. Bodin), p. 15 – Commission matériel : baudrier (J. Talon), p. 16 – Commission matériel : combiné shunt/frein (J. Talon, G. Bodin), p. 19 – Camp d’été 1971, p. 23 – Quoi de neuf.

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2, 1972– varia, 32 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Au sommaire, p. 2 – Préambule, p. 3 – Dix ans sous terre (Y. Sautejeau), p. 7 – L’Igue Saint Sol (J. Talon), p. 9 – Mathurins, Carbonié, Montclar 1, Montclar 2, p. 14 – La chauve-souris, p. 15 – Lettre à Georges (C. Tavernier), p. 17 – Session d’équipier de 1er degré, Caumont 1972 (Y. Sautejeau), p. 21 – Bibliographie spéléologique (J. Talon), p. 23 – Aimez-vous Beethoven ? p. 24 – La Luxure (J.-M. Langbour), p. 26 – Les échelles (J. Talon), p. 29 – Commission photo-cinéma du G.S.N.U. (F. & M. Gallet) ; p. 31 – C.R. Congrès de Toulon, p. 32 – Quoi de neuf ?

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3, 1973– varia, 49 p. (n.p.), A4.
p. 2 – Bureau et commissions du GSNU, p. 3 – Sommaire, p. 4 – Éditorial (G. Bodin), p. 5 – Réflexions sur une corde d’attache (B. Beuzeboc), p. 10 – Sur l’évolution de la spéléologie (G. Bodin), p. 12 – Au sujet du comportement des spéléologues (J.-M. Langbour), p. 14 – Les 10 moyens de tuer une association, p. 15 – Le mystère du puits de La Saussaye – présence des templiers (M. Luhmann & P. Bezin), p. 18 – Carrière des Maquisards (J.-M. Langbour), p. 20 – Compte rendu de sortie : Doubs, p. 24 – C. R. de sortie camp d’été 1972 (M. Gomez & J.-M. Langbour), p. 29 – Spéléo-secours en Normandie p. 30 – Compte rendu du camp du Lot – août 1972 (J. Talon), p. 35 – Généralités sur le monde vivant de nos grottes (C. Dodelin), p. 30 – Pour une meilleure connaissance de Caumont ou l’intérêt de la Biospéléologie (T. Leconte), p. 41 – L’histoire géologique de Caumont (Eure), p. 45 – La protection des chauves-souris (J. Fairon), p. 48 – Quoi de neuf ? (J.-M. Langbour).

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4, 1974– varia, 34 p. (n.p.), A4.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Editorial (M. Luhmann), p. 4 – Quoi de neuf ? p. 5 – Historique de Caumont (M. Luhmann), p. 7 – A propos du cidaris (C. Dodelin), p. 10 – Mouche de la famille des Sciaridae (C. Dodelin), p. 12 – Opération Marnières 72 (C. Dodelin), p. 19 – La spéléo en Angleterre (N. Coghlan), p. 28 – Sécurité en spéléologie (P. Castin), p. 32 – Cheminée du Mât (J.-M. Langbour), p. 34 – Stage d’initiation et de découverte du milieu souterrain – initiation des pompiers de l’Eure (G. Bodin),

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5, 1975– varia, 49 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Coup d’oeil sur les archives du G.S.N.U. à propos de la Rivière Blanche ou des Robots (C. Dodelin), p. 10 – Biospéléologie (C. Dodelin), p. 11 – Stage Matériel et Techniques à Font d’Urle, juillet 1974 (C. Dodelin), p. 13 – Spéléo à Déservilliers dans le Doubs (C. Dodelin), p. 15 – Compte rendu de sortie dans le Jura du 22/8/74 au 1/9/74 (J.-P. & M. Dodelin), p. 23 – Bref séjour dans le Lot août 1974 (C. Dodelin), p. 26 – Recherches dans un puits romain à Vilettes (Eure) (M. Anquetil), p. 29 – Puits de 96 m dans l’Eure (C. Dodelin & J.-L. Fruit), p. 33 – Jura, faute de neige on fait de la spéléo (C. Dodelin), p. 34 – Photographie souterraines (M. Luhmann), p. 44 – Le Boussouil (Y. Langbour), p. 47 – Adresses utiles pour vos achats (J. Talon), p. 48 – Vie du club G.S.N.U., p. 49 – Liste des membres du G.S.N.U. au 20 janvier 1975.

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6, 1975– varia, 49 p. (n.p.), A4.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Compte rendu d’activité G.S.N.U. pour l’année 1974-1975, la vie du club pour 1976 ( C. Dodelin), p. 5 – Contribution à l’inventaire spéléologique de Canteleu et sa région (C. Dodelin), p. 13 – Compte rendu d’expédition au puits du Vieux Château de Saint Pierre de Varengeville (M. Anquetil), p. 14 – Villette, puits aux Anglais 1975 (M. Anquetil), p. 16 – Le Casse-Tête (J.-M. Langbour, C. Dodelin), p. 19 – Le Coup de Barre (J.-M. Langbour), p. 21 – Travaux effectués dans le Trou de l’Obus / B.R.G.M. (M. Berne), p. 26 – P.25 à Bihorel, P.30 à Bois-Guillaume (C. Dodelin), p. 27 – Puits de 105 m au château de Montigny (C. Dodelin), p. 28 – Camp du Lot 1975 (M. Amat, R. Laidet), p. 31 – Pyrénées 1975 à Monbula (C. Dodelin, J. Crevon), p. 43 – Stage de spécialisation/perfectionnement de juillet 1975 à Béhorléguy (M. Anquetil, P. Lesaulnier), p. 47 – Simples mots pour les détritologues… (J. Crevon), p. 48 – Quelques adresses pour votre matériel (M. Boutet), p. 49 – Dernières nouvelles (C. Dodelin).

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7, 1976– varia, 60 p. (n.p.), A4.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Réseau hydrogéologique de Caumont (Eure) (J.-M. Langbour, C. Dodelin, J. Rodet, J. Sautereau), p. 8 – Bibliographie concernant les grottes de Caumont (J.-M. Langbour), p. 11 – Le Coeur-Creux (J.-M. Langbour, M. Amat), p. 13 – La Galère (J.-M. Langbour), p. 15 – Réseau de la Boue – Salle Blanche (J.-M. Langbour), p. 17 – Réseau de la Boue – salle du Labo (J.-M. Langbour), p. 19 – Salle du Bateau (J.-M. Langbour), p. 21 – Contribution à l’inventaire spéléologique de Canteleu et de sa région (2) partie) (C. Dodelin), p. 30 – Recherches sur l’oison et la rivière du Bohue (M. Boutet), p. 34 – Arphidia (Pyrénées Atlantiques) Pâques 76 (René Laidet), p. 35 – Camp d’été à la grotte d’En Gorner, Villefranche de Conflent, Pyrénées Orientales (P. Renoult), p. 39 – Participation à l’expédition A.R.S.Ha.L §è6, 1° août au 21 août à la Cigalère et au gouffre Martel (P. Renoult, M. Duhamel), p. 40 – Quelques visites souterraines rapides en 1976 (C. Dodelin), p. 42 – Spéléo en Belgique (Y. Langbour, R. Laidet), p. 47 – Réflexion sur le comportement du spéléologue (Y. Langbour), p. 48 – Respect et propreté des cavernes (Y. Langbour, extrait de P. Courbon – Atlas des gouffres de Provence), p. 50 – Gilbert Carpentier (C. Dodelin), p. 52 – Comment aider un équipier fatigué dans un puits (C. Dodelin), p. 54 – Tentes isothermiques (C. Dodelin), p. 57 – Echos de la vie du club (C. Dodelin).

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8, 1977– varia, 27 p. (48 p. avec annexes), A4.
p. 0 – Sommaire, p. 1 – Pourquoi des archives et des notes spéléologiques vieilles de plus de cent ans ? (J.-M. Langbour, M. Berne), p. 14 – Le Complexe, réseau de l’Aragonite, cheminée de la Pierre Branlante, réseau des Frangins, le Conte d’Albert (J.-M. Langbour), p. 17 – Trou du Garde (Savoie) (C. Dodelin) – situé par erreur en Haute Savoie, p. 18 – En Gorner (Villefranche de Conflant, 66) (P. Renoult), p. 19 – Prospection sur l’Arre Planère (massif de la Pierre Saint Martin, Pyr. Atl.) (R. Laidet), p. 21 – Grotte du Renard, commune d’Orival (76) (A. Tomat), p. 24 – Sauvetage jumars (C. Dodelin), 3 p. d’humour (A. Langbour), p. 25 – Activités du club – 1er trimestre 1977 (C. Dodelin, R. Laidet).

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9, 1977– varia, 43 p. (+ fig. h.t.), A4.
p. 0 – Sommaire, p. 1 – Philippe Sulkowski (J. Crevon), p. 2 – Désobstruction au trou aux Corbeaux ou trou Jean-Marie (J.-M. Langbour), p. 2bis – Trou Jean-Marie (suite) (P. Groult, M. Boutet), p. 3 – Les archives (J.-M. Langbour), p. 11 – Trou du Diable (A. Tomat), p. 12 – Carrière des Trémies, carrière des Prémices, carrière Eugène, marnière Micky (A. Tomat), p. 15 – Igue de Viazac (- 238) Lot (R. Laidet), p. 17 – Camp dans le Lot du 6 au 18 août 77 (M. Amat), p. 20 – Expédition du 8 au 13 septembre 1977 (M. Anquetil), p. 22 – Un bref séjour dans le Vercors (R. Laidet), p. 24 – Scialet Monique (Isère) (C. Dodelin, P. Lesaulnier), p. 25 – Rivière de Bury (Vercors) (P. Renoult, R. Laidet), p. 26 – Golet du Tambourin (-400) (Isère) (C. Dodelin), p. 27 – Chourum des Aiguilles, Dévoluy (C. Dodelin), p. 28 – Gouffre du Caladaïre (P. Lesaulnier, M. Boemare), p. 29 – Camp à Villefranche de Conflent, Pyrénées Orientales, ç au 17 juillet 1977 (P. Renoult), p. 30 – Monbula, Hautes Pyrénées et Pyrénées Atlantiques, campagne juillet 77 (C. Dodelin, P. Lesaulnier), p. 34 – Comment se comportent nos amarrages (C. Dodelin), p. 37 – Décrochage : du bloqueur au descendeur (C. Dodelin), p. 38 – Question posée aux spéléos débutants (J. Crevon), p. 40 – Activités du club en 1977 – début 78 (R. Laidet, C. Dodelin).

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10, 1984– varia, 39 p. (+ fig. h.t.), A4.
p. 0 – Sommaire, p. 1 – Editorial (J.-M. Langbour), p. 2 – Les archives (J. Sautereau), p. 12 – Canteleu : dernières découvertes en 1978 ((C. Dodelin), p. 14 – Grotte du Renard, Orival 76 (M. Amat), p. 16 – Affaissements, trous, marnières au Pays de Caux (L. Torchy), p. 21 – Compte rendu du puits du Chêne Henri, du puits de Gaillard (F. Chauvet, L. Leplay), p. 22 – Marnière aux Outils (M. Amat, D. Guillemette), p. 23 – Curieuses concrétions en forme de bivalves dans les carrières de la région parisienne (T. Matteudi), p. 24 – Lot 81-82 (L. Torchy), p. 34 – Histoire d’un gouffre révolutionnaire – bande dessinée (J.-M. Langbour), p. 38 – La carrière des Blancs (L. Machy, P. Quatremare).

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La Calbonde

(hors série) [issn 0767-3787]

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1, 1982– Inventaire biblio des cavités, réseaux, France, Etranger, Laurent Torchy, 42 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Avant-propos, p. 3 – Classement par publications, p. 4 – Clubs français, p. 22 – Clubs étrangers, p. 23 – Spelunca, p. 29 – Classement par département ou régions, p. 34 – Classement par pays étrangers, p. 36 – Dernières acquisitions, p. 37 – Matériel et techniques d’après Spelunca.

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La Calbonde

(nouvelle série 2) [issn 0767-3787]

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1, 1986– varia, 73 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Copyright, p. 3 – Editorial, p. 4 – Hors série t. 2 – inventaire biblio des cavités, réseaux, France, Etranger (L. Torchy), p. 5 – Sommaire, p. 6 – Avant-propos, p. 7 – Erreurs du hors-série t. 1 (L. Torchy), p. 17 – Spéléo sur le Causse Méjean… (J. Boulier), p. 21 – Compte rendu des camps 1982 & 1984 au B1 (M. Rechté). p. 27 – Compte rendu du camp 84 ASSEC (M. Rechté), p. 46 – Réseau du Trou d’Enfer & tentatives de premières le 8.9.1984, sortie du 15 septembre 1984, commune d’Orival 76 (M. Boutet), p. 52 – Compte rendu de trois sorties au laboratoire souterrain d’Henri Gadeau de Kerville (J.-M. Langbour), p. 57 – Eléments de minéralogie ; la calcite, l’aragonite, le gypse, la dolomite, le mondmilch, p. 63 – Commande électronique pour éclairage mixte (M. Rechté), p. 71 – Propos sur les sourciers (M. Boutet), p. 73 – Ours.

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2, 1989 – 25 ans de topographie souterraine, n.p.,

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3, avril 1990– varia, 68 p. (n.p.), A4, PDF.
p. 1 – Editorial (M. Lefebvre), p. 2 – Qu’on se le dise, p. 3 – G.S.N.U. – la section spéléo du R.U.C., organigramme, p. 5 – Sommaire, p. 6 – Marnière du Décagine (M. Lefèbvre), p. 8 – Caves Blaiset (J.-M. Langbour), p. 11 – La grotte de Dieppedalle, carrière Biessard, réexploration du 11 novembre 1089 (M. Lemerrer, J.-C. Lecomte), p. 13 – Orival (M. Boutet), p. 15 – Les caves du Paradis (Le Bec Hellouin, 27) M. Boutet), p. 17 – Marnière du Monthiard (Saint Paër) (M. Lefebvre), p. 19 – Marnière du Bas Mouchel (Saint Paër) (M. Lefebvre), p. 21 – Marnière du Souterrain (Saint Paër) (M. Lefebvre), p. 23 – Complexe du laboratoire de spéléobiologie expérimentale de Henri Gadeau de Kerville à Saint Paër (J.-C. Lecomte), p. 25 – Puits de la Croix Bigot (Saint Léonard) (M. Lefebvre), p. 28 – Puits de la Ferme Douillet, commune de Roumare, exploration le 6 janvier 1990 (J.-C. Lecomte), p. 30 – Puits Chantereine, commune de Turretot, exploration le 17 avril 1988 (J.-C. Lecomte), p. 32 – Sortie Etretat le 28 mai 1988, GSNU exsurgence d’Etretat (M. Lefebvre), p. 35 – Puits du Manoir d’Azelonde, commune de Criquetot l’Esneval, exploration le 13 mars 1988 (J.-C. Lecomte), p. 37 – Puits Beau Soleil (Criquetot l’Esneval) (M. Lefebvre), p. 40 – Puits Beau Soleil, commune de Criquetot l’Esneval, exploration le 8 octobre1987 (J.-C. Lecomte), p. 44 – Couvent Sainte Barbe, Canteleu (M. Lefebvre), p. 46 – Camps GSNU – Ardèche, p. 47 – Midroï (M. Lefebvre), p. 48 – Rochas (M. Lefebvre), p. 50 – Traversée de Saint Marcel d’Ardèche (M. Lefebvre), p. 55 – Camps GSNU – Pyrénées, p. 57 – Camp GSNU Pyrénées juillet et août 1989, p. 62 – Trou d’à côté (J.-M. Langbour), p. 65 – Grotte des Deux Avens (M. Lefebvre), p. 66 – Signes spéléologiques conventionnels, p. 68 – Ours.

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4, 1991 – varia, 85 p.,

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5, février 1992– varia, 74 p., A4, PDF.
p. 1 – Editorial – un club, des spéléologues, leur activité, p. 2 – Sommaire, p. 3 – Qu’on se le dise, p. 4 – La région, p. 5 – Etretat (M. Lefrançois), p. 8 – Puits des Ormeaux (M. Lefebvre), p. 9 – Marnière du Château, Vergetot (M. Lefebvre), p. 10 – La grotte de l’Effraie, carrière Biessard, réexploration du 2 mars 1991 (M. Lemerrer, J.-C. Lecomte), p. 12 – Sur le chemin des anciens (M. Lefebvre), p. 14 – La complainte du spéléo (Y. Langbour), p. 16 – L’Ardèche, gorges, spéléologie, canoë, juillet 1991, p. 17 – Ardèche en mai (M. Lefebvre), p. 19 – Ardèche en juillet 1991 (M. Lefebvre), p. 23 – Sur le territoire des Tricoche (M. Lefebvre), p. 24 – Rencontre 5Martine & Bernard), p. 27 – Vaucluse 1991 (M. Lefebvre), p. 29 – Causses terres d’évasion (M. Lefrançois), p. 31 – Les Pyrénées, grottes glacées, escalade, canyons, août 1991, p. 32 – Gavarnie : cirque et brèche (A. Langbour), p. 34 – Essence pyrénéenne (M. Lefrançois), p. 38 – Massif du Marboré (M. Amat), p. 39 – Espoir déçu (J.-M. Langbour), p. 40 – Silence de glace (M. Lefrançois), p. 41 – Cascades (M. Lefrançois), p. 42 – Jouvence pyrénéenne (M. LEfrançois), p. 44 – La légende de las tres sorores, p. 45 – Souvenirs (A. Langbour), p. 47 – Partir ? (M. Lefrançois), p. 48 – Participants du camp août 1991, p. 49 – Attention, chauves-souris (A. Langbour, M. Lefebvre), p. 55 – Le puits aux archives (J.-M. Langbour), p. 72 – Page ouverte du GSNU, p. 73 – GSNU, la section spéléo du RUC, le club – organigramme, p. 74 – Ours.

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6, 1993, varia, 48 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Avant-propos, p. 3 – Editorial, p. 4 – La Calbonde (M. Lefebvre), p. 5 – Qu’on se le dise, p. 6 – Marnière du Parquet (M. Lefebvre), p. 9 – Les marnières (J.-M. Langbour), p. 16 – Puits de la Rue Saint Antonin (J.-C. Lecomte), p. 18 – Carrières Bouleux n° 1, 2 et 3 (P. Beaufils), p. 22 – Vallée de la Durdent (M. Lefebvre), p. 23 – Réseau hydrogéologique du Pylône (J.-M. Langbour), p. 28 – La rivière des Robots (P. Beaufils), p. 30 – Chauve-souris (suite et fin) (M. Lefebvre), p .39 – Mais qui sont-ils ? (P. Mainemare), p. 40 – Grimpeurs ou rampants ? (C. Brosse, P. Mainemare), p. 41 – Week-end en Mayenne (C. Brosse, P. Mainemare), p. 44 – Lu pour vous (M. Boutet), p. 47 – Organigramme G.S.N.U., p. 48 – Ours.

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE L’ASSOCIATION SPORTIVE ET CULTURELLE DE BONSECOURS (1965-1981)

La Scrofule

[sans issn]

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1, 1975– varia, 81 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Introduction (P. Carlier), p. 4 – Nos travaux 1975 (A. Gautier), p. 17 – Découverte du réseau des Quatre (P. Carlier – A. Gautier – F. Chevreau), p. 28 – Mini camp spéléo à Saulges (Mayenne) (A. Gautier), p. 32 – Camp en … Jura (F. Chevreau), p. 46 – Camp du Vercors (A. Gautier), p. 60 – Les réseaux naturels de la carrière des « Dames Verdier » (J. Wilkinson), p. 66 – Commission Spéléologique pour l’aménagement du parc de Brotonne (A. Gautier), p. 73 – Quelques conseils pour les spéléos débutants (F. Chevreau), p. 75 – Spéléologues qui etes-vous ? (F. Chevreau), p. 78 – prière du spéléologue (R. Parrot), p. 79 – La spéléologie ? (A. Ducroiset), p. 81 – Membres du G.S.A.S.C.B. 1975.

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2, 1977– varia, 37 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Activités 76 (A. Gautier), p. 4 – Travaux à la carrière du Pylône (A. Gautier), p. 8 – Mayenne 1976 (A. Gautier), p. 11 – Camps spéléos en Vercors et dans le Lot (A. Gautier), p. 24 – Trou Bernard (Mont sur Meuse, Belgique) (P. Carlier), p. 25 – Comment on va sous terre (F. Chevreau), p. 26 – Spéléo-fiction (F. Chevreau), p. 29 – La grotte des camés (A. Gautier), p. 30 – Une recrue a la parole (M. Lambert), p. 31 – Gilbert Carpentier (P. Carlier), p. 35 – A propos des Brasconnies (Lot).

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3, 1977– varia, 37 p. (mal paginé), A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Activités 77 -A. Gautier), p. 8 – Camp d’été 1977 Haute Savoie – Vercors (A. Gautier, F. Chevreau, J. Anquetil, P. Carlier, M. Lambert), p. 24 – Week-end prolongé en Belgique (A. Gautier – P. Carlier), p. 29 – Etude sommaire des chiroptères (J.-M. Groult), p. 32 – Vers de terre (C. Delaunay), p. 33 – Un paradis (D. Cadinot), Les grottes (S. Habert), p. 34 – Mayenne 77 – grottes de Saulges (A. Gautier), p. 36 – Grotte du Mesnil ou Grotte Le Bail (A. Gautier), p. 39 – La marnière de la Bretonne (A. Gautier), p. 40 – Deux carrières souterraines dans La Londe (A. Gautier), p. 41 – Les cavités de Veules-les-Roses (A. Gautier), p. 42 – Compte rendu du 1er festival du film International spéléo (J.-L. Corruble), p. 46 – Au centre de la terre – la plongée spéléo (F. Lecoustey).

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4, 1978– varia, 67 p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – Activités 78 (A. Gautier – F. Gautier), p. 4 – sorties effectuées en 1978 (A. Gautier), p. 8 – FFS(BD) (A. Gautier), p. 9 – IV Congrès régional spéléologique normand, p. 14 – Camp d’été 1978 – Vercors (A. gautier – J. Anquetil), p. 29 – Raid Haute Savoie et Jura (J. Anquetil), p. 31 – BD (A. Gautier), p. 32 – Les cavités artificielles du parc régional de Brotonne (J.-M. Groult), p. 34 – Le puits de la Savonnerie (76) (A. Gautier), p. 36 – Le puits du Chêne Henry (F. Chauvet – L. Leplay), p. 37 – Carrière de Norville (76) (J.-M. Groult), p. 39 – Grotte de Sainte-Croix (27) (J.-M. Groult), p. 40 – Grotte des Partisans (27) (J.-M. Groult), p. 42 – Marnière de la Grande-Rue (27) (J.-M. Groult), p. 43 – Nos travaux en Mayenne (A. Gautier), p. 58 – Bref historique biospéléologique de la Cave à Margot (A. Gautier), p. 59 – Les grottes de Saulges à travers la presse (A. Gautier), p. 62 – BD Poubellogis 2000 (A. Gautier), p. 63 – Humour grottesque (A. Gautier), p.64 – Stage formation technique Causse Méjean – Mas de Val, 08-13/04/1978 (P. Carlier), p. 67 – BD (J. Anquetil).

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La Scrofule

numéros spéciaux [sans issn]

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1, 1978– Spécial « Bandes Dessinées », Alain Gautier – Jérôme Anquetil, 32 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Spécial Scrofule B.D. (F. Gautier), 31 planches dessin.

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GROUPE D’ETUDE ET DE RECHERCHES SPELEOLOGIQUES DE ROUEN – ILE DE PAQUES (1983-2016)

Recherches Spéléologiques

[issn 0762-8596]

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1, juillet 1984– Découverte d’endocarpes dans un tunnel de lave de la presqu’île de Poïke, Pierre Carlier – Alain Gautier – Jean-Marie Groult, 12 p., A4, PDF.
p. 3 – Rapa Nui, p. 3 – Poike, p. 5 – Circonstances de la découverte, p. 5 – Ana Makoi, p. 7 – Le Jubaea spectabilis, p. 11 – Bibliographie, p. 12 – membres des expéditions.

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2, août 1985– Les tunnels de lave de la presqu’île de Poïke, un lieu-dit, une caverne : Ana O Keke, Pierre Carlier – Alain Gautier – Jean-Marie Groult, 22 p., A4, PDF.
p. 3 – Un lieu-dit, une caverne : Ana O Keke, p. 3 – L’Ile de Pâques et la presqu’île de Poïké, p. 5 – La cavité de Ana O Keke, p. 9 – Ana O Keke et la tradition orale, p. 11 – Les pétroglyphes de Ana O Keke, p. 17 – La technique de gravure, p. 17 – Une écriture ? p. 19 – La datation, p. 20 – Conclusion, p. 21 – Bibliographie, p. 22 – Membres des expéditions.

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3, 1986 – Les cavernes de l’Ile de Pâques (Chili), 36 p.,

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE LA MAISON DES JEUNES ET DE LA CULTURE D’ELBEUF (197….)

Le Trou (x)

[sans issn]

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1, s.d. – varia, n.p.,

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2, sans date– varia, n.p., A4.
p. 1 – Sommaire, p. 2 – En guise d’éditorial, p. 3 – La Négligée, p. 5 – Camp dans le Lot, p. 21 – Norbert, la main dans le sac, p. 24 – Compte rendu du camp dans le Doubs (Toussaint 78), p. 32 – Relax Max, ça glisse !!!!!, p. 34 – Sortie spéléologique en collaboration avec 5 membres du G.S.N.U. et un membre du G.S.MP.J.C.E., p. 36 – Infos diverses, p. 37 – Liste des membres du GS-MJC-E.

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3, 1982– varia, 38 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Bonjour (M. Boutet), p. 2 – Ariège 1979 (M. Boutet), p. 8 – A propos des stages perfectionnement (Eric ?), p. 10 – Camp Ardèche 80 (M. Boutet), p. 16 – Camp spéléo août 1981 (GSMJCE, individuels J.), p. 19 – Visite à la Henne Morte (E. Delnatte), p. 23 – Phénomènes karstiques des falaises d’Orival 76 (M. Boutet), p. 31 – Essais de casques, p. 34 – Quelques points sur la médicalisation en spéléo (d’après CDS-31), p. 37 – Eclairage mixte (B. Damoy, M. Boutet).

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Vincent MARI Caudebec-lès-Elbeuf

Le Ténébreux Indépendant

ou l’activité d’un individuel [issn 0981-3365]

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1, 1986– varia, 39 p., A4.
p. 1 – Pourquoi ce livre ? p. 2 – Pourquoi individuel ? p. 3 – Avant l’individualité, stage régional Lozère 83, p. 7 – Grotte du Pylône n° 2 : Caumont, p. 9 – Puits de la Collégiale (La Saussaye) descente du samedi 29 septembre 1984, p. 12 – A propos de topographie, p. 13 – Réseau du Lapin : La Londe 76, p. 14 – Grottes des Six Frères : Orival, p. 16 – Où en est Cénorival ? (Orival 503,28 x 1180,81), p. 18 – Résurgences fossiles de la Roche Foulon : Orival, p. 21 – Grotte n° 2 des Troglodytes (RF 8) : Orival, p. 24 – Faille de la Vénerie : Orival, p. 25 – L’entaille « murée », p. 26 – Le Puits Bouillant, p. 27 – Juillet 84 dans les Causses, p. 30 – Le grand aven du Mont Marcou – les motivations, p. 31 – Février 1985 dans les Causses – deuxième tentative au grand aven du Mont Marcou, p. 34 – Septembre 1985 dans le Vercors, p. 36 – Remarques et réflexions diverses, p. 37 – Bibliographie sommaire, p. 38 – Sommaire.

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2, 1987– varia, 39 p., A4.
p. 1 – Préface, p. 2 – Comment naît le « ténébreux indépendant », p. 3 – R.F. 7, p. 5 – 1° jonction à Orival J.R.F. 1, p. 8 – Orival, N.238 secteur nord-ouest, p. 11 – Trou du Torps, p. 12 – Marnière de la vallée de l’Aubrière, p. 15 – Enigmes hydrogéologiques, p. 17 – Sur la commune de Louviers, p. 19 – Inventaire de la commune d’Orival, p. 20 – Utilisation des coordonnées Lambert, p. 21 – Utilisation de la carte à 1/25.000, p. 22 – Utilisation du CROLL pour la montée à l’échelle, p. 24 – Mai 1986 dans les Causses, p. 27 – Eté 1986 dans les Causses : aspect spéléologique, p. 30 – Sur les traces des « Causses Majeurs » de E.-A. Martel, p. 33 – En marge de la spéléologie, descente de cascades, p. 34 – Grande randonnée, le tour du Mont-Blanc 1° partie : des Houches à Courmayeur, p. 37 – Bibliographie sommaire, p. 38 – Sommaire.

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3, 1er trimestre 1988– varia, 48 p., A4.
p. 1 – Préface, p. 2 – Jeu de mots masqués, p. 3 – Trois phénomènes hydrauliques, p. 5 – Etonnante falaise d’alluvions (La Neuville-du-Bosc), p. 6 – Les grès de Saint Ouen-du-Tilleul, p. 7 – Un exemple de collaboration : Cénorival, p. 13 – Pourquoi s’obstiner sur Orival ? ; p. 14 – Autres travaux et découvertes, p. 15 – Domaine aquifère, pérennité des sources, p. 21 – Essai d’explication des sources temporaires, p. 25 – Rôle des siphons dans l’intermittence, p. 27 – Ardèche, 1er contact, novembre 1986, p. 30 – Spéléologie dans les Causses (1987), p. 36 – Grande randonnée : le GR 66, tour de l’Aigoual, p. 39 – Commentaires sur deux randonnées du livre « escalades et randonnées dans les grands Causses » du C.A.F. des Causses et Cévennes, p. 40 – Connaissances spéléologiques au 10 novembre 1987, p. 43 – Errata et additifs au n° 2, p. 44 – Bibliographie, p. 45 – Index des photographies, p. 46 – Sommaire.

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BUREAU DE RECHERCHE ORIVALAIS DE COORDINATION SPELEOLOGIQUE (1989-1992)

Spéléorival

[sans issn]

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1, 15 avril 1989– varia, 31 p., A4.
p. 1 – Préface (V. Mari), p. 3 – Pourquoi ? Orival, une idée à creuser (M. Boutet), p. 8 – Comprenons-nous ! terminologie, carsisme et karstification (V. Mari), p. 9 – Repérages… immatriculation, délimitation des différents secteurs, cavités de Seine Maritime de plus de 50 m (V. Mari), p. 12 – Désob en cours : le Trou d’Enfer, Réseau X, A.J.N.F. 2, Réseaux du Cimetière n° 1 et 2 (M. Boutet), p. 23 – Fiche technique : domaine aquifère (V. Mari), p. 29 – Jeux : jeu des mots masqués, p. 30 – Bibliographie sommaire.

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2, 14 octobre 1989– varia, 28 p., A4.
p. 1 – Le mot du président (V. Mari), p. 2 – Situation, p. 3 – Trou de la Benne, p. 4 – Le trou du P.N. 30, p. 6 – La butte du Catelier (M. Boutet), p. 8 – Cavités du Nouveau Monde (topographie), p. 9 – Catelier : CR 4 à 7 (V. Mari), p. 12 – Exemple d’érosion, p. 13 – Les sources (V. Mari), p. 18 – Travaux en cours, p. 19 – Les jeux, p. 20 – Travaux de Jean-Marie Bailleux (V. Mari), p. 21 – Camp à Pâques, gouffre de la Légarde, gouffre de la combe de Malvaux (J.-M. Bailleux), p. 27 – Ours, p. 28 – Photographies.

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3, 19 mai 1990– varia, 22 p., A4.
p. 0 – Sommaire, p. 0’ – Editorial (V. Mari), p. 1 – Réseaux naturels de la Roche Foulon, p. 3 – Cheminée à la Bourrique (E. Samson), p. 5 – Trous des A.N. (J.-M. Bailleux), p. 7 – R.F. 8 (V. Mari), p. 8 – Chariot funiculaire (V. Mari), p. 9 – R.F. 7 (V. Mari), p. 10 – Le complexe Cénorival (M. Boutet & P. Grout), p. 18 – L’importance des remplissages dans pour la compréhension des cavernes (V. Mari), p. 22 – Les jeux – Ours.

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SECTION SPELEOLOGIE DE L’ATHLETIC-CLUB RENAULT DE CLEON (1975-2018)

L’Ursus

[issn 0761-7569]

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1, 1976– varia, 18 p., A4, PDF.
p. 1 – Hommage à Gilbert Carpentier, p. 2 – Qu’avons-nous fait en 1975 ? p. 6 – Le trou Wéron, p. 7 – Le coin de l’Ursus, p. 8 – Nos travaux en 1975 1-Le puits René, p. 9 – Nos travaux en 1975 2-L’équipement du viaduc des 17 Piles, p. 10 – Nos travaux en 1975 3-Le réseau BRGM, p. 13 – Sortie Pâques 1975, p. 15 – Sortie de printemps (Michel), p. 16 – Les chauves-souris,

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2, 1977– varia, 24 p. (n.p.), A4, PDF.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Le mot du président (J.-P. Viard), p. 4 – Qu’avons-nous fait en 1976 ? p. 8 – Impressions d’un débutant (A. Rohem), p. 10 – Montmaur le 5 août 76 premières sorties du camp de vacances (Marcel), p. 11 – Chorum Clos, mercredi 4 août 76 (Michel), p. 12 – Journée du vendredi 6 août 76, visite du Chourum Napoléon (J.-P. Viard), p. 14 – Grotte du chien, vallée d’Agnielle, Dévoluy (Marc), p.15 – Grottes des Petites Dalles et de Fécamp (A. Rohem), p. 16 – Le silex (R. Houdin), p. 17 – La paléontologie (J.-C. Staigre), p. 19 – Réseau de la Vieille Dame, Freneuse (76), p. 20 – Un treuil d’extérieur (J.-P. Viard), p. 21 – Valescure, Saumane-Vaucluse (J.-P. Viard), p. 24 – ACRC – Section Spéléologie, organigramme.

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3, 1982 – varia, 49 p., A4, PDF.
p. 1 – Le mot du président (J.-C. Staigre), p. 3 – La vie de la section (P. Beaufils – H. Niedermeier), p. 7 – La craie (P. David), p. 10 – Les techniques d’amarrage dans la craie J.-C. Staigre), p. 12 – Prière du spéléologue (R. Parrot), p. 14 – La préhistoire (R. Houdin), p. 15 – Le réseau de la Vieille Dame (J.-C. Staigre – M. Kaspruk), p. 20 – Le porche de Cléon, Canteleu 76 (J.-P. Viard), p. 22 – Le réseau supérieur du puits rené, Caumont (J.-P. Viard), p. 24 – Réseau de la Petite Eglise (J.-C. Staigre), p. 26 – La rivière Gilbert Carpentier (J.-C. Staigre – F. Messé), p. 28 – Le réseau du Transformateur (J.-C. Staigre), p. 30 – Plateau de Vaucluse (J.-P. Viard), p. 32 – L’aven Charlin (J.-P. Viard), p. 34 – Visite au Chourum Clos (Dévoluy) (P. Beaufils) p. 36 – Ardèche 81 (F. Bégoul), p. 38 – Le trou Houdin (J.-C. Staigre), p. 39 – Quoi de neuf à la salle du Bateau ? (H. Niedermeier), p. 40 – Marnière d’Epégard (J.-C. Staigre), p. 41 – Deux week-ends bien rempis : les stages recyclage des 16-17 et 30-31 janvier 1982 (P. Beaufils), p. 45 – Un week-end en Côte d’Or (J.-C. Staigre), p. 48 – Composition du bureau par année, de 1977 à 1982, p. 49 – Liste des membres.

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4, 1983– Spécial « le Sorgonaute », Jean-Pierre Viard, 35 p., A5, PDF.
p. x – Préface (R. Jean), p. y – Avant-propos, p. 1 – Introduction, p. 3 – Avant le Sorgonaute, p. 6 – Le Sorgonaute, p. 11 – L’expédition, p. 22 – L’enfant est devenu adolescent, p. 27 – C’est un adulte, p. 28 – Conclusion, p. 29 – Appareil porte caméra immergeable Sorgonaute, p. 31 – Membres participants, p. 33 – Parrainages, p. 34 – Bibliographie Fontaine de Vaucluse.

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5, 1984– varia, 85 p., A4, PDF.
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Le mot du président (P. Beaufils), p. 4 – Les chiffres pour 1982 & 1983 (J.-P. Viard), p. 5 – Connaissances spéléologiques du club à fin 1983 (J.-C. Staigre), p. 7 – La préhistoire dans la presqu’île de Tourville (76) (R. Houdin), p. 11 – L’argile (P. David), p. 14 – Le réseau du Lapin, La Londe (M. Kaspruck, M. Messé), p. 16 – L’écope, Caumont (P. Beaufils), p. 18 – La grotte de l’Elephant, Gouy (J.-C. Staigre, P. David), p. 20 – La grotte n° 2 de la Roche Fouet, Orival (J.-C. Staigre), p. 22 – La grande diaclase des Roches, Orival (J.-C. Staigre), p. 24 – Le réseau du Transformateur, Oissel (J.-C. Staigre), p. 27 – Les remplissages de la galerie du T.G.V. (réseau du Tranformateur, Oissel 76) (J.-C. Staigre), p. 30 – Les grottes de la Côte de Bourgthéroulde, Elbeuf (J.-C. Staigre), p. 34 – Les cavités naturelles de Belbeuf (J.-C. Staigre=, p. 36 – La grotte de Port Saint Ouen (J.-C. Staigre), p. 38 – Le puits de l’Ancien Monastère, Bacquepuis, Eure (J.-C. Staigre, P. Beaufils), p. 41 – Carrière de la Vallée des Joncs, La Londe (topographie), p. 42 – Le puits de la Quesne, Bois-Héroult (H. Niedermeier), p. 45 – Marnière de la Vallée Moïse, Gouy (topographie), p. 46 – Une marnière s’ouvre au Vauvrouy, Duclair (J.-C. Staigre), p. 48 – L’aven et la fontaine Charlin, Lagnes, Vaucluse (J.-P. Viard), p. 50 – L’aven de la Vache d’Or, Fontaine de Vaucluse (J.-P. Viard), p. 52 – L’aven du Pin, Fontaine de Vaucluse (J.-P. Viard), p. 54 – Grotte Chao 2, Fontaine de Vaucluse (J.-P. VIard), p. 56 – L’aven des Jumeaux, Saumane, Vaucluse (J.-P. Viard), p. 58 – L’aven Sans Nom, Fontaine de Vaucluse (J.-P. Viard), p. 60 – Note sur les niphargus du lavoir de Francheville (21) (J.-C. Staigre), p. 61 – La bibliothèque de l’A.C.R.C, section spéléo 5J.-C. Staigre), p. 66 – Liste des topographies consultables à l’A.C.R.C. spéléo (J.-C. Staigre), p. 68 – Une visite au gouffre de Pourpevelle (M. Cyprien), p. 71 – Le camp de la Toussaint 1983 : le Lot (F. Bégoul), p. 75 – Un téléphone de campagne à pas cher (P. David), p. 77 – Les centres normands d’informations spéléologiques (J.-C. Staigre), p. 78 – La salle du Bateau, Caumont (P. Beaufils), p. 80 – Mots croisés (P. Marie), p. 82 – Glossaire (J.-C. Staigre), p. 85 – Liste des membres.

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6, 1984– Spécial « le Sorgonaute n° 2 », Jean-Pierre Viard, 37 p., A4, PDF.
p. 2 – Opération Sorgonaute 1984, p. 6 – L’expédition 1983, p. 6 – Sorgonaute n° é, p. 13 – Annexes, p. 16 – Rapport sur le matériel de l’expédition, p. 28 – Liste des participants, p. 35 – Remerciements, p. 37 – Bibliographie Fontaine de Vaucluse,

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7, 1987– Le Sorgonaute n° 3, René Houdin et Jean-Pierre Viard, 45 p., A4, PDF.
p. 1 – Dédicace à René Jean, p. 3 – Introduction, p. 5 – Compte rendu de la plongée du Sorgonaute n° 3 dans le lac Pavin, les 14-15 juin 1986 (R. Houdin), p. 17 – Compte rendu de la plongée du Sorgonaute 3 dans la Fontaine de Vaucluse, 21 au 27 septembre 1986 (J.-P. Viard), p. 31 – Annexes, p. 42 – Liste des sponsors, p. 43 – Bibliographie de Fontaine de Vaucluse.

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8, 1987– Deuxième contribution à l’inventaire spéléologique de la Seine Maritime, Joël Rodet et Danièle Sayaret, 48 p., A4, PDF.
p. 3 – Avant-propos ( J.-C. Staigre), p. 5 – Introduction, p. 8 – Deuxième contribution à l’inventaire spéléologique de la Seine Maritime, p. 47 – Index des communes.

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9, mai 1987– varia, 84 p., A4, PDF.
p. 3 – Editorial (J.-C. Staigre), p. 4 – Quelle est cette passion qui nous anime ? (P. Beaufils), p. 5 – Connaissances spéléologiques du club à fin 1986 (M. Messé, J.-C. Staigre), p. 9 – La pollution des eaux (M. Kaspruck), p. 11 – Protection des cavités (M. Kaspruck), p. 12 – La grotte n° 1 de la Roche Fouet, Orival (Seine-Maritime) (J.-C. Staigre, M. Vanden Abeele), p. 27 – La grotte n° 2 de la Roche Foulon, Orival (Seine-Maritime) (M. Kaspruck), p. 30 – La carrière n° 3 du GR et le réseau du Lapin, La Londe (Seine-Maritime) (M. Kaspruck), p. 32 – La marnière de la Vallée, Elbeuf (Seine-Maritime) (M. Kaspruck) p. 34 – Le Trou Fumeux, Jumièges (Seine-Maritime) (J.-C. Staigre), p. 37 – Le captage des eaux du Mont Duve à Elbeuf (M. Kaspruck), p. 39 – Le puits de la Londe, La Londe (Seine-Maritime) (M. Kaspruck), p. 40 – Le puits Perdrix, Elbeuf (Seine-Maritime) (M. Kaspruck), p. 42 – La carrière souterraine du Val, Les Damps (Eure) (M. Kaspruck), p. 44 – Les carrières du Val Noël, Léry (Eure) (J.-P. Viard), p. 46 – Etude préliminaire à la reprise de travaux spéléologiques aux Andelys (Eure) (J.-C. Staigre), p. 50 – Les caves et le puits du château des Deux Amants, Amfreville-sous-les-Monts (Eure) (M. Kaspruck), p. 52 – La carrière Heinold, Les Damps (Eure) (M. Kaspruck), p. 54 – La marnière des Hayes, Bosc-Besnard-Commin (Eure) (M. Kaspruck), p. 56 – A propos des vides souterrains de Haute Normandie (M. Kaspruck), p. 57 – Salle du Bateau… ça continue (P. Beaufils), p. 61 – A propos de la rivière Gilbert Carpentier (Carrière du Pylône, Caumont, eure) (J.-C. Staigre), p. 63 – Prospection dans le vallon Saint Nicolas, Fontaine de Vaucluse (Vaucluse) (J.-P. Viard), p. 67 – Situations insolites pour spéléo mazo (J.-C. Staigre), p. 69 – Un treuil à moteur à explosion (J.-P. Viard), p. 70 – Informations diverses (J.-C. Staigre, M. Kaspruck), p. 74 – La bibliothèque de l’A.C.R.C. section spéléo (M. Kaspruck), p. 81 – Composition du bureau de 1983 à 1987, p. 82 – Liste des membres, p. 83 – Sommaire.

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– 10 – à partir du n° 10, voir le Comité Départemental de Spéléologie de Seine-Maritime

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SECTION SPELEOLOGIQUE DU COMITE OMNISPORT RENAULT DE SANDOUVILLE (1971-1981)

La Bétue

[sans issn]

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1, 1974(s.d.) – varia, 12 p. (n.p.), A4.
p. 1 – Bilan des sorties 1973, p. 2 – Membres CORS inscrits à la FFS, p. 3 – Notre week-end de spéléologie du samedi 12 au dimanche 13 janvier 74, p. 5 – Sortie du 2 février 1974 à Saint Vigor, p. 6 – Sortie du 8 février 1974 à Caumont, p. 7 – Saint Vigor, topographie, p. 9 – Grattage au Trou au Renard le 16 février 1974, p. 10 – Sortie La Roque, p. 12 – Sortie à Caumont le 16 mars 1974.

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2, 1974(s.d.) – varia, 16 p., A4.
p. 2 – Humour : campagne sécurité, p. 3 – Nom des membres inscrits à la section spéléo du CORS, p. 4 – Compte rendu des sorties effectuées depuis le 23 mars 1974, p. 6 – Sortie des 1 et 2 juin 1974 à Caumont (Sylvie), p. 7 – Téléphone souterrain expérimental, p. 8 – Visites et topographie de la carrière du Mont-Joly, Le Havre les 25/5 et 6/7/1974, p. 10 – Humour : campagne sécurité, suite, p. 11 – Camp spéléo du CORS en Lozère, La Canourgue, p. 15 – Article 22 ; Macro-photo, p. 16 – Index récapitulatif.

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SPELEO-CLUB DU ROULE Epouville (1972-2006)

Spéléo-Roule

[sans issn]

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1, janvier 1979– varia, 60 p.,
p. 4 – Initiation à la spéléo (T. Lemaire, J. Boulen), p. 28 – Activités 72-78 (T. Lemaire), p. 48 – Fiches techniques des trous du Lot (P. Romain, B. Allix), p. 50 – Le Madié (Gard) (P. Rousselin, Ph. Rousselin), p. 53 – Les trous d’Epouville (T. Lemaire, J. Boulen), p. 57 – Histoire du Spéléo-Club du Roule (T. Lemaire).

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE LA MAISON DES JEUNES ET DE LA CULTURE DU HAVRE (1966-1987)

Spéléo-Drak

première série [sans issn]

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1, 1966– varia, 7 p. (n.p.), 21×27.
p. 1 – Avant-propos, Notre objectif (J.-P. Duchemin), p. 2 – Organisation de l’équipe, p. 3 – La rivière d’Etretat, Barre-Y-Va (J.-P. Duchemin), p. 5 – Récapitulatif des sorties et camps effectués depuis janvier 1965, Expédition « Arcluze » Pâques 66 (M. Lepiller), p. 6 – Le baguage de chauves-souris en Normandie (M. Lepiller)

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Spéléo-Drack

deuxième série [issn 0224-1749]

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1, 1970– varia, 41 p. (n.p.), 21×27.
p. 1 – Editorial (M. Lepiller), p. 3 – L’équipement (J. Rodet), p. 7 – Le monde souterrain (H. Sider), p. 17 – Activités spéléo I – 1968 (J. Rodet), p. 29 – Les grottes de Villequier (J. Rodet), p. 39 – Les échos du groupe (J. Rodet) ; p. 40 – Les mémoires du diaprysius (J. Rodet), p. 41 – Sommaire.

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2, 1970– varia, 43 p. (n.p.), 21×27.
p. 1 – Editorial (J. Rodet), p. 3 – Il était une fois… (H. Sider), p. 5 – L’équipe de spéléo (J. Corbe), p. 7 – Préhistoire et spéléologie (J. Rodet), p. 13 – Les communications en spéléo (C. Le Taillanter), p. 17 – Spéléo sur les Causses (B. Foisset – M. Foisset), p. 24 – Les mémoires du diaprysius (J. Rodet), p. 25 – Activités spéléo II – année 1969 (J. Rodet), p. 39 – Les échos du groupe, p. 41 – Trésorerie 1969-70 (J. Rodet), p. 42 – Liste des membres du G.S.M.J.C.H. au 01/12/1970, p. 43 – Sommaire.

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3, 1971– varia, 41 p. (n.p.), 21×27.
p. 1 – Editorial (H. Sider), p. 2 – Poème (E. Régnier), p. 3 – Réflexions d’un spéléo en de biens tristes circonstances (J.-C. Haguelon), p. 5 – Expérience souterraine ( J.-J. Valmont), p. 11 – Les trous de Mont sur Meuse (Belgique) (J. Rodet), p. 24 – Les mémoires du diaprysius, p. 25 – Bilan des prospections de falaises littorales au 16/11/1970 faites par le G.S.M.J.C.H (littoral de la Manche) (M. Lepiller), p. 30 – L’exsurgence de Senneville sur Fécamp (76) (M. Lepiller – J. Rodet), p. 35 – L’organisation spéléo en Normandie (CDS-76), p. 37 – Jeu de l’oie du spéléo (J.-C. Haguelon), p. 39 – Les échos du groupe, p. 40 – Bibliothèque, p. 41 – Sommaire.

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4, 1971– Spécial Semnoz, Michel Lepiller et Joël Rodet (org.), 107 p. (n.p.), 21×27.
p. 3 – A l’ermite de la Relax (J. Rodet), p. 5 – Le massif du Semnoz (Haute Savoie) : bilan de cinq années de recherches et travaux spéléologiques (1966-1970) (M. Lepiller), p. 6 – Introduction géographique, p. 7 – Climat et précipitations, p. 8 – Géologie du Semnoz, p. 47 – Les formes karstiques superficelles, p. 47 – Les formes karstiques profondes, p. 61 – Les exsurgences du massif du Semnoz, p. 78 – Le problème de la datation des cavités, p. 80 – Conclusions sur la spéléologie du Semnoz, p. 82 – Liste des cavités fichées par le BRGM, p. 85 – Cartes au 1/5.000 GSMJCH, p. 99 – Bibliographie, p. 103 – Le Semnoz de 1966 à 1971 (J. Rodet), p. 109 – Sommaire.

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5, 1971– Spécial Semnoz, Michel Lepiller et Joël Rodet (org.), 115 p. (n.p.), 21×27.
p. 113 – Inventaire des cavités naturelles du massif du Semnoz dressé par le Groupe Spéléologique de la M.J.C. du Havre 1966 /1970 (M. Lepiller – J. Rodet), p. 115 – Cavités antérieures à l’année 1966, p. 115 – Cavités de l’année 1966, p. 123 – Cavités de l’année 1967, p. 129 – Cavités de l’année 1968, p. 141 – Cavités de l’année 1969, p. 167 – Cavités de l’année 1970, p. 237 – Sommaire.

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6, 1972– varia, 79 p. (n.p.), A4.
p. 2 – Organigramme du GS-MJC-H, p. 3 – Il était une fois… (J.-C. Haguelon), p. 4 – Poëme (E. Régnier), p. 5 – 1964-1971 ou un septennat bien rempli (J. Rodet), p. 7 – Activités spéléos – III année 1970 (J. Cattreux, J. Rodet), p. 14 – Un Narbonnais et un trou normand (J. Cattreux), p. 23 – Les casques à travers les âges (G. Lucas), p. 25 – Les grottes des Andelys (J. Rodet), p. 55 – Plongées souterraines (M. Foisset), p. 74 – Les mémoires du Diaprysius (J. Cattreux, J. Rodet), p. 75 – Les échos du groupe (J. Rodet), p. 76 – Résultats des stages (J. Rodet), p. 77 – Bibliothèque (J. Rodet), p. 78 – Liste des membres du G.S.M.J.C.H. ( J. Rodet), p. 79 – Sommaire, ours.

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7, 1973– varia, 51 p. (n.p.), A4.
p. 1 – A tous les membres du groupe (M. Foisset), p. 3 – Les échos du groupe, p. 5 – Les mémoires du diaprysius, p. 6 – Le gouffre du Chevrier (J. Rodet), p. 13 – La photographie souterraine (J.-C. Haguelon), p. 27 – Quelques conseils pour manier les explosifs (J. Rodet), p. 30 – Le mot croisé du spéléo (C. Cattreux), p. 31 – Activités spéléos – IV Année 1971 (J. Rodet), p. 49 – Liste des membres du G.S.M.J.C.H. 1972/1973, p. 51 – Sommaire.

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8, 1974– varia, 125 p. (n.p.). A4.
p. 1- Organigramme 1973/1974 du G.S.M.J.C.H., p. 2 – Numéros de Spéléo-Drack, p. 3 – Réflexions à propos d’un bulletin (J. Rodet), p. 7 – Spéléologie en Sardaigne (J.-J. Lhôpiteau), p. 17 – Expéditions dans les Causses – Pâques 1973 / Août 1973 (M. Foisset), p. 33 – Le Consul – la carrière souterraine du Consul et ses réseaux naturels à Caumont (Eure) (J. Rodet), p. 49 – Données topographiques nouvelles concernant les carrières souterraines du Consul et du Pylône (Caumont – Eure) (M. Lepiller), p. 56 – Adresses utiles, p. 57 – Les grottes des Andelys – 2ème partie (J.-J. Lhôpiteau – J. Rodet), p. 69 – Le gouffre Guy Denizot (J. Rodet), p. 73 – Variations de l’activité tonique posturale à la suite d’une expérimentation spéléologique (Ch. Migraine – C. Migraine – J.-J. Valmont), p. 77 – L’évaporation du matériel (G. Lucas), p. 79 – Les échos du groupe, p. 83 – Les mémoires du diaprysius, p. 85 – Bibliographie normande (J. Rodet), p. 93 – Bibliothèque (C. Cattreux – J. Rodet), p. 99 – The « rapport de sortie » 1972 (H. Sider), p. 101 – Activités spéléo V – 1972 (J. Cattreux – J. Rodet), p. 124 – Liste des membres du G.S.M.J.C.H 1973/1974, p. 125 – Sommaire.

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9– à partir du n° 9, voir le Groupe Spéléologique du Havre

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DU HAVRE (1976-1990)

Spéléo-Drack

[issn 0224-1749]

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avantle n° 9, voir le Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre

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9, 1977– Spécial Congrès CRSN Le Havre 7-8 décembre 1974, 110 p. (n.p.), A4.
p. 5 – Le premier congrès spéléologique (J. Rodet), p. 6 – Comité d’organisation, p. 7 – Ière partie – Exposition, p. 8 – Erratum première partie, p. 9 – Le G.S.M.J.C.H. a dix ans (J.-C. Haguelon), p. 45 – La spéléologie de la craie en Normandie (J. Rodet), p. 67 – 2ème partie – Assemblée générale du C.R.S.N., p. 69 – La commission fichier du Comité Régional de Spéléologie de Normandie (J.-J. Lhopiteau), p. 73 – Rapport d’activité de la commission d’enseignement du Comité Régional de Spéléologie de Normandie pour l’année 1973-1974 (J. Rodet), p. 77 – 3ème partie – Communications, p. 78 – Erratum 3ème partie, p. 79 – Les cavités du Landin (J.-J. Lhopiteau), p. 91 – La spéléologie en Basse Normandie (F. Hauvel), p. 95 – Le Mexique (J. Sautereau de Chaffe), p. 99 – Biospéologie de Caumont (C. Dodelin), p. 103 – La proxiphotographie à la portée de tous (G. Rosay), p. 105 – Téléphone souterrain expérimental (G. Rosay), p. 106 – Sommaire des films, p. 107 – Liste des participants, p. 109 – Sommaire.

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10, 1977– Table des matières 1 à 10, Joël Rodet, 73 p. (n.p.), A4.
p. 3 – Avant-propos, p. 5 – 1. Table des auteurs, p. 13 – 2. Table analytique des matières, p. 23 – 3. Index des cavités citées dans les Spéléo-Drack – Normandie, p. 47 – 4. Index des cavités françaises (moins la Normandie), p. 59 – 5. Index des cavités à l’Etranger, p. 69 – 6. Bibliographie, p. 73 – Sommaire.

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11, 1977– Minotaure-76, rapport d’expédition française de spéléologie en Crète, Joël Rodet (org.), 69 p. (n.p.), A4.
p. 3 – Introduction (J. Rodet), p. 4 – Remerciements (J. Rodet), p. 7 – Les participants (J. Rodet), p. 9 – 1. Journal de bord (l’expédition au jour le jour) (J. Rodet), p. 25 – 2. Le bilan (J. Rodet), p. 27 – 2.1. Les conditions générales et l’environnement, p. 31 – 2.2. Le Nomos Xanion, p. 53 – 2.3. Le Nomos Lassithiou, p. 59 – Conclusions : pour une nouvelle expédition ? (J. Rodet), p. 60 – Annexes, p. 60 – Attestation patronage de la Fédération Française de Spéléologie, p. 61 – Vocabulaire spéléologique (J.-P. Beau – J. Rodet), p. 62 – Matériel emporté (J.-L. Benchétrit), p. 63 – Bilan financier (J. Quinqueton), p. 67 – Sommaire.

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12, mars 1978– Le karst de la craie en Haute-Normandie, Joël Rodet, 161 p. (n.p.), A4.
p. 5 – Introduction, p. 9 – Première partie : répartition des phénomènes karstiques dans l’espace étudié, p. 13 – 1.1. La répartition géographique, p. 38 – 1.2. La répartition géologique, p. 42 – 1.3. La répartition morphologique des phénomènes karstiques de surface, p. 51 – 1.4. Conclusion, p. 53 – Deuxième partie : les processus spéléogénétiques, p. 55 – 2.0. Généralités, p. 57 – 2.1. Les formes, p. 59 – 2.2. Les conduits verticaux, p. 62 – 2.3. Les conduits horizontaux, p. 70 – 2.4. Les salles, p. 74 – 2.5. Les puits, p. 82 – 2.6. Les remplissages et les concrétions, p. 89 – 2.7. Conclusions, p. 91 – Troisième partie : le réseau karstique, p. 93 – 3.1. L’organisation générale du réseau karstique, p. 107 – 3.2. Conditions à l’écoulement karstique dans la craie, p. 115 – 3.3. Essai de typologie du karst de la craie, p. 124 – 3.4. Essai de datation du karst, p. 135 – Conclusion, p. 139 – Légende des photos, p. 143 – Liste des figures, p. 145 – Inventaire des phénomènes karstiques de Haute-Normandie, p. 149 – Bibliographie, p. 162 – Cartographie, p. 163 – Sommaire, plus 1 pl h.t..

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13, 1980– Jean-Claude Haguelon, 1948-1977 : spéléo havrais, 51 p., A4.
p. 3 – Complainte mortuaire à deux voix, p. 5 – Editorial (J. Rodet), p. 7 – Evolution du groupe au travers de Jean-Claude Haguelon (J.-L. Algarra), p. 8 – Rapports de sortie (J.-C. Haguelon), p. 13 – Réflexions d’un spéléo en de bien tristes circonstances (J.-C. Haguelon), p. 21 – Jeu de l’oie (J.-C. Haguelon), p. 17 – Il était une fois… (J.-C. Haguelon), p. 10 – La photographie souterraine (J.-C. Haguelon), p. 27 – Le G.S.M.J.C.H. a 10 ans (J.-C. Haguelon), p. 31 – La proxiphotographie à la portée de tous (J.-C. Haguelon), p. 33 – Etude d’un mât d’escalade (J.-C. Haguelon), p. 39 – Un week-end en Suisse : le gouffre du Petit Pré (J.-C. Haguelon), p. 43 – A Joël, Michel, Jocelyne, Jocelyne, et les autres… (R. Lair), p. 44 – Témoignages…, p. 49 – En guise de conclusion (P. Lemière), p. 50 – Sommaire, p. 51 – Ours.

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14, 1980– La Tunisie spéléologique, Jean-Jacques Lhôpiteau, 164 p., A4.
p. 5 – La Tunisie spéléologique, p. 7 – La spéléologie en Tunisie, p. 14 – Vocabulaire, p. 15 – Les oasis du Sud Tunisien, p. 29 – Les gouffres du Djebel Saïkkra, p. 37 – Les gouffres du Djebel Chambi, p. 47 – Les grottes du Djebel Trozza, p. 59 – Les gouffres du Djebel Zaghouan, p. 75 – Les gouffres des djebels proches du Zaghouan, p. 89 – Les grottes du Djebel Serdj, p. 107 – Les cavités de la région de Téboursouk, p. 113 – Le massif de la Kessera, p. 123 – Les grottes de la région de Talla, p. 139 – Prospections sommaires, p. 155 – Stratigraphie de la Tunisie, p. 157 – Inventaire des cavités naturelles de Tunisie, p. 161 – Bibliographie sommaire, p. 164 – Sommaire.

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15, 1984– Etude du karst de la Rançon (Pays de Caux, Seine Maritime), Joël Rodet, 72 p., A4.
p. 5 – Remerciements, p. 7 – 1. Présentation du bassin de la Rançon, p. 12 – 2. Méthodes utilisées, p. 12 – 2.1. Méthodes de surface, p. 13 – 2.2. Méthodes souterraines, p. 13 – 2.3. Observation des phénomènes, p. 14 – 2.4. Le matériel utilisé, p. 14 – 2.5. Utilisation des résultats, p. 18 – 3. Etudes ponctuelles, p. 18 – 3.1. Vallée principale de la Rançon, p. 40 – 3.2. Vallée secondaire du Noir Trou, p. 48 – 3.3. Vallée affluente de La Fontenelle, p. 52 – 3.4. Plateau de Betteville, p. 55 – 4. Synthèse régionale, p. 55 – 4.1. Piézométrie de la Rançon, p. 59 – 4.2. Les traçages, p. 64 – 4.3. Essais microthermiques, p. 68 – 5. Conclusions, p. 70 – 6. Bibliographie sommaire, p. 71 – Sommaire.

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16, décembre 1986– Exploration de la rivière souterraine du Heurt (Senneville sur Fécamp, Seine Maritime), Joël Rodet, 43 p., A4.
p. 3 – Introduction, p. 5 – 1. Historique, p. 7 – 2. Accès, p. 8 – 3. Description, p. 11 – 4. Topographie, p. 11 – 5. Cadre géologique, p. 13 – 5.1. Structure et géomorphologie, p. 14 – 5.2. Tectonique, p. 15 – 6. Données hydrologiques, p. 15 – 6.1. Dynamique de l’écoulement, p. 16 – 6.2. Qualités hydrogéologiques, p. 18 – 7. Signification karstologique, p. 20 – 8. Explorateurs du C.N.E.K. 1985/1986, p. 21 – 9. Annexes (relevés topographiques), p. 40 – 10. Bibliographie, p. 42 – Conclusion, p. 43 – Sommaire, Ours.

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17, 1987– voir Comité Régional Spéléologique de Normandie

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CENTRE NORMAND D’ETUDE DU KARST ET DES CAVITES DU SOUS-SOL (1981-2018)

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Spéléo-Tract

Rouen [issn 0290-1412]

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1, 1981– Les percées hydrogéologiques de la craie en Haute-Normandie, Joël Rodet, 35 p., A4.
p. 3 – Introduction, p. 7 – 1. Pays de Caux, p. 7 – 1.1. Pays de Caux oriental, p. 9 – 1.2. Pays de Caux central, p. 11 – 1.3. Pays de Caux occidental, p. 15 – 2. Vexin normand, p. 16 – 3. Roumois, p. 17 – 4. Lieuvin, p. 18 – 5. Pays d’Ouche, p. 18 – 5.1. Bassin de l’Avre, p. 25 – 5.2. Bassin de la Risle, p. 27 – 5.3. Bassin de la Charentonne, p. 28 – 6. Plateau du Neubourg, p. 29 – 7. Plateau de Madrie, p. 30 – 8. Plateau de l’Eure, p. 30 – 8.1. Bassin du Sec-Iton, p. 34 – 8.2. Bassin aval de l’Iton, p. 35 – Classification des opérations de traçage par secteur géographique.

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2, 1981– Les grandes cavités normandes, Joël Rodet, 35 p., A4.
p. 3 – Introduction, p. 7 – Calvados, p. 9 – Orne, p. 10 – Eure, p. 20 – Manche, p. 23 – Seine-Maritime, p. 30 – Morphométrie de la rivière souterraine des Robots ou Rivière Blanche, p. 32 – Morphométrie de la grotte de la Jacqueline, p. 33 – Liste des grandes cavités, p. 35 – Sommaire.

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3, 1983– Contribution à l’inventaire spéléologique de la Seine Maritime, Joël Rodet et Danièle Sayaret, 37 p., A4.
p. 3 – Contribution à l’inventaire spéléologique de la Seine Maritime, p. 6 – Liste inventaire par commune, p. 36 – Index des communes.

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4, 1986– Une cavité d’un genre nouveau dans la craie de Normandie : la rivière souterraine du Heurt (Senneville sur Fécamp, Seine Maritime), Joël Rodet, 21 p., A4.
p. 3 – Editorial, p. 4 – La cascade Marignan, 1515°…, p. 9 – La rivière souterraine du Heurt, p. 10 – Contexte géologique, p. 11 – Aperçu hydrogéologique, p. 15 – Interprétation karstologique, p. 17 – Relevés topographiques, p. 19 – Conclusion, p. 20 – Bibliographie, visiteurs 1985 de la rivière souterraine du Heurt.

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5, 2003– Grotte des Petites Dales (Saint Martin aux Buneaux, Seine Maritime), Jean-Pierre Viard et Joël Rodet, 6 p., A4.
p. 1 – Grotte des Petites Dales, p. 5 – Planche photographique, p. 6 – Topographie.

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6, 2007– A la découverte de la grotte des Petites Dales (Saint Martin aux Buneaux, Seine Maritime), Joël Rodet, Jean-Pierre Viard et Jacques Poudras, 38 p., A4 [978-2-9506258-1-9], PDF.
p. 3 – Introduction, p. 4 – Sommaire, p. 5 – Une longue histoire de ténacité, p. 11 – Le chantier de désobstruction, p. 21 – Recherches scientifiques, p. 29 – La grotte, objet patrimonial, p. 35 – Conclusion, p. 36 – Bibliographie.

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7, 2011– 1° Simposio Mineiro do Carste – o carste em todos os seus estados, Belo Horizonte, 21-22 novembro 2011, Joël Rodet (org.), 75 p., A4 [978-2-9506258-3-7], PDF.
p. 3 – Sumario, p. 5 – O carste em todos os seus estados (J. Rodet), p. 6 – Organização, p. 7 – Programa, p. 11 – Lista dos participantes, p. 14 – Lista dos autores, p. 16 – Resumos e abstracts, p. 49 – Pôsteres.

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8, 2013– 2° Simposio Mineiro do Carste – carste e cavernas, minas de informações, Belo Horizonte, 26-27 novembro 2013, Joël Rodet & Alessandra M.C. Vasconcelos (org.), 62 p., A4 [978-2-9506258-7-8], PDF.
p. 3 – Sumario, p. 4 – Carste e cavernas : Minas de informações, p. 5 – Karst et cavernes : Mines d’informations, p. 7 – Lista dos participantes, p. 9 – Programação, p. 11 – Resumos e abstracts, p. 12 – Resumo das palestras, p. 16 – Resumo das apresentações (orais e pôsteres), p. 40 – Pôsteres.

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9, décembre 2016– Les Petites Dales, grotte fédérale et fédérative, sous la direction de Joël Rodet, 150 p., A4, PDF.
PRIX MARTEL-DE JOLY 2017
p. 3 – Présentation, p. 19 – Historique, p. 33 – Le Chantier de désobstruction, p. 49 – Topographie, p. 67 – Géologie, p. 79 – Sédimentologie, p. 95 – Richesse karstologique, p. 115 – Climatologie, p. 127 – Les Graffiti, p. 133 – l’Objet patrimonial, p. 141 – Bibliographie, p. 147 – Sommaire.

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10, septembre 2017– La grotte des Petites Dales, une aventure exceptionnelle, Joël Rodet, Stéphane Chédeville, Laurent Magne, Jean-Claude Staigre, Jean-Pierre Viard, 40 p., A4, PDF.
p. 2 – ours, p. 3 – organisation du site fédéral, p. 4 – 1 : Introduction, p. 5 – 2 : Cinquante années de recherche, p. 10 – 3 – Topographie des Petites Dales, p. 12 – 4 : Quand la grotte est pleine, on la vide ! p. 21 – 5 : Et si on essayait de lire la grotte ? p. 29 – 6 : Entre températures et poids d’eau, p. 32 – 7 : Les Petites Dales, chef d’œuvre patrimonial, p. 37 – Bibliographie, p. 39 – Table des Matières.

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11, septembre 2020– Le patrimoine karstique de la rue des Sources à Radicatel (Saint Jean de Folleville, Seine Maritime), Jean-Claude Staigre, Danièle Sayaret, 24 p., A4, PDF.
p. 2 – ours, p. 3 – préambule, p. 5 – contexte géologique, p. 6 – description des phénomènes, p. 21 – conclusion, p. 23 – Bibliographie, p. 24 – table des matières.

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12, septembre 2023– The Petites Dales Cave, an outstanding adventure, Joël Rodet, Martin Skinner, 40 p., A4, PDF.
p. 2 – publisher legal chart, p. 3 – organisational chart of the Petites Dales Federal Sitel, p. 4 – 1 : Introduction, p. 5 – 2 : Fifty seven years of research, p. 10 – 3 – Topography of the Petites Dales Cave, p. 12 – 4 : The cave is blocked so we will clear it, p. 21 – 5 : Let’s try to read the cave, p. 29 – 6 : Between temperatures and water weight, p. 32 – 7 : The Petites Dales Cave, a heritage masterpiece, p. 37 – Bibliography, p. 39 – Table des Matières/Contents.

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Spéléo-Drack

Saint Martin aux Buneaux [issn 0224-1749]

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avantle n° 18, voir le Comité Régional de Spéléologie de Normandie

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18, mai 1996, La grotte des Petites Dales (Joël Rodet et Jean-Pierre Viard -org.), 44 p., A4 [2-9506258-1-9]
p. 2 – Sommaire, p. 3 – Présentation géographique de la grotte des Petites Dales (J. Rodet -J.-P. Viard), p. 7 – Historique des recherches dans la grotte des Petites Dales (J. Rodet – J.-P. Viard), p. 11- Description et topographie de la grotte des Petites Dales (J. Rodet – J.-P. Viard), p. 15 – Matériel et techniques du chantier de désobstruction de la grotte des Petites Dales (J.-P. Viard), p. 19 – Approche karstologique de la grotte des Petites Dales (J. Rodet), p. 29 – Contribution à l’étude des remplissages de la grotte des Petites Dales (J.-C. Staigre), p. 32 – Les fossiles de la grotte des Petites Dales (J.-C. Staigre – D. Sayaret), p. 33 – La faune actuelle dans la grotte des Petites Dales (D. Sayaret), p. 37 – Les graffiti de la grotte des Petites Dales (P. Beaufils), p. 41 – Un glossaire pour mieux comprendre… p. 42 – Les auteurs de la monographie de la grotte des Petites Dales, p. 43 – Bibliographie de la grotte des Petites Dales (J. Rodet).

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19, février 2010, Les carrières souterraines de Haute-Normandie (Jean-Luc Audam), 62 p., A4 [978-2-9506258-4-7], PDF.
p. 3 – Les carrières souterraines de Haute-Normandie, p. 5 – Généralités, p. 9 – Les carrières souterraines de pierre de taille, p. 13 – Les carrières souterraines de pierre à bâtir, p.17 – Les marnières, carrières souterraines de marne, p. 23 – Les outils des carrières souterraines, p. 29 – Les inscriptions des carrières souterraines, p. 33 – Les animaux des carrières souterraines, p. 35 – Effondrements et comblement des carrières souterraines, p. 41 – La pollution des carrières souterraines, p. 43 – Les réutilisations des carrières souterraines, p. 47 – Glossaire des carrières souterraines, p. 53 – Éléments insolites des carrières souterraines, p. 55 – De retour des carrières souterraines, p. 57 – Table des figures, p. 59 – Figures classées par commune, p. 60 – Pour en savoir plus, p. 61 – Sommaire.

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20, novembre 2013, Les caves-abris du Gravier (Orival, Seine-Maritime) (Jean-Claude Staigre & Jérôme Mouchel), 54 p., A4 [978-2-9506258-6-1], PDF.
p. 3-4 – Résumé – abstract, p. 5 – Préface (J. Rodet), p. 7 – Les caves-abris du Gravier, Orival (Seine-Maritime), p. 9 – Le Gravier, entre histoire et géographie, p. 17 – Richesses souterraines du Gravier, p. 35 – La craie, roche des caves-abris, p. 43 – Conclusion, p. 45 – Références bibliographiques, p. 47 – Glossaire, p. 50 – Figures : légendes – captions, p. 53 – Sommaire.

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21, juillet 2014, Karst et calcaires tertiaires de Chambray (Eure) (sous la direction de Joël Rodet), 66 p., A4 [978-2-9506258-8-5], PDF.
p. 3-4 – Karst et calcaires tertiaires de Chambray : résumé – abstract, p. 5 – Karst et calcaires tertiaires de Chambray (Eure) introduction (J. Rodet), p. 7 – Le site des cavités des Côtes, une morphologie marquée par l’histoire, p. 9 – Les cavités des Côtes, de surprenantes carrières naturelles, p. 37 – Le cadre géologique et géomorphologique, p. 51 – La Pierre Fortière, une construction mégalithique du Néolithique, p. 53 – Le site des cavités des Côtes, un patrimoine naturel et archéologique, p. 55 – Références bibliographiques, p. 57 – Glossaire, p. 61 – Figures : légendes – captions, p. 65 – Sommaire.

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22, juillet 2016, La spéléologie normande de Michel Lepiller (1948-2006) (ouvrage organisé par Joël Rodet), 136 p., A4 [978-2-9506258-9-2], PDF.
p. 3-4 – En guise de résumé – in guise of abstract, p. 5 – Préface (G. Breton), p. 7 – Le fondateur de la spéléologie scientifique normande (J. Rodet), p. 9 – Le spéléologue de la craie normande, p. 9 – Département de l’Eure, p. 19 – Département de la Seine Maritime, p. 97 – Enquête auprès des communes, p. 100 – Le chiroptérologue de la Normandie, p. 102 – L’étude des chiroptères normands, p. 103 – Hiver 1963-1964, p. 105 – Hiver 1964-1965, p. 112 – Hiver 1965-1966, p. 118 – Hiver 1966-1967, p. 120 – Hiver 1967-1968, p. 126 – Hiver 1968-1969, p. 128 – Hiver 1969-1970, p. 129 – En guise de conclusion, p. 130 – Bibliographie, p. 131 – Figures : légendes – captions, p. 135 – Sommaire.

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23, décembre 2019, Patrimoine spéléologique et géologique de la région d’Elbeuf, (Jean-Claude Staigre, Jean-Luc Audam et Danièle Sayaret), 376 p., A4 [978-2-9558357-0-8], PDF
p. 3-4 – résumé_abstract_resumen_zusammenfassung, p. 5-6 – préface (J. Rodet), p. 7-8 – introduction (J.-C. Staigre), p. 9-13 – contexte géologique (J.-C. Staigre), p. 14 – au fil de l’eau, la Seine et ses deux rives (J.-C. Staigre), p.15-274 – la rive gauche : Saint-Didier-des-Bois, Saint-Pierre-lès-Elbeuf, Caudebec-lès-Elbeuf, Elbeuf, La-Saussaye ; les cavités des falaises d’Orival – Oissel : Orival, Oissel ; Saint-Etienne-du-Rouvray, La-Londe, Moulineaux, Grand Couronne, Le-Petit-Couronne, Sotteville-lès-Rouen ; p. 275-328 – la rive droite : Sotteville-sous-le-Val, Freneuse, Cléon, Tourville-la-Rivière, Gouy, Belbeuf, Amfreville-la-Mi-Voie, Bonsecours, Rouen ; p. 329-332 – l’art pariétal contemporain, p. 333-336 – les chiroptères de Normandie, p. 337-338 – conclusion, p. 339-345 – bibliographie, p. 346-351 – glossaire, p. 352 – symboles topographiques utilisés, p. 353-365 – liste des figures, p. 366-374 – liste des phénomènes, p. 375-376 – sommaire.

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24, septembre 2021, Le karst décrypté, (Joël Rodet), 180 p., A4 [978-2-9506258-9-2], PDF
p. 2 – ours, p. 3 – dédicace, p. 4 – préface (C. Ek), p. 5 – 1. le karst décrypté : introduction, p. 6 – 1.1. Mais, tout d’abord, qu’est-ce que le karst ? p. 8 – 1.2. Le karst décrypté, p. 11 – 2. Le karst superficiel ou exokarst, p. 11 – 2.1. Les formes de l’exokarst nu, p. 18 – 2.2. Les formes de l’exokarst couvert, p. 29 – 2.3. L’endokarst exhumé, p. 34 – 2.4. Relations actives avec l’endokarst, p. 38 – 2.5. Synthèse, p. 41 – 3. Les formes du karst souterrain ou endokarst, p. 42 – 3.1. Les conduits verticaux, p. 48 – 3.2. Les conduits horizontaux, p. 56 – 3.3. Les formes dans les conduits, p. 66 – 3.4. L’organisation des galeries, p. 74 – 3.5. synthèse, p. 75 – 4. Genèse du karst, p. 76 – 4.1. Les grands processus, p. 78 – 4.2. Phases anté-karstiques : la préparation de l’encaissant, p. 81 – 4.3. Phases primo-karstiques : la définition du volume ou le primokarst, foetus karstique, p. 87 – 4.4. Phases karstiques : le jeu hydrodynamique, du projet karstique à la grotte spéléologique, p. 91 – 4.5. Phase post-karstique : la fossilisation et le paléokarst, p. 95 – 4.6. Synthèse, p. 97 – 5. Le système karstique, p. 98 – 5.1. Le karst d’introduction, p. 106 – 5.3. Le karst de restitution, p. 109 – 5.3. La liaison hydrokarstique, p. 112 – 5.4. Synthèse, p. 113 – 6. Eau, dynamiques et organisations, p. 113 – 6.1. L’eau et le karst, p. 116 – 6.2. Les énergies du karst, p. 118 – 6.3. Organisation zonale du système, p. 120 – 6.4. Evolution du système ou adaptation du réseau, p. 125 – 6.5. Notion du niveau de base, p. 131 – 6.6. Synthèse, p. 133 – 7. Karst et évolution continentale, p. 133 – 7.1. Réajustements internes dus à l’évolution de l’entrée et de la sortie, p. 135 – 7.2. Etagement karstique, p. 137 – 7.3. Karst et méandre : qui recoupe qui ? p. 140 – 7.4. Captures karstiques : glissement de méandre, division de bassin, p. 141 – 7.5. Karst et cuesta, p. 142 – 7.6. Synthèse, p. 145 – 8. Karst et évolution littorale, p. 145 – 8.1. Karst littoral : grottes marines et cenotes, p. 150 – 8.2. Karst continental et évolution littoral : le modèle normand, p. 158 – 8.3. Karst et variations littorales : la notion de delta karstique, p. 162 – 8.4. Synthèse, p. 163 – Le karst, un patrimoine fragile, p. 167 – Bibliographie, p. 177 – Sommaire.

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4 – Publications diverses ou orphelines

14 – Calvados

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SPELEO-CLUB DE CAEN (1962-1994)

Lechaab, 1974, p., [sans isbn]

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Actes du 3° Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, Caen, 12-13 février 1977, 26 p. (n.p.), A4 [sans isbn].
p. 1 – Actes du congrès de Caen, p. 2 – Liste des participants, p. 4 – Plaidoyer et méthode pour une bibliographie normande (J. Cattreux & J. Rodet), p. 9 – Exposé sur les carrières de Caen, p. 11 – Observations nouvelles dans la grotte du Château de la Ronce (J. Rodet), p. 17 – En annexe… l’assemblée générale du C.R.S.N., p. 18 – Compte rendu du Congrès Région J à Caen les 12 et 13 février 1977 (P. Brunet), p. 24 – Le press-book du congrès : articles des journaux locaux.

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EQUIPE SPELEOLOGIQUE DE HEROUVILLE

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IXème Congrès Région J, 1983, Actes du 9ème congrès du Comité Régional de Spéléologie de Normandie, Beauregard (Hérouville-Saint Clair), 23-24 avril 1983, 38 p., [sans isbn], A4.
p. 0 – Sommaire, p. 1 – Programme du congrès, p. 2 – Liste des participants, p. 4 – Néotectonique et spéléogenèse, grotte de la Roche Percée (Le Thuit, Eure) (T. Leboulanger, N. Wazi), p. 15 – Sorgonaute, porte caméra immergeable (J.-P. Viard), p. 17 – Le réseau du Transformateur (J.-C. Staigre), p. 20 – La grotte du Renard et plus spécialement… (A. Tomat), p. 24 – Les cavités karstiques de la carrière de Ranville (Calvados) (D. Delabroise, T. Leboulanger).

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Inventaire des cavités souterraines des coteaux de la commune de Saint Vigor d’Ymonville (Seine Maritime), 2004, Laurent Dujardin, 31 p., A4 [sans ISBN ou ISSN], PDF.
p. 2 – les participants, la méthode d’étude, p. 4 – les risques lors des prospections et des visites de cavités, la géologie locale, p. 5 – les zones prospectées, p. 6 – les cavités anthropiques, p. 9 – les cavités naturelles, p. 10 – le patrimoine des falaises de Saint Vigor d’Ymonville, p. 11 – conclusion générale, p. 13 – figures, p. 30 – bibliographie, p. 31 – table des matières.

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76 – Seine Maritime

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ASSOCIATION DE RECHERCHE INTERNATIONALE ARCHEOLOGIQUE ET SPELEOLOGIQUE Rouen

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Première expédition spéléologique française en Afghanistan, 1974,

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BOUTET & GROUT Editeurs, Elbeuf

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Contribution à l’inventaire des cavités de la commune d’Orival (Seine-Maritime), par Michel Boutet et Patrice Grout, 1984, 49 p., [sans isbn], A4.
p. 1 – Introduction (M. Boutet), p. 6 – Les trous du Samedi, p. 10 – Réseau A.J.N.E. ou grotte de la Petite Eglise, p. 12 – C.R.N. n° 1 ou carrière aux Conscrits, p. 15 – C.N.R. n° 1 à n° 7, p. 18a – Réseau du trou d’Enfer, p. 18b – Cavités n° 1 et n° 2 du Nouveau Monde, p. 20 – Trou du Diable, p. 22 – Grotte du Renard ou du Catelier, P. 24 – Brève histoire de la Roche Foulon, p. 25 – Trous des A.N., p. 27 – Résurgences fossiles de la Roche Foulon & grotte Cénorival, p. 29 – Grotte n° 1 de la Roche Fouet, p. 31 – Grotte n° 2 de la Roche Fouet, p. 33 – Grande diaclase des Roches, p. 35 – Trou aux Corbeaux ou trou Jean-Marie, p. 37 – Réseau du Transformateur, p. 39 – Les carrières de la route des Roches, p. 43 – Liste des cavités citées dans l’ouvrage, p. 46 – Bibliographie, p. 48 – Remerciements, p. 49 – Ours.

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EDITIONS DU CNEK – CENTRE NORMAND D’ETUDE DU KARST (1992-2018)

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Livret guide de l’Excursion des 13-14 octobre 1990, de l’A.G.B.P. et de l’A.F.E.Q, 1990, Joël Rodet et Pierre Juignet, 56 p. + 13 p., A4.
p. 1 à 56 – Karst et Quaternaire du Bec de Caux (J. Rodet), p. 2 – 1. Description du littoral entre Eletot et le port d’Antifer, p. 17 – 2. Les sites visités, p. 31 – 3. Les thèmes, p. 55 – Bibliographie,
p. 1 à 13 – Les craies : sédimentation et tectonique (P. Juignet), p. 2 – Structures tectoniques, p. 6 – Structures sédimentaires, p. 7 – Enregistrements sédimentaires cycliques en domaine pélagique : les rythmes de la craie, p. 8 – Expression des rythmes sédimentaires dans les craies du Cénomanien -Turonien à l’Ouest du Bassin de Paris, p. 12 – Conclusion.

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La Craie et ses karsts, 1992, Joël Rodet, 560 p., A4 [978-2-9506258-0-0]
p. 5 – Préface (J. Nicod), p. 7 – Avant-propos (C. Revet), p. 8 – Avant-propos (J.-P. Lautridou), p. 9 – Introduction : la notion de karst de la craie,
p. 13 – Livre 1 : Karst et Craie, p. 15 – 1. Première partie : L’évolution des recherches dans le karst crayeux depuis 150 ans, p. 17 – 1.1. Historique des recherches sur le karst dans la craie, p. 27 – 1.2. L’état des recherches sur le karst haut-normand, p. 39 – 2. Deuxième partie : La craie, roche et réservoir, p. 41 – 2.1. La craie, roche carbonatée, p. 63 – 2.2. Propriétés et qualités de l’aquifère crayeux, p. 91 – 3. Troisième partie : La karstification des craies, p. 95 – 3.1. Mise en place du karst crayeux, p. 111 – 3.2. La morphologie de l’exokarst, p. 135 – 3.3. La morphologie de l’endokarst, p. 161 – 3.4. Situation et fonction des réseaux, p. 165 – 4. Quatrième partie : Les facteurs de différenciation des karsts de la craie, p. 169 – 4.1. L’appartenance à un cadre zonal, p. 183 – 4.2. L’évolution continentale, p. 201 – 4.3. L’évolution littorale au Quaternaire, p. 211 – 4.4. Bassins karstiques et environnement,
p. 225 – Livre 2 : Grands types karstiques de la craie en France, p. 227 – 5. Cinquième partie : Karst littoral et évolution de la Côte d’Albâtre, p. 231 – 5.1. Historique des travaux sur le littoral haut-normand, p. 235 – 5.2. Description des falaises de la Côte d’Albâtre, p. 277 – 5.3. Les contextes physiques du karst, p. 299 – 5.4. Le karst, témoin de l’évolution quaternaire, p. 325 – 6. Sixième partie : Les systèmes karstiques de la Basse-Seine, p. 329 – 6.1. Les paléo-karsts de la Basse-Seine, p. 383 – 6.2. Le système karstique de Caumont-Les Varras, p. 425 – 6.3. Karst et évolution de la Basse-Seine, p. 427 – 7. Septième partie : Les karsts de cuesta crayeuse, p. 431 – 7.1. Le Pays d’Othe (Yonne-Aube), p. 469 – 7.2. Le karst de la Montagne de Reims, p. 493 – 7.3. Karst et cuesta,
p. 495 – Conclusion générale, p. 499 – 8. Annexes, p. 501 – 8.1. Percées hydrogéologiques (traçages), p. 512 – 8.2. Inventaire des phénomènes karstiques de la craie dans le bassin anglo-parisien, p. 515 – Bibliographie, p. 551 – Illustrations (figures, photographies, tableaux), p. 559 – Table des matières.

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Le karst de la craie en Normandie– Actes des Journées Européennes de l’AFK 2003, 10-12 septembre 2003, Université de Rouen, Joël Rodet (org.), 116 p., A4 [978-2-9506258-2-8], PDF.
p. 3 – Sommaire / Table of contents, p. 7 – Participants / Participants, p. 9 – Discours d’ouverture du colloque / Opening speech to the conference (J.-P. Dupont),
p. 11 – Communications et Posters / Papers and Posters, p. 13 – A propos de la recherche en karstologie. Paradigmes et hypothèses (C. Ek), p. 16 – Karst et craie en Normandie : une approche géographique / Karst and chalk in Normandy : a geographical approach (J. Rodet), p. 32 – Hydrothermal origin of two hypogenic karst caves in French Provence : preliminary results from fluid inclusions / Origine hydrothermale de deux cavités hypogènes provençales : résultats préliminaires provenant d’inclusions fluides (P. Audra – P. Hauselmann), p. 35 – The assessment of groundwater contamination risk in the Bagheria karst area (Palermo, Western Sicily) (A. Cimino – R. Abbate), p. 38 – Geochemical and geophysical monitoring of karst water reservoirs in North-West Sicily (Italy) ( A. Cimino – R. Abbate), p. 41 – Glaciogenic modifications of chalk paleokarst in the Chelm Hills (Lublin Upland, East Poland) (R. Dobrowolski), p. 42 – Karstification et remplissages sédimentaires : un exemple d’informations recueillies à partir de fronts de taille éphémères près de Caumont (Eure, France) (J.-P. Dupont – A. Tomat), p. 45 – Utilisation du Be10 produit in situ dans l’étude des remplissages karstiques (E. Dupuis, N. Massei, B. Laignel, J. Rodet, G. Raisbeck, F. Yiou), p. 47 – Transfer of bacteria-contaminated particles in a karst aquifer : evolution of contaminated materials from a sinkhole to a spring / transfert de particules contaminées par des bactéries dans un aquifère karstique : évolution des matériels contaminés de la perte à la source (L. Dussart-Baptista, N. Massei, J.-P. Dupont, T. Jouenne), p. 49 – Geochemical segregation of chalk karstic water : spatio-temporal evidences by factorial analysis / Ségrégation géochimique des eaux karstiques de la craie : évidences spatio-temporelles induites par analyses factorielles (M. Fournier, N. Massei, M. Bakalowicz, L. Dussart-Baptista, J.-P. Dupont), p. 51 – Le karst : un enregistreur de l’incision des vallées et du recul des couvertures. Application au bassin de la Haute-Marne (France) / Karst ; a recorder of valley incision and cover retreat. Application to the Haute-Marne Basin (France) (S. Jaillet, J. Brulhet, A. Devos, P.-J. Fauvel, D. Harmand, M. Laurain, O. Lejeune, J. Le Roux, A. Marre, E. Pons-Branchu), p. 54 – Lunan stone forests : morphology and development (M. Knez – T. Slabe), p. 56 – The sedimentary infill of the ’Petites Dales’ cave (Normandy, France) : preliminary investigations /Le remplissage sédimentaire de la grotte des « Petites Dales » (Normandie, France) : recherches préliminaires (B. Laignel, N. Massei, J. Rodet, J.-F. Deconinck, E. Dupuis, S. Ogier, P. Pellenard, D. Sebag, G. Brocard, G. Raisbeck, F. Yiou), p.57 – Assessment of direct transfert and resuspension of particles during turbid floods at a karstic spring / Estimation des phénomènes de remise en suspension et de transfert direct durant les crues turbides à une source karstique (N. Massei, H.Q. Wang, J.-P. Dupont, J. Rodet, B. Laignel), p. 58 – Modeling tracer breakthrough tailing in a conduit-dominated karstic aquifer : dual-flow and longitudinal dispersivity interpretation / Modélisation des effets de traîne dans les systèmes d’écoulement en conduits : mise en évidence d’une dualité de l’écoulement (N. Massei, H.Q. Wang, M.S. Field, J.-P. Dupont, M. Bakalowicz, J. Rodet), p. 59 – Karst et aménagement du territoire ; l’exemple de la Wallonie /Karst and regional planning : the example of Wallonia (R. Michel – F. Van Dijck), p. 62 – La grotte du Janelão, élément-clé de l’évolution géomorphologique de la vallée karstique du Peruaçu (Januaria – Itacarambi, Minas Gerais, Brésil) / The Janelão cave, key-element of the geomorphological evolution of the karst of the Peruaçu Basin (Januaria – Itacarambi, Minas Gerais, Brazil) (J. Rodet, M.J. Rodet, D.F. Mariano, S. do Nascimento, Y. Huguet), p. 64 – The karstic delta as a morphological consequence of base level variations. Example of a chalk karst system in Western Paris Basin (Normandy, France) / Le delta karstique, expression des variations climatiques du niveau de base. Exemple d’un système karstique de la craie de l’ouest du bassin de Paris (Normandie, France) (J. Rodet, N. Massei, B. Laignel, J.-P. Dupont), p. 66 – Impact des contraintes karstiques sur l’aménagement du territoire en Wallonie (Belgique) / Impact of karstic constraints on regional planning in Wallonia (Belgium) (J.-C. Schyns, C. Ek, A. Ozer), p. 69 – Karsts en roches cristallines silicatées non carbonatées. Cas dans les métagabbros : grotte de Guessédoundou, Niger occidental / karsts in non carbonated silcated crystalline rocks. Case in the metagabbros : cave of Guessédoundou, Western Niger (L. Willems, A. Pouclet, J.-P. Vicat), p. 71 – Karsts en roches cristallines non carbonatées. Cas dans les gneiss : la grotte de Mfoula, Sud Cameroun / Karsts in non carbonated silicated crystalline rocks. Case in the gneisses : the cave of Mfoula, Southern Cameroon (L. Willems, A. Pouclet, J.-P. Vicat), p. 74 – Karsts en roches carbonatées – l’exemple des quartzites et des itabérites de Minas Gerais, Brésil / Karsts in non carbonated rocks – examples in quartzite and itabirite rocks from Minas Gerais, Brazil (L. Willems, J. Rodet, A. Auler, L.B. Pilo, A. Pouclet), p. 76 – Relation between autochthonous chemical and mechanical erosion during karst caves development (N. Zupan Hajna),
p. 81 – Excursions / Fieldstrips, p. 83 – Le bassin carrier de Caumont (Eure) (J.-L. Audam), p. 95 – Relations entre les crues turbides et l’hydrodynamisme dans l’aquifère karstique du Hannetot : dynamique du transport de particules ( N. Massei), p. 106 – Structure et fonctionnement du système karstique du Hannetot replacé dans le contexte géomorphologique de la basse valée de Seine (M. Fournier).

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Geoarqueologia do Parque Estadual do Rio Preto – Géoarchéologie du Parc Naturel IEF du Rio Preto, Minas Gerais, Brésil, 2009, Maria Jacqueline Rodet, Joël Rodet, Luc Willems, André Pouclet, Sueli do Nascimento, 57 p., A4 [978-2-9506258-2-3] – édition bilingue, PDF.
p. 3 – Introdução, p. 4 – Introduction, p. 5 – Ia : Contexto geomorfologico, p. 5 – 1.1. : Geologia da bacia, p. 5 – 1.2. : Estratigrafia, p. 6 – 1.3 : Dados litologicoas e estruturais : controle da formação das cavidades, p. 6 – 1.4 : Dados petrograficos e geoquimicos, p. 7 – 1.5 : Geomorfologia carstica do quartzito, p. 10 – 1.6 : Sintese, p.12 – Ib : Contexte géomorphologique, p. 12 – 1.1 : Géologie du bassin, p. 12 – 1.2 : Stratigraphie, p. 13 – 1.3 : Données lithologiques et structurales : contrôle de la formation des cavités, p. 13 – 1.4 : Données pétrographiques et géochimiques, p. 14 – 1.5 : Géomorphologie karstique du quartzite, p. 17 – 1.6 : Synthèse,
p. 19 – IIa : Contexto arqueologico, p. 19 – 2.1 : Sitos arqueologicos : tipologia, p. 20 – 2.2 : Sitios arqueologicos : inventario, p. 28 – 2.3 : Vestigios cerâmicos, p. 31 – IIb : Contexte archéologique, p. 31 – 2.1 : Sites archéologiques : typologie, p. 32 – 2.2 : Sites archéologiques : inventaire, p. 40 – 2.3 : Vestiges céramiques,
p. 43 – IIIa : Geoarqueologia e meio ambiente, p. 43 – 3.1 : Comunidade e geoarqueologia, p. 44 – 3.2 : comunidade e educação ambiental, p. 45 – 3.3 : Proposições para as comunidade proximas ao Parque Rio Preto, p. 46 – IIIb : Géoarchéologie et environnement, p. 46 – 3.1 : Communauté et géoarchéologie, p. 47 – 3.2 : Communauté et éducation environnementale, p. 48 – 3.3 : Propositons à l’adresse des populations voisines du Parc du Rio Preto, p. 49 – Conclusão, p. 52 – Conclusion, p. 55 – Bibliographie, p. 57 – Sumario – Sommaire

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Prémices d’une approche géoarchéologique et karstologique de la région de Jequitai – Primicias de uma abordagem geoarqueologica e carstologica da regiao de Jequitai, Minas Gerais, Brésil, 2012, Joël Rodet, 57 p., A4 [978-2-9506258-5-4] – édition bilingue, PDF.
p. 3 – Introduction, p. 4 – 1 : Contexte géomorphologique, p. 6 – 2 : Les quartzites de la Serra das Porteiras, p. 6 – 2.1. : La percée du Rio Jequitai, p. 7 – 2.2 : La confluence des Corregos do Sitio et Bibocas, p. 14 – 3 : Les calcaires de la Serra da Grupiara, p. 15 – 3.1 : Le versant sud-est de la Grupiara, p. 17 – 3.2 : Les espaces karstifiés du Curral de Pedras, P. 24 – 4 : Les incidences géoarchéologiques, p. 24 – 4.1 : Le milieu quartzitique, p. 26 – 4.2 : Le milieu carbonaté, p. 28 – 4.3 : La zone de transition, p. 29 – Conclusion…
p. 30 – Introdução, p. 31 – 1 : Contexto geomorfologico, p. 33 – 2 : Os quartzitos da Serra da Porteira, p. 33 – 2.1 : A travessia do Rio Jequitai, p. 34 – 2.2 : A confluência dos Corregos do Sitio e Bibocas, p. 41 – 3 : Os calcarios da Serra da Grupiara, p. 42 – 3.1 : A encosta sudeste da Grupiara, p. 44 – 3.2 : Os espaços carstificados do Curral de Pedras, p. 51 – 4 : As incidências geoarqueologicas, p. 51 – 4.1 : O dominio quartzitico, p. 53 – 4.2 : O dominio carbonatico, p. 55 – 4.3 : A zona de transição, p. 54 – Conclusão… p. 55 – Sommaire – Sumario.

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GROUPE SPELEOLOGIQUE MEANDRES Rouen

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Laponie 88 Expédition spéléologique, 1987, n.p. (20 p.), A4 [sans ISBN/ISSN].
p. – préface (J.-L. Etienne), p. – introduction, p. – qu’est-ce que la spéléologie ?, p. – pourquoi la Laponie ?, p. – cadre géographique et géologique, p. – les membres de l’équipe, p. – nos objectifs, p. – notre budget, p. – organisation, p. – les projets post-expédition, p. – adresses, p. – attestation Co. G.E.S.F./FFS.

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Expédition Brésil 92, 1992, 70 p.,

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Brasil, aventures spéléo sous les tropiques, 1995, Pierre-Yves Panchout & Jean-François Panchout, 172 p., A4.
p. 4 – Auteurs, p. 5 – Resumo – résumé, p. 6 – Sommaire, p. 9 – Avant-propos, p. 10 – Préface (M. Le Bret), p. 13 – Chapitre 1 : le Brésil, p. 15 – Généralités, p. 21 – La spéléologie brésilienne, p. 25 – Chapitre 2 : état de São Paulo, p. 27 – Généralités sur l’état, p. 29 – Le massif de Lageado, p. 46 – Conclusion, p. 49 – Chapitre 3 : état du Minas Gerais, p. 51 – Généralités sur l’état, p. 52 – Le karst Bambui, p. 55 – Municipio de Januaria, p. 69 – Municipio de Itacarambi – la réserve indienne Xacriaba, p. 81 – Municipio de Itacarambi – secteur de Volta da Serra, p. 90 – Sistema dos Sifões, p. 91 – Conclusion, p. 93 – Chapitre 4 : état de Bahia, p. 95 – Généralités sur l’état, p. 96 – La région de Iraquara, p. 112 – Conclusion, p. 115 – Chapitre 5 : état du Piaui, p. 117 – Généralités sur l’état, p. 118 – Les serrotes calcaires, p. 122 – Municipios de São Raimundo Nonato et Coronel José Dias, p. 141 – Chapitre 6 : annexes, p. 143 – Les expéditions et les participants, p. 144 – Renseignements pratiques, p. 146 – Les transports, p. 148 – Hébergement, nourriture, p. 149 – Le matériel technique, p. 150 – La photographie, p. 152 – Approche de la topographie, p. 155 – Médecine d’expédition, p. 161 – Journal de bord de l’expédition de 1992, p. 164 – Lexique des mots portugais, p. 165 – Bibliographie, p. 171 – Remerciements.

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GROUPE SPELEOLOGIQUE DE RECHERCHES Grand Couronne (Seine Maritime)

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Grand-Couronne : le karst du L.E.P., mars 1999, collectif campagne 1998/99, 24 p., A5 [sans isbn/sans issn]
p. 1 – Grand Couronne, la construction d’un L.E.P., p. 3 – Dix ans ont passé…, p. 4 – Présentation, p. 5 – Durant les années 1987-97 :, p. 6 – La découverte d’une grotte, p. 7 – Le Réseau Vert, p. 8 – Le Réseau Orange, p. 9 – Le Réseau Bleu, p. 10 – Les petits karsts isolés, p. 12/13 – Plan des karsts, p. 15 – Un puits d’infiltration, p. 16 – Les premiers aménagements, p. 17 – La campagne 1997/98, p. 18 – Perspectives, p. 19 – Remerciements, P. 20 – Contributions 1985/97 p. 22 – La campagne 1997/98 a été réalisée avec le concours, p. 23 – Publications, p. 24 – ours

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Caumont, 2000 ans d’Histoire, juillet 2000, collectif, 25 p., A5 [2-9514523-0-6].
p. 1 – sommaire, p. 2 – présentation, p. 3 – chapitre 1 : la vallée de Seine, p. 7 – chapitre 2 : les grandes carrières, Caumont, Eure, p. 18 – les réseaux naturels mis à jour par les carriers lors de la reprise des sols, p. 20 – conclusion, p. 21 – participation, p. 22 – bibliographie, p. 23 – table des matières.

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Caumont, deux siècles d’une entrée de carrière, juin 2001, collectif, 24 p., A5 [2-9514523-1-4].,
p. 1 – sommaire, p. 2 – présentation, p. 3 – chapitre 1 : les carriers face aux instructions, p. 5 – chapitre 2 : déblais et remblais d’une usine de production d’oxygène liquide, p. 7 – chapitre 3 : les champignonnières, p. 10 – chapitre 4 : les grandes heures de la spéléologie, p. 18 – discussion, p. 20 – participation, p. 21 – bibliographie, p. 23 – table des matières.

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YVES MARTIN Gouy (Seine Maritime)

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L’Art paléolithique de Gouy, compte d’auteur, (n.d.) après 1972, 154 p, A4.
p. 5 – Préface (M.J. Graindor), p. 11 – Présentation de l’ouvrage (Y. Martin, 1972), p. 17 – Les sites de l’art préhistorique en Europe occidentale, p. 23 – Plans et coupes, p. 31 – Paroi Nord-Est de la salle de l’oiseau, p. 43 – Equidés et cervidés, p. 47 – Paroi Sud-Ouest de la salle de l’oiseau, p. 49 – La ruée, p. 61 – Paroi Nord-Est de la salle de la ruée, p. 71 – Paroi Sud-Ouest de la salle de la ruée, p. 85 – Paroi Nord-Est de la salle du cheval, p. 99 – Bovidés, p. 105 – Figure humaine, p. 109 – Paroi Sud-Ouest de la salle du cheval, p. 111 – Tête d’équidé, p. 125 – Symboles féminins, p. 137 – Fragments de calcaire portant des gravures, p. 150 – Le bestiaire, p. 153 – Légendes.

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SPELEO-CLUB DE ROUEN, Rouen

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Une semaine de spéléo pour tous, Rouen : Xème congrès régional, 4-6 mai 1984 (n.d.), 24 p., 16,5 x 24 cm.
p. 3 – Sommaire, p. 5 – Michel Siffre à Duchamp-Villon… survivre 205 jours sous terre au Texas, p. 6 – Un Comité régional pour tous les spéléos (J.-M. Ledoux), p. 8 – Programme du congrès spéléo, p. 10 – Une exposition spéléo… de la préhistoire au Sorgonaute, p. 12 – Des spéléos sur l’île de Pâques, p. 14 – Le Sorgonaute à la Fontaine de Vaucluse, p. 16 – La grotte préhistorique de Gouy : avons-nous entendu son message ? (F. Petit), p. 18 – La Fédération… … vous connaissez ?, p. 19 – Du « Spéléo-secours » à la commission cinéma, p. 20 – Le Spéléo-Club de Rouen d’hier à aujourd’hui…, p. 21 – Les clubs spéléos normands, p. 22 – Nos ancêtres les spéléos normands.

Michel Lepiller (1948-2006)

Fondateur de la spéléologie havraise et président du Groupe Spéléologique de la Maison des Jeunes et de la Culture du Havre (GS-MJC-H) de 1965 à 1971.
Président-fondateur du Comité Départemental de Spéléologie de la Seine-Maritime (CDS-76) en 1970-1971
Spéléologue physique et hydrogéologue de la craie de Normandie
Autorité internationale en matière de traçages kastiques

J’ai rencontré pour la première fois, le havrais Michel Lepiller, le 1er décembre 1964, à la toute neuve Maison des Jeunes et de la Culture du Havre. Ce soir-là, amené par un copain du club de judo, je venais participer à la création d’un groupe à l’activité étrange, baptisée « spéléologie », qui ressemblait de loin aux incursions souterraines que je menais depuis deux étés, dans les blockhaus et les carrières souterraines de la région d’Etretat-Fécamp. Tout de suite, j’ai été frappé par la dimension de l’individu, son autorité et son assurance, alors qu’il n’avait pas 17 ans. D’ailleurs il n’avait 17 ans que depuis quelques jours lorsqu’il se vit confier la responsabilité du tout neuf G.S-M.J.C.-H., dès le 27 janvier 1965, Jean-Marc Artola, notre éphémère président-fondateur nous quittant pour ses études et les Alpes. Cette présidence, il l’assumera avec brio et réussite durant 7 ans.

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1- Un naturaliste souterrain précoce et fécond

Notre première sortie commune, en vélo, cyclomoteur ou auto-stop, fut pour moi la découverte d’un milieu d’experts impressionnants et de techniciens avisés. Dans une petite falaise en rive gauche de l’estuaire de la Seine, une très modeste cavité nous attendait, mais elle s’ouvrait dans l’à-pic. Je découvrais alors l’échelle souple et la corde nylon, les manœuvres au sifflet, le carnet de notes et l’indispensable gibecière, le casque Adrien à la Casteret et le bleu de travail appelé mystérieusement « combi ». Quelques heures plus tard, nous étions dans une carrière souterraine accessible grâce à une fente dans le sol qui nécessitait l’emploi de la corde.

Curieusement, Michel promenait une imposante cage à moineaux qu’il avait empruntée à ses parents. Il m’expliqua les fossiles et les caractéristiques physico-chimiques de la craie et de l’eau, les traces d’exploitation dans la carrière, les petites bêtes qui se cachaient dans les vieux bois pourris, les accidents tectoniques ; ma première leçon naturaliste souterraine ! Et puis des petits cris stridents m’inquiétèrent. Aussitôt, Michel, prenant cage et besace, se dirigea vers leur origine. De sa main armée d’un gant en cuir, il cueillait des chauves-souris installées à la voûte d’un recoin et les installait délicatement dans la cage. Puis, sortant de sa besace, carnet et pied à coulisse, il commença une longue séance de mesures et d’identification, notant tout : Michel était bagueur officiel de chiroptères pour le Museum national d’Histoire Naturelle de Paris.

Pas de doute, Michel était un grand scientifique. Depuis son adolescence, il participait avec passion et militantisme, à la renaissance du Museum d’Histoire Naturelle du Havre, au sein de la Société Géologique de Normandie dont il sera membre du Conseil d’Administration. Il y acquit une solide formation de naturaliste, et une expérience de terrain fortement encadrée par une excellente école havraise.

Dès la mise en place du G.S.-M.J.C.-H., il apporte cette dimension à notre petite association. La région havraise étant particulièrement pauvre en grottes, nous décidons de prospecter systématique l’ouest du Pays de Caux, afin d’en connaître le potentiel spéléologique. Dans cette optique, nous lançons une grande enquête auprès des maires à l’aide d’un questionnaire envoyé à plus de 400 communes. A chaque nouvelle exploration de cavité, naturelle ou artificielle, nous relevons la topographie, et Michel rédige une petite note qui, additionnée aux autres, constitue peu à peu un fichier unique, une documentation originale sur les vides normands. Les fiches sur les cavités naturelles sont alors communiquées au BRGM dans le cadre de sa politique d’inventaire souterrain.

La Fédération Française de Spéléologie vient de naître et tout logiquement, nous y adhérons dès 1965. Spelunca reçoit les échos de nos premières activités. Au Congrès de Dijon, en 1970, Michel soumet un premier article sur le karst haut-normand. C’est la véritable naissance d’une recherche scientifique sur le karst dans la craie de notre région, après les incursions de Martel entre 1890 et 1914. Toujours en 1966, naît notre première revue « Spéléo-Drack » qui connaîtra à partir de 1970 une diffusion internationale nous permettant, par le jeu des échanges, la constitution d’une bibliothèque qui rapidement deviendra une des plus importantes de la région.

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2- l’organisateur de la spéléologie normande

Mais Michel était aussi un organisateur, un vrai dirigeant. D’ailleurs, certains l’avaient surnommé « le chef ». Sa vision de la spéléologie était large et affirmée, ouverte à tous grâce au support populaire de la Maison des Jeunes et de la Culture : ce sont des centaines de jeunes qui passeront par notre groupe, découvrant un peu du sous-sol normand et beaucoup plus de leurs capacités physiques et intellectuelles. Ainsi est né un groupe important, soudé et compétent. Et nombreux seront ceux qui, au cours de leur scolarité, montreront un intérêt certain pour les sciences de la nature.

Rapidement le G.S.-M.J.C.-H. devient une référence grâce aux travaux réalisés (Barre-Y-Va, Villequier, Caumont, …) mais aussi à la politique de communication envers la population havraise et normande, par des expositions, des conférences, des journées « portes ouvertes ». Notre qualité de recherche et d’entreprise est récompensé par le Prix à l’Initiative des Jeunes, attribué par la Direction Départementale de la Jeunesse et des Sports de la Seine Maritime.

L’entente avec les autres associations havraises était excellente et nombre de nos sorties étaient communes. Il n’était pas dans notre mentalité de considérer les autres spéléologues normands comme des concurrents. Tout au contraire, ils étaient tout naturellement nos collègues, nos compagnons d’une exploration, nos complices d’une même passion. Ainsi avons-nous noué d’excellentes relations au delà du cercle havrais, avec le Spéléo-Club de Rouen, le groupe de Barentin ou les compagnons de notre suisse préféré, Jean-Claude Lalou, exilé pour ses études à Rouen.

Tout naturellement s’est posée la nécessité de nous réunir au sein d’une communauté régionale. Devant l’échec du Comité Normand de Spéléologie, plombé par des conflits rouenno-rouennais auxquels nous ne comprenions rien, nous avons décidé de mettre en place un Comité Départemental de Spéléologie de Seine Maritime en 1970. Sans concurrent, Michel en fut le premier président jusqu’à son départ pour Grenoble en septembre 1971. Ce CDS était conçu comme le lieu neutre et égalitaire où nous pourrions échanger, construire et collaborer dans le respect des différences et des entités, ce qui fut le cas avant que les vieux démons ne parviennent à pourrir les relations de notre petite communauté. Témoin et acteur privilégié de cette époque, j’affirme que Michel Lepiller a été l’initiateur d’une culture spéléologique normande faite de travail, de rigueur, de respect et de partage, à l’origine de l’âge d’or de la Spéléologie Normande dont l’apogée se situe dans les années 1980.

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3- un hydrogéologue du karst brillant

A 17 ans, Michel était déjà un spéléologue accompli. Il avait été formé par le Spéléo-Club de Lutèce et le Spéléo-Club de Savoie depuis deux ans, dans les tannes du Margeriaz, dans lesquel(le)s il avait noué des liens forts avec Bruno Cabrol et Marcel Balliot, et son cœur sera toujours sensible à l’appel des Bauges. C’est pourquoi dès 1966, nous sommes présents dans ce magnifique massif, d’abord dans l’Arclusaz puis dans la foulée sur le Semnoz jusqu’en 1973, sur les conseils de ses amis savoyards.

Cette activité secondaire deviendra primordiale à partir de septembre 1971 lorsque Michel rejoindra Grenoble pour y poursuivre ses études de géologie couronnées par une brillante thèse d’hydrogéologie karstique axée sur le Semnoz, soutenue en 1980. Dès lors, nommé Maître de Conférence à l’Université d’Orléans, il partagera son activité d’hydrogéologue entre la Savoie et le Val de Loire, y sensibilisant de nombreux étudiants à l’hydrogéologie karstique, et plus spécifiquement à l’hydrochimie. Il s’était même affirmé ces dernières années comme le spécialiste des traçages, et sa disparition est lourdement ressentie car curieusement, le prolifique chercheur des années normandes, ne laisse que bien peu d’écrits de cette dernière période de sa vie.

Si Michel était un scientifique confirmé, précis, très minutieux, sûr de lui, il était très méfiant face au changement. Fortement plongé dans sa démarche scientifique et rassuré par ses certitudes techniques acquises dans le Margeriaz des années soixante, il était réticent aux innovations techniques d’exploration. D’ailleurs, candidat à des stages techniques de l’E.F.S (école française de spéléologie), il trouvera toujours une excuse au dernier moment pour ne pas y participer. Nous avons eu beaucoup de difficulté pour lui faire accepter que nous puissions utiliser les bloqueurs et les descendeurs car il avait tendance à décider aussi pour nous. Ne parlons pas de la technique jumar sur corde unique…

Heureusement pris en mains par ses amis Bruno Talour et Baudoin Lismonde, son expérience grenobloise l’a propulsé malgré lui dans les techniques de la spéléo alpine, mais il restait psychologiquement mal à l’aise dans leur utilisation. Ses hésitations ont troublé ses compagnons havrais lors de la dramatique exploration du réseau de la Diau, fin octobre 1977, au cours de laquelle Jean-Claude Haguelon, 29 ans, perdait la vie. Profondément affecté par cet accident, il s’éloignera de l’exploration souterraine pour s’investir entièrement dans son métier d’enseignant-chercheur et sa vie familiale. Jusqu’à cet accident fatal du 30 octobre 2006, sur l’autoroute près d’Orange, au retour d’une excursion scientifique, exactement 29 ans après la Diau…

Michel Lepiller est certainement une des plus brillantes, fortes et complètes personnalités qu’a connues la Spéléologie Normande, depuis le passage de Martel au début du XXème siècle. De par ses écrits et ses actes, il restera un des pionniers de l’hydrogéologie karstique de la craie de Normandie bien sûr, mais aussi du Bassin de Paris ou des Alpes savoyardes. Et nombreux sont aujourd’hui les scientifiques qui revendiquent l’honneur d’avoir reçu et partagé avec lui cette grande aventure. Son plus grand regret, comme il me le rappelait à chacune de nos rencontres, était que la communauté spéléologique normande n’ait pas su poursuivre la prometteuse politique d’ouverture et de recherche qu’il avait aussi brillamment impulsée. Mais les hommes sont ainsi fait et les idées vont et parfois, reviennent…

L’essentiel des travaux normands de Michel Lepiller a fait l’objet d’un document. organisé par Joël Rodet, regroupant ses fiches et topographies, ainsi que ses relevés de baguage de chiroptères normands :
Spéléo-Drack, 22, juillet 2016, « La spéléologie normande de Michel Lepiller (1948-2006), 136 p., A4, édité par le CNEK, 15 € plus port.

Thierry Leboulanger (1958 – 2018)

Hydrogéologue du karst normand

étudiant en géologie jusqu’en maîtrise à l’Université de Rouen (1976-1980), puis étudiant en DEA à l’Université de Paris-VI, en spécialisant en hydrogéologie. Il démarre en 1981 une thèse en hydrogéologie sur le Lieuvin, que malheureusement il n’arrivera pas à mener à son terme. C’est son ami et collègue Gérard Rico qui sera chargé de clore le dossier. disparu le 25 septembre 2018. Il sera la cheville ouvrière scientifique du 3ème Congrès Régional de Spéléologie de Normandie, tenu à Saint Etienne du Rouvray en 1977. En 1979, il deviendra le responsable de la Commission Scientifique et Culturelle du CRSN pour de nombreuses années. Esprit curieux et toujours en éveil, il court dans les sites. Malheureusement, il ne termine jamais ce qu’il commence. Cela deviendra sa marque de fabrique qui lui vaudra de nombreux et cruels déboires, en spéléologie, mais aussi professionnellement et surtout dans sa vie privée. Il aura trois enfants, une fille, un garçon Adrien et une deuxième fille.